II
La dextre de Maître claque alternativement les fesses de Marc, sur un rythme égal. L’homme préfère serrer les dents pour montrer sa volonté de ne pas céder sous la fessée. Être puni oui, mais ne pas se laisser dépasser, envahir par ce jeune homme choisi par sa femme pour le punir. Très vite, Marc se rend compte que la douleur de son derrière fessé commence à augmenter. La cadence et la puissance des (...)

Sophie proteste : — Je vous assure que j’ai tout fait, mais je n’ai pas réussi… Elle se dirige vers son sac posé à terre, attrape le plug dans sa pochette, prend le gel, revient vers Clara, les lui tend, dit : — Je l’ai nettoyé, Maîtresse. — Encore heureux… Clara lui désigne une sorte de haut banc, avec le dessus recouvert de cuir, dont les quatre pieds sont pourvus de liens souples : — À plat ventre, (...)

Non, rien d’autre n’est envisageable hormis subir la fessée annoncée. Giulio s’avance vers la jeune Marzia assise bien droite sur la chaise du hall, il remarque alors ses petites mains aux doigts fins, pense : « Cette fessée devrait être supportable ». Il est presque guilleret quand il s’allonge à plat ventre sur les cuisses recouvertes par le pantalon de cuir. Lorsque son ventre repose sur le cuir (...)

Giulio écoute sa femme : — J’ai donné toute latitude à Marzia pour te préparer. Je suis arrivée à Vienne. (Il ignore qu’elle ment et passe la nuit avec son chauffeur) — Mais… Mais… — Bonne nuit, chéri. Claudia met fin à la conversation. (Car, Marco, son amant qui vient de lui octroyer une fessée, pourrait s’impatienter de cette interruption et claquer de nouveau son cul.) Dépité, Giulio rend le téléphone à (...)

David, sans vergogne aucune, reluque le corps de nu de Louis, lequel ne sait plus quoi faire. Sous le coup de l’émotion, il s’accorde une rasade qui le fait tousser. David récupère le verre qui allait perdre du breuvage, le dépose sur la table, constate : — Pas de quoi s’affoler ! Ni de rougir ! Ne sachant plus quelle attitude adopter, Louis reprend le verre, déguste le liquide, qui en coulant dans (...)

La décoration simple de la chambre de David séduit Louis. David dépose l’étui de cuir sur le plateau de sa commode, l’ouvre tout en commandant à l’homme : — Va t’allonger sur le lit, en largeur, jambes en dehors, cuisses écartées. Louis obtempère, apprécie la fraîcheur du dessus de lit en cuir bleu clair, il a presque envie de désobéir et de s’allonger à plat dos, certain que le cuir rafraîchirait ses (...)

Ayant dû s’absenter de Paris pour son job, Louis n’a pas revu David depuis un mois. La dernière fois, il avait essayé le cinquième plug, mais ne l’a pas remis. Ce vendredi, il a rendez-vous chez David à 22 h, il doit être pluggé en arrivant. Après sa douche, et s’être copieusement tartiné le trou du cul de gel, rien à faire : impossible d’enfiler le plug. Louis décide de ne pas perdre de temps, s’habille nu (...)

Audrey est assise dans le fauteuil de la chambre matrimoniale quand Carine y pénètre comme chez elle, sans même avoir frappé avant d’entrer. Sa tenue surprend : un boléro de cuir bleu marine très moulant, tout comme le pantalon de même matière dont la couture semble pénétrer le sexe. Carine s’approche d’Audrey à toucher ses genoux, lui dit d’une voix sévère : — Quand j’entre dans un lieu où tu m’attends, (...)

IV.
Les après-midi et soirée se sont écoulés sans aucun châtiment pour Audrey. Elle a préparé un agréable dîner pour deux que Carine a dégusté avec plaisir. La femme chargée des courses et du ménage s’est éclipsée pour dix-huit heures comme toujours. Elle ne vient qu’à partir de treize heures. Audrey s’est même demandé si ce n’était pas cette présence qui lui avait évité une correction voire plus. Pendant sa (...)

Audrey regarde son ventre gonflé qui la taraude ; Carine caresse la chaire distendue. — Laissez-moi… aller me… soulager… J’ai… maaaaaaal ! Carine se ne laisse pas impressionner, continue de caresser doucement le ventre. Audrey se rebelle, la repousse. Carine prend le visage d’Audrey qui piétine entre ses mains, la fixe, les yeux dans les yeux : — J’ai dit quinze minutes… Elle relâche la figure, la (...)

Pour Christine (pour elle j’ai appelé mon personnage Laure) en l’honneur de son site, du temps qu’elle donne aux siens et aux autres, avec mes affection et amitié sincères. Remerciements à Henic pour sa relecture, sans laquelle les lectrices et lecteurs ne comprendraient pas grand-chose à mes écrits.
Laure, veuve de quarante ans, blonde aux cheveux courts, yeux verts, fossettes naturelles aux deux (...)

Il y a un peu plus de deux heures que ma Maîtresse et moi sommes rentrées à son domicile. Je suis attachée sur un T en bois dans son sous-sol, totalement nue. Le motif : après qu’elle m’a demandé de la laver sous la douche, j’ai refusé de lui lécher le sexe. C’était trop pour moi. Je reconnais qu’Anne a su m’exciter, me faire jouir, mais un acte aussi intime me déplaît. Elle n’a d’abord rien dit. En sortant (...)

Hélène, vingt-trois ans, médecin psychologue, un mètre soixante, brune aux cheveux coupés courts, yeux noirs, nez droit, bouche aux lèvres fines, poitrine aux petits seins piriformes, fesses rondes et musclées, sexe imberbe. Didier, trente-huit ans, un mètre quatre-vingt-dix, blond, cheveux longs, yeux verts, bouche aux lèvres sensuelles, torse glabre, fesses longues, sexe rasé, longueur vingt (...)

Comme le silence s’éternise un peu trop au goût d’Hélène, elle dit : — Alors ? Didier n’hésite plus, ne peut pas se permettre de se retrouver sans travail : — Je suis à votre disposition, Mademoiselle. — Non, non. Tu dois m’appeler Maîtresse à partir de cet instant. — Bien… Maîtresse. Hélène lui désigne le X : — Va ! Elle s’avance dans le dos de Didier qui reste à vingt centimètres de la croix, claque son cul nu (...)

Didier reconnaît qu’Hélène sait faire un excellent café avec le percolateur Pavoni dont elle dispose. Il a réussi à déjeuner malgré la présence envahissante du plug dans son cul. La psy décide : — Il est temps de retourner dans la salle de réflexion. « Tu parles d’un nom ! » pense Didier. Une fois dans la salle, Hélène désigne la chaise : — Assieds-toi ! Elle ouvre l’armoire, en extrait une bouteille d’un (...)