Sylvain de Perry
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De bander son clitoris ne s’est pas arrété...
Le repas achevé, Santina, toujours nue, a été caressée par Cinzia à la demande d’Anna, mais elle n’a pas été fessée. Norma monte se faire payer, regarde, plutôt mate, le corps de Santina, dit à Anna : – Tu as raison de la garder nue… Elle est à croquer. Je la découvre et… Si jamais tu l’abandonnais, je la consolerais… Santina intervient, manière de répondre à Anna à ses propos pré-déjeuner : – Pas tout de (...)
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Coloscopie
Samuel est un jeune professeur gastroentérologue connu, mais peu apprécié de son personnel. C’est pour ce motif que deux de ses infirmières ont décidé de le piéger à son cabinet privé. À huit heures du matin, ce samedi-là les deux jeunes femmes se présentent à son domicile, proche de la place de l’Étoile à Paris. Corinne sonne à la porte du logement qui jouxte son cabinet, Gaëlle se colle dos au mur. Elle (...)
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Vacances à Diola
Sur un fond de velours rouge reposent quatre bites d’hommes en silicone, longues de quinze à vingt centimètres, larges de quatre à cinq centimètres, et une fine lanière d’environ un mètre. Quand je la touche, je sens qu’elle est en cuir souple. – Contenu surprenant. Comment vais-je m’en servir ? (Je désigne ma propre bite molle pour l’instant) La mienne te semble-t-elle trop fine ? Carla éclate de rire, (...)
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Atout cuir
I
La revue de mode pour laquelle je travaille cette semaine, P E L L E P E R T U T T I, (cuir pour tous) m’a envoyé sur un défilé de mode à Firenze (Florence) qui est la ville du cuir par excellence. Je me prénomme Luca, trente-neuf ans, chauve, un mètre quatre-vingt-sept, yeux noirs, bouche sévère, totalement imberbe des pieds à la tête ou inversement. J’ai réservé une chambre pour sept nuits au De (...)
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Atout cuir
Mes deux rencards, dits de contact, se sont bien passés. J’ai décliné deux invitations pour dîner. Avant de démarrer, un SMS d’un numéro non répertorié paraît sur mon Samsung. Je lis : « Si tu veux que nous sortions ensemble, Walter me libère à 20 h. L. » Plutôt sec : ni bises, ni rien. J’adopte le même style de rédaction : « Parfait. À 20 h où je t’ai laissé. Luca » Le trajet jusqu’à mon hôtel ne me prend que (...)
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Anniversaire milanais
L’Airbus A319 ITA 1196 touche le sol de l’aéroport de Milano Linate à 14 h 2. Je reste attaché malgré mon envie de me dégourdir les jambes. Le vol depuis Reggio Calabria n’a duré qu’une heure trente-quatre. J’ai emprunté icelui en vue de la réunion du staff après-demain. Je veux être tranquille ce soir, m’offrir un succulent dîner à mon hôtel, dans ma chambre, c’est mon anniversaire : trente ans pile à (...)
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Retour à Diola
Même si vous n’avez pas lu « Vacances à Diola » vous pourrez lire cette suite. Par contre, je ne vous donnerai pas les détails qui figurent dans le récit précédent.
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Lorsque j’avais avisé Carla que, si cela lui faisait autant plaisir qu’à moi, j’étais disposé à venir deux semaines dans la ville du Prince, elle m’avait répondu entre autres : « Je serai dans l’avion qui viendra te chercher ». Rassurez-vous (...)
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Retour à Diola
Carla fronce les sourcils, commande : – Suis-moi dans la salle de bain. Je me garde de dire quoi que ce soit, son ton me fait comprendre que si je réplique, elle est capable de me corriger illico. Elle prend un tabouret, s’y assoit, après avoir ouvert une boîte métallique dont je n’ai pas le temps de voir le contenu, m’ordonne en gantant ses mains de latex : – À plat ventre sur mes cuisses ! Je (...)
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Retour à Diola
V
Agenouillé sur mon flanc, le Maître fait jaillir de la crème blanche sur ma fesse gauche, et tout en douceur, la fait pénétrer partout jusqu’en haut de mes cuisses. Quand il passe à la droite, je me sens mieux. Une fois son massage achevé, il penche son visage vers moi et m’embrasse. Je suis tellement bien, que je réponds à sa caresse linguale. Le Maître me regarde droit dans les yeux quand il (...)
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Le château des punitions
Dédié à notre chère CHRISTINE pour fêter nos DIX ANNÉES de collaboration. Avec ma reconnaissance et mon amitié. Sylvain. MILLE MERCIS Henic qui m’a encouragé, a corrigé ce récit pour le rendre lisible.
Rosy et Michel, main dans la main, se présentent à treize heures au portail du Château où ils sont convoqués, suite à leur attitude répréhensible donc punissable, face aux autorités de leur Ville. Le (...)
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Etudiant mis au pas
I
Claude n’avait pas trouvé autre lieu pour dormir dans cette grande ville que cet édifice où ne logeaient que des étudiants, proche de la fac. Âgé de dix-neuf ans, un mètre-quatre-vingt-cinq, blond à la chevelure bien ondulée, lumineux yeux verts, bouche large, corps imberbe y compris bas-ventre et cul, ventre plat, fesses rondes, bite de dix-huit centimètres, jambes de coureur. Malgré son allure de (...)
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Reportage claquant
I
Sur Lesbos Island, dans l’océan Pacifique, ne vivent que des femmes. Une petite île annexe à quelques milles marins gère les hommes reproducteurs. Qu’on ne s’y trompe pas, ils vivent comme des princes. Ils ont été choisis pour leur beauté, Q. I., et sexe.
Quant aux femmes, obligation d’être « célibataires », mais elles doivent partager des relations homosexuelles avec une compagne selon un temps (...)
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Reportage claquant
III
Marzia laisse Carole cuver sa jouissance avant de dégager sa main prisonnière entre les cuisses qui l’enserrent, puis invite : – Il est temps de te lever, chérie. Elle aide la femme. Carole, une fois sur ses jambes, s’aperçoit seulement de la douleur dans ses fesses, tourne la tête vers le miroir, les voit rouge coquelicot, reporte ses yeux vers Marzia, prend sa tête entre ses mains, dit : – (...)
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Cure d’amaigrissement
Tim, sous l’œil de sa compagne, monte sur la bascule, comme tous les jours, ce matin-là à huit heures. Même le samedi, la grasse matinée lui est interdite. Le chiffre de son poids s’inscrit en chiffres noirs : 84 kg. Tim blêmit alors que Selma relève les yeux du compteur vers les siens, dit la voix tranchante : – Tu te laisses aller… – Mais, chérie, je ne peux pas… Selma coupe : – Si. Tu peux. Il n’est (...)
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Cure d’amaigrissement
Tim apprécie l’attitude de Corinne qui n’a pas voulu marquer d’avantage son derrière, surtout après les deux volées du martinet, qui lui semble vraiment très douloureux. Selma dit : Il ne me manque que les plugs. Jef s’enquiert : C’est pour que Tim s’habitue ou soit préparé ? Selma répond : Les deux. Quand nous allons repartir, il en portera un… Tim se révolte : Ah non ! Hors de question, je ne vais pas… (...)