L’âme soeur 1

L’homme invisible
vendredi 7 juillet 2006
par  Perpol
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Elle rentre chez elle d’une matinée de shopping, harassée, transpirante, chargée de paquets. Après avoir déposé ses sacs et boîtes, elle s’allonge sur le sofa et se met à rêver.

Un homme invisible s’approche d’elle et lui caresse gentiment le corps par-dessus ses vêtements. Elle soupire, se soulève sur un coude, puis l’autre et enlève la veste de son tailleur ; puis c’est au tour de la jupe. Elle reste là en chemisier et bas nylons. Elle n’a pas ouvert les yeux.

L’homme invisible la caresse à nouveau. Il se fait insistant en passant sur les seins et le sexe. Cela l’excite. Elle enlève son chemisier, son soutien-gorge et sa culotte, ne gardant que ses bas noirs et ses souliers à talons hauts. Elle se réinstalle sur le divan, les jambes écartées, les genoux repliés et se met à se caresser doucement le sexe.

Elle sent la présence de l’homme invisible mais ne se risque pas d’ouvrir les yeux de peur qu’il disparaisse. Il la regarde faire puis lui masse les seins et lui suce les tétons qui s’érigent. Son sexe s’enflamme. Il lui lèche les lèvres du sexe, puis, du bout de sa langue, lui triture le bouton du clitoris.

Elle grogne de plaisir et se retourne, lui présentant le pet qu’elle tient présenté, installée qu’elle est sur les genoux qu’elle tient légèrement écartés. Il lui lèche l’anus, puis, d’un doigt expert, il le lui caresse. De l’autre main il lui travaille le clitoris. Elle contorsionne les fesses et gémit de plaisir, puis crie sa jouissance. Elle a l’entrejambe mouillé.

***

Elle se lève paresseusement du sofa, s’étire et regarde autour d’elle. Il n’y a personne. Elle est fort excitée et cherche à se procurer de nouveaux plaisirs.

Elle sait un truc qui l’excite depuis toujours, un truc qui date de sa toute petite enfance, des séances de propreté que lui infligeait sa mère, ne se doutant pas de l’excitation qui gagnait l’enfant d’alors.

Elle va se chercher un grand carré de plastique qu’elle étend sur le tapis du living, déplaçant rapidement quelques meubles. Puis elle se dirige vers le centre de l’espace plastifié et s’accroupit.

Elle laisse d’abord échapper un pet sonore, puis se met à uriner mettant les mains en éventail devant son jet saumâtre qui gicle en gouttelettes sur toute l’étendue du plastique, ensuite elle commet un merveilleux étron qui lui sort du trou de cul sans qu’elle ait besoin de pousser.

Puis elle se met à genoux et hume ses productions fécales, les touche en faisant la grimace. Cela sent vraiment mauvais. Elle prend des parties de sa merde qu’elle mouille de son urine et s’en enduit le ventre, les bras, le cou, le visage.

Puis elle étend le reste des fèces sur le plastique et se couche le dos sur cette surface, question de s’en enduire le dos également. Elle pue littéralement la merde.

Elle ressent à nouveau très fort la présence puissante de l’homme invisible. Il a tout vu. Cela l’excite davantage. Il s’approche d’elle une grande bouteille d’huile de cuisine à la main.

Il lui en verse une bonne rasade sur le ventre et entre les seins et se met à la masser. Il lui masse également le visage, n’oubliant pas les cheveux.

Puis il la retourne pour ne pas négliger la partie arrière du corps. Elle est odorante et toute gluante de surcroît et elle aime ça. Elle gazouille de plaisir comme un tout petit enfant satisfait.

Puis, il s’installe au-dessus d’elle, les jambes de part et d’autre de son corps et un jet d’urine lui gicle au visage. Elle ne distingue pas l’homme mais voit et ressent le jet jaune qui l’arrose.

Elle pousse d’abord un petit cri de surprise, puis ouvre la bouche et accueille ce don du ciel avec gratitude. C’est une boisson doucereuse, tiède, pas vraiment bonne, mais, d’une manière curieuse, cela l’excite d’être ainsi honorée.

Puis elle accueille sur son visage un étron venu de nulle part. Il lui a chié dessus, le salaud, pense-t-elle. Mais elle n’en est pas autrement choquée, que du contraire : elle apprécie. Elle étend la masse fécale sur son visage, comme pour s’en faire un masque de beauté. La merde, l’urine et l’huile un peu rance se mélangent sur son corps maculé.

Elle ne s’est jamais sentie aussi sale, aussi souillée et aussi paisible à la fois. Elle est totalement détendue, étendue là, les sphincters déliés, comme un nourrisson.

***

Elle est restée là assoupie, le temps que se forme une croûte la recouvrant en partie. Ce bref demi-sommeil l’a bien reposée mais n’a pas apaisé son désir sexuel. Elle a gardé les bas noirs et les hauts talons. LIRE LA SUITE


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