La Débutante - 2

Episode 3 et 4
lundi 2 mars 2009
par  CClaudia
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3

C’est la lumière d’automne qui entre dans le salon qui me réveille. Un regard à l’horloge : 11 heures ce samedi matin. J’ai encore un goût de nausée en bouche quand me reviennent les événements de la soirée. La soirée au cinéma, l’amour dans le jardin sous l’œil des voisins. Les fortes jouissances, bien remplie de sa virilité. Le moment de tendresse dans ses bras quand il m’a portée, nue, à l’intérieur de la maison. Et puis le déchainement.

Il me pose d’abord sur l’épais tapis blanc du salon et s’assied confortablement dans mon fauteuil.

— Maintenant, tu vas me montrer tes progrès.

Je suis à ses pieds, dans le plus simple appareil. Il me fixe intensément et je baisse les yeux. Je me mets à genoux et déboutonne sa braguette. Son vit sort, enflé, désirable, beau. Je dégage les bourses que je commence à lécher. Ma langue remonte sur le membre et ma bouche l’engloutit. J’entreprends un lent mouvement de va-et-vient. Quand je recule ma tête, je le laisse presque sortir pour mieux le titiller avec ma langue. Puis je l’enfourne aussitôt. Il a un bon coup salé. Je lève les yeux et constate que ce régime lui plait, mais après quelques minutes il ne lui suffit plus. D’une main il attrape alors mes cheveux et me donne une cadence plus rapide. Il arrête également mon mouvement en restant au fond de ma gorge. Puis me tire en arrière et recommence en me gardant à son rythme. Je sens que ses gestes ne sont là que pour montrer que c’est lui qui dirige, et je me laisse faire. Je sais que tout homme fantasme un jour de traiter sa femme comme une putain. J’ai toujours refusé ce plaisir à mon mari et à mes amants. Mais là, je lui donne volontiers tout ce qu’il désire. Je veux lui rendre les magnifiques jouissances qu’il me dispense.

Il me prend la tête à deux mains et accélère. De grands coups. J’étouffe dans son bâillon de chair. Il explose et son sperme envahit ma bouche.

— Avale tout !

Je déglutis le plus rapidement possible pour ne rien perdre de sa semence. Puis j’esquisse de petits mouvements avec ma langue pour bien le nettoyer.

— C’est bien. Tu me nettoieras aussi ainsi quand je t’enculerai.

Pourquoi ce besoin de dire, d’annoncer des humiliations futures ? Il faut que je sache. Je me redresse et le défie :

— Je fais ce que je veux, quand j’en ai envie !

La gifle me cloue sur place. Les larmes brouillent ma vue. Il en profite pour m’attraper par le cou et me monter sur ses genoux. Il a une main au creux de mes reins. De l’autre, il frappe mon cul méthodiquement et violemment. Je crie. Je me débats. Il continue inexorablement. Je l’insulte, il frappe encore plus fort. Mon cul me chauffe. Je lance mes jambes. Je crie encore. Rien n’y fait. En larmes, je cesse de me débattre. Il relâche un peu sa main sur mes reins, mais continue de me fesser. Je me laisse faire. Mieux, je sens une chaleur étonnante dans mon bas-ventre. Quand il arrête de frapper, je ne suis plus qu’une poupée de chiffon en travers de ses genoux. Il m’écarte les cuisses pour laisser passer sa main. D’un doigt, il fouille mon intimité. Je n’ai pas le temps de me rebeller que déjà il constate mon état d’excitation. Il porte ses doigts mouillés à ma bouche et force mes lèvres.

— Et en plus, tu as aimé.

Je pleure encore, mais cette fois de honte, d’humiliation.

— Reprends ta place.

Encore en sanglot, je me glisse à ses pieds. Je n’ose le regarder. Mes épaules sont secouées de soubresauts. Je devrais me lever, passer une chemise de nuit, ouvrir le porte et lui indiquer la sortie. Au lieu de cela, c’est lui qui se déplace. Il visite le rez-de-chaussée. Dans la cuisine, je l’entends ouvrir le réfrigérateur. J’entends des bruits de verre, de l’eau qui coule. Il se sert à boire. Je le sens dans mon dos. Il revient et je me raidis instinctivement. Il me propose un verre d’eau que je refuse d’un mouvement de la tête. Je suis dans un brouillard. Je n’arrive plus à raisonner. Je ne sais plus où j’en suis. Je l’entends qui reprend :

— Il te faudra un peu de temps pour t’avouer que tu as aimé, mais tu y arriveras, tu verras. En attendant, je te laisse. Prends le temps de réfléchir et rappelle-moi.

— Je ne veux plus vous voir !

J’ai crié cela instinctivement. Il faut qu’il parte vite, mais que j’aie l’impression que c’est moi qui le mets dehors.

— Tes cris ne m’impressionnent pas. Tu as vu ce dont je suis capable quand tu te rebelles.

Je ne peux m’empêcher de frissonner à ces paroles. Il se penche vers moi, prend mon menton dans sa main et me force à le regarder :

— Je te dresserai et tu aimeras ça. Tu as vu comme je peux te faire jouir. Tu seras obligé de t’avouer que la fessée t’a excitée. Mais cette jouissance, cette excitation, tu viendras les quémander. Tu me supplieras de te les donner.

Je ne peux soutenir son regard. Je n’ai rien à lui rétorquer. Tout ce que je peux faire ce sont des signes de négation de la tête. Il reprend :

— Quand tu voudras, tu m’appelleras. Tu as tout ton temps. Par contre, quand tu te décideras à franchir le pas, je ne veux entendre qu’une seule chose, c’est ton désir de te faire enculer. LIRE LA SUITE

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