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lundi 25 juillet 2011
par  Fatum

Louée

J’étais âgée de vingt-six ans lorsque mourut Robert. Il me laissait veuve, mais comblée. A dix-huit ans, après avoir réussi mon bac, j’avais fui la maison familiale où je me sentais enfermée. Mes parents n’avaient rien fait pour me retenir, semblant même soulagés de mon départ. Il faut dire que j’étais (...)