Le pavillon de banlieue

samedi 2 avril 2005
par  Oxélie
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Oxélie a 19 ans. Elle est étudiante en sociologie et travaille cet été pour une agence immobilière. Elle est très mignonne et aime s’habiller de manière sexy. L’agence compte sur ces charmes pour vendre ses biens immobiliers. Elle doit faire visiter un pavillon de banlieue à Marc la quarantaine. Très vite Marc va découvrir les tendances cachées de cette jeune femme.

*****

C’est l’été, il fait chaud Oxélie est habillée très légèrement. Son chef lui a conseillé de s’habiller sexy pour charmer ses clients. Elle porte une blouse presque transparente sous laquelle ses petits seins sont libres. Une minijupe met en valeur ses jambes galbées. Elle est jeune et athlétique.

La visite a commencé et Oxélie commence par ouvrir toutes les fenêtres et volets de cette maison qui n’est plus habitée. Marc observe le spectacle car Oxélie doit se baisser et prendre des positions qui découvrent et mettent en valeur certaines parties de son beau corps. En ouvrant une fenêtre Marc remarque qu’Oxélie ne porte qu’un string. Marc voit aussi qu’Oxélie porte un piercing au nombril, un assez gros anneau, et un tatouage à 6 chiffres sur l’épaule....

Au début, il ne dit rien. Il l’écoute et il la laisse vanter la marchandise, en plus pourquoi troubler ce moment divin ou il peut lorgner sur ton string super sexy et il est bien intrigué par ce tatouage. Il essaye d’imaginer qu’elle vante les attributs de son propre corps et qu’il peut tâter la marchandise.

Elle l’emmène visiter le grenier, où Marc aimerait se faire aménager une pièce réservée à son usage personnel. Après avoir monté le petit escalier, Il se lance et lui demande ce que signifie ces six chiffres :

— Malgré moi je les ai vu et cette question m’interroge.

— C’est une homologation, mon numéro d’inscription dans un registre. Une longue histoire ! Je vais peut— être faire tatouer un dessin à côté. Regardez, dit—elle en découvrant complètement son épaule. Je n’ai pas pu choisir les caractères.

— C ’est vrai ! c ’est un peu nu, dit Marc.

Il fait très chaud dans le grenier. Oxélie se retourne en gardant l’épaule découverte. Comme elle n’a pas de soutient gorge son sein droit est visible. Il est percé d’un gros anneau doré. Oxélie est sportive, son corps est parfait. Très professionnelle elle continue son discours comme si de rien n’était.

La fiche dit qu’une partie du grenier n’a pas été débarrassée.

— C’est la première fois que je viens ici, nous allons le découvrir ensemble. C’est de ce côté— ci.

Il y a beaucoup de choses qui pendent, des toiles d’araignées. Il fait
chaud.

— Je vais abîmer ma blouse et ma jupe avec ces toiles d’araignées et ces choses qui pendent, cela ne vous dérange pas si je les enlève ?

— Au contraire dit—il et galant il l’aide à retirer sa blouse.

Comme Oxélie ne portait pas de soutif, elle se retrouve les seins nus. Elle ajoute en riant :

— Je suis comme à la plage.

— Vous avez une belle paire de seins, lui dit Marc.

— Merci, dit—elle en continuant d’avancer.

Ils progressent dans ce grenier chaud et poussiéreux, et arrivent devant une petite trappe.

Marc aime les mystères, il est servi avec cette maison. Oxélie ouvre, interrogative, la trappe et ils découvrent ce que nous appelons de nos jours un donjon. Le propriétaire devait être adepte des relations sado masochistes.

— Je prendrai le flambeau avec plaisir ! Dit Marc en s’approchant d’Oxélie qui lui tourne le dos, et, sans qu’elle s’en aperçoives sur le coup, tellement elle est
absorbée par l’étude des instruments bizarres, il essaye de lui passer un collier et une laisse.

Oxélie s’échappe en disant :

— Regardez c’est une croix de St.—André. Elle est belle.

— Vous vous y connaissez en SM ? demande Marc.

— Non, je suis une débutante dans ce domaine, répond Oxélie.

— Regardez un pilori, dit Marc.

— Combien de poulies y a t’il ? demande Oxélie

— Une, deux ... compte Marc.

Oxélie a saisi un crochet de boucher accroché à une poulie.

— Celle—ci marche encore dit marc en actionnant un levier.

Oxélie se rend compte que c’est celle dont elle tient le bout. Elle regarde Marc dans les yeux et l’envie d’être soumise par cet homme monte en elle. Elle est presque nue devant lui. Il la regarde avec défi. Sans dire un mot Oxélie passe le crochet de boucher dans les 2 anneaux de ses seins et dit :

— Vous voulez reprendre le flambeau, chiche ?

Marc ne réagit pas.

— Tirez sur la poulie si ça vous tente, continue Oxélie sur un ton de défi.

Lorsque Marc s’avance pour actionner la poulie, il sent que les globules se battent entre eux dans son corps. Oxélie n’a plus que son string et ses escarpins. Les pointes de seins sont désormais collées l’une à l’autre. C’est en la regardant dans les yeux qu’il actionne la poulie avec soin. LIRE LA SUITE


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Commentaires

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mercredi 28 septembre 2022 à 19h17 - par  Henic

Ne boudons pas le plaisir de découvrir cet unique texte d’Oxélie sur rdf. Il se laisse lire d’un bout à l’autre sans véritable effort.
Il y a bien quelques imperfections dans l’écriture, des incorrections grammaticales, etc., mais pour un coup d’essai (19 ans, c’est jeune !), disons qu’il y a du potentiel.

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lundi 10 février 2014 à 11h07 - par  Lien

merci pour ce texte que je viens de découvrir et que j’ai beaucoup aimé. Thierry

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