Sainte Morgane

jeudi 9 juin 2011
par  Fatum
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J’avais trente-deux ans lorsque j’arrivai à Sainte-Morgane, pensionnat très select situé en altitude en Suisse face à un grand lac. Après avoir poursuivi de très longues études, et détenteur de plusieurs diplômes, j’avais accepté un emploi temporaire dans un établissement officiel où j’enseignais la littérature, l’histoire et le grec. Ce brillant curriculum -vitae allait me permettre de progresser très vite dans ma carrière. Je savais que les salaires en Suisse étaient plus élevés qu’en France et quand je vis une annonce pour un emploi à Sainte-Morgan, je postulai immédiatement pour après deux entretiens obtenir la place convoitée. J’y serais responsable de deux classes pour les trois branches précitées.

Sainte Morgane, collège renommé dans les hautes sphères de la société, était réservé aux jeunes filles de treize à dix-neuf ans .Je devrais prendre en charge des élèves de la dernière année. Le prix des études y était prohibitif, et par conséquent l’accès y était réservé uniquement à des enfants de familles fortunées. Les bâtiments étaient très confortables, entourés d’un parc surplombant les bords du lac. Le pensionnat abritait outre les enseignants, pour la plupart féminin, une soixantaine d’élèves. La plupart des professeurs logeaient dans la ville voisine mais comme j’étais étranger, la direction avait mis à ma disposition un petit bungalow situé à l’extrémité du parc. J’y disposais d’une chambre assez vaste, d’un grand bureau, d’une salle de bains et d’une kitchenette, à une trentaine de mètres du bâtiment principal .J’arrivai là au début du printemps, au milieu du second trimestre, et dus me mettre immédiatement au travail.

L’uniforme imposé aux élèves était classique pour ce genre d’établissement : une blouse blanche avec cravate et débardeur gris, une jupe immédiatement au-dessus des genoux et des bas blancs sur des chaussures noires. N’ayant pas l’habitude de cette catégorie d’élèves, j’étais intimidé lorsque pour la première fois j’entrai dans ce qui allait devenir ma classe. La directrice m’avait accompagné pour me présenter à mes futures ouailles. Elle le fit en termes élogieux qui me firent rougir, puis elle sortit après m’avoir souhaité bonne chance. Je montai sur l’estrade où se trouvait mon bureau et regardai mes élèves. Chacune d’elle disposait d’un petit bureau et d’une chaise, et il y avait quatre rangées de six bureaux. Les élèves me regardaient avec curiosité, semblant se poser des questions à mon sujet. La plupart des filles étaient jolies, cheveux bien soignés, très nettes sur elles. Je me lançai à l’eau, avec humour comme il est préférable de le faire dans ce cas, et commençai mon cours. Deux jours plus tard, j’avais une idée du niveau de ma classe qui comme j’aurais pu m’y attendre était excellent. Les filles semblaient très cultivées, très organisées, et manifestaient pour l’étude un goût prononcé. J’aurais dû me méfier. A leur âge, la chose n’était pas normale, et elles devaient avoir trouvé une autre source de délassements que celle d’un travail assidu et régulier. Cette source, j’allais très vite comprendre ce qu’elle était. J’avais déjà remarqué que certaines élèves étaient fort intimes entre elles. Sachant la chose normale, je ne m’en offusquai pas. Visiblement, leur puberté les travaillait mais tant que leur travail ne s’en ressentait pas, je n’attachais guère d’importance à cette situation. Tout commença quatre semaines après mon arrivée. Etait-ce l’effet d’un printemps tardif, mais une sorte de nervosité semblait travailler mes élèves. Chaque matin, je passais relever mon courrier dans une boîte à lettre privée fixée au mur du hall d’entrée, à côté de celles des autres professeurs. Un matin, j’y découvris un petit paquet sans aucune indication. Je le glissai dans ma serviette et avant d’aller au cours, le déposai sur mon bureau, me promettant de l’ouvrir le soir même. Toute la journée, il me sembla que j’avais droit à des sourires moqueurs de la part de mes élèves et je constatai que celles qui se trouvaient au premier rang avaient innocemment remonté leurs jupes, me laissant entrevoir par moments de petites culottes blanches. Je n’y prêtai qu’une attention amusée, sans faire aucune remarque, ce qui sembla désorienter et énerver les élèves qui s’étaient prêtées à ce petit jeu. Malgré tout, la journée se termina normalement, et je retournai chez moi afin de m’atteler à la correction des devoirs du jour. J’avais complètement oublié le paquet que j’avais déposé sur mon bureau. Je l’ouvris et fus stupéfait de ce qui s’y trouvait. Il y avait là un bandeau noir et une lettre tapée à la machine. Je n’en crus pas mes yeux en la lisant. Voici ce qu’elle disait « Ce soir, ne fermez pas votre porte. Une ou plusieurs d’entre nous viendront vous rendre visite. Couchez- vous sur votre lit, le bandeau mis sur vos yeux. Nous ne vous voulons aucun mal, nous voulons simplement que vous nous donniez du plaisir et de notre côté sommes décidées à vous en donner aussi. Ne cherchez pas à nous reconnaître, sinon nous ne reviendrions plus, et vous le regretteriez. Nous comptons sur votre discrétion. Nous vous demandons aussi durant le temps que nous passerons avec vous de garder un complet silence, nous ferons de même. Et si vous désirez encore augmenter le charme de ce que vous allez vivre, bouchez également vos oreilles .N’oubliez pas de laisser allumée votre veilleuse. A cette nuit donc, nous vous promettons qu’elle dépassera tout ce que vous pourriez espérer de notre part. » Aucun autre indice. Qui avait écrit cette lettre, je ne le saurais jamais. Visiblement, elles étaient plusieurs avoir mijoté ce plan. Je décidai alors de n’en parler à personne, et de laisser aller les choses. Je croyais ne pas courir grand risque. Mes visiteuses garderaient le silence, et dans la nuit, elles ne couraient pratiquement aucun risque de se faire voir.

Après avoir corrigé les devoirs et soupé légèrement, je pris un livre que je m’efforçai à lire. Puis, vers dix heures, je décidai de me coucher. Je me contentai d’enfiler mon pantalon de pyjama, laissai allumée ma veilleuse et me bandai les yeux. J’avais évité de fermer la porte du bungalow, et me mis à somnoler. Je sentis alors une présence à mes côtés, mais ne bronchai pas. Des mains se saisirent de mes poignets et les attachèrent aux barreaux de mon lit, derrière ma tête. Pendant ce temps d’autres mains descendirent de chaque côté le long de mon corps, me caressant doucement. Des lèvres se posèrent sur ma bouche que j’ouvris, une langue força le passage. On m’embrassait avec fougue, et instinctivement, je rendis le baiser qui se prolongeait. Les mains qui me caressaient avaient rejeté les draps et s’attaquèrent à mon pantalon de pyjama qu’elles me retirèrent. Je bandais maintenant. Les mains qui me caressaient toujours furent remplacées par deux langues qui après avoir léché mes couilles remontèrent de chaque côté le long de ma hampe, et entamèrent sur celle-ci un mouvement de va-et-vient. Pendant ce temps, mon baiser avait pris fin. Mais aussitôt un sexe féminin vient se placer sur ma bouche : on me présentait une chatte à lécher. Son odeur m’excita au plus haut point, et je m’acquittai de ma tâche avec plaisir, soignant tout particulièrement le petit clitoris .Au bas de mon corps, une bouche s’était emparée de mon sexe qu’elle suçait maintenant frénétiquement En même temps, des bras relevaient mes cuisses, et immédiatement une langue s’attaqua à mon anus qu’elle envahit doucement. Je n’y tins plus. Brusquement, j’éjaculai dans la bouche qui m’était offerte. Au même moment, la fille dont je suçotais le minou eut un orgasme, et jouit, laissant couler sa mouille sur ma figure. Je poussai un cri, mais ne pouvais entendre ceux de jouissance des filles qui m’avaient pris en charge. Elles ne m’avaient pas menti : je venais de vivre d’inoubliables moments. Combien étaient-elles ? Trois ou quatre ou plus, je ne le saurai jamais. Mais j’étais déjà décidé, si l’occasion m’en était donnée, à accepter d’autres soirées de ce type. Puis, ce fut le calme complet. On me détacha, et je sentis les corps quitter mon lit. J’attendis un moment, puis enlevai mon bandeau, débouchai mes oreilles. Tout était redevenu calme. Sur mon bureau, je découvris une grande enveloppe. Elle contenait une photo de ma classe, et une photo en gros plan de cinq sexes féminins. Un simple mot, sur un carton, en majuscules : « Qui ? » Je ne pus m’empêcher de sourire, on s’amusait à mes dépens. Je ne l’avais pas volé, mais n’étais pas fâché. J’aurais été bien en peine de découvrir quelles filles s’étaient ainsi emparées de mon corps. Je m’en moquais d’ailleurs éperdument, même le lendemain, lorsque je pénétrai dans la classe pour la première heure de cours, accueilli par des sourires ironiques. Toutes étaient apparemment au courant... Pour corser la chose, les filles du premier rang avaient carrément remonté leurs jupes sous lesquelles elles ne portaient pas de culotte. Je fis mine de ne pas m’en apercevoir, et une fois encore décidai de laisser faire.

La nuit suivante, les choses allaient se corser. LIRE LA SUITE

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