Le Maître de Francine 2

mardi 31 mai 2011
par  alab
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4.—Première fois.

Cette soirée, la première, a été le début de notre aventure.

Quand je suis passé la prendre, elle portait une robe bleue, légère, dessinant un corps agréable, souple, sous laquelle elle portait des bas : j’ai tout de suite repéré les jarretelles, moulées par un coup de vent qui plaquait sa robe sur ses cuisses… Premier indice fort…De nos jours ce n’était pas courant : la mode était aux collants…

Les talons étaient quelconques toutefois….

Un décolleté sage, en carré, soulignant une belle poitrine.

Et déjà, la première question : comment sont—ils ces seins ??

Après un gentil flirt autour d’un apéritif et d’un diner aux chandelles, je l’ai amené danser…Mais que c’était agréable, nos propos !!….Je restais coquin sans être vulgaire et je souriais de la voir rougir en m’abandonnant bientôt sa main qui serrait la mienne….C’est infiniment motivant de flirter avec une femme mure, intelligente…Les répliques fusent et je suis surpris de son esprit, de son humour…En plus, elle s’amuse, elle rit, nullement choquée de mes propos….

Boite de nuit….Je la sens fascinée. Je veux dire : peu ou pas habituée….Elle regarde partout, boit avec componction la première coupe de champagne….

— Je suis Cendrillon….me murmure—t—elle….

En attendant les slows, elle se raconte un peu plus, soupire de ses échecs, me questionne sans détours…Je lui dis la viduité de ma vie, ma quête, mes échecs aussi…sans dissimuler mes penchants dominateurs…Après tout, autant afficher la couleur…

Elle a ouvert de grands yeux….Surprise ?….

— Euh un peu….Mais je sais bien que ça existe…..Ce doit être dur pour la femme….

— Un peu…Pour l’homme aussi, vous savez…Aimer de cette façon est difficile…Mais une fois que ça a commencé, quel monde de plaisir !!!
J’ai du être sincère et convaincant, elle me sourit timidement, sans baisser les yeux….

Pas choquée en tous cas…..Pour une fois !

Je l’entraine sur la piste plongée dans la pénombre et je sens ses bras à mon cou, son ventre contre le mien….Nous tanguons sur place….J’embrasse sa joue, glisse sous son oreille….Tout doucement elle a tourné la tête et c’est elle qui m’a donné sa bouche, en haletant…
J’ai rarement embrassé une femme avec autant de plaisir…Bouche fraiche, langue mobile, lèvres douces qui cédaient sous les miennes, elle buvait ma salive, me donnait la sienne : elle se donnait tout entière en embrassant…et quand j’ai coiffé un sein bien ferme avec ma main, à peine soutenu par un fin soutien gorge, je l’ai senti aussitôt gonfler, durcir….et un sursaut l’a collée contre moi…A partir de la, elle s’est frottée contre mon érection avec une volupté qui me grisait.

J’ai quelques critères incontournables pour ce qui concerne les femmes….
Le cul évidemment, c’est un préalable indispensable, mais cependant, une fois que c’est en principe acquis, un visage au moins avenant….Le sourire magnifie souvent un visage quelconque, jamais un visage aux traits durs….La taille et les chevilles : fines…Les petits tonneaux ne m’attirent pas !...

Et puis, puisque le reste est, au début, hors de portée, la bouche !!!… L’indispensable prélude, le thermomètre de l’envie….Un baiser doit me faire bander !... Combien de femmes ais—je quittées, juste après les avoir goutées, pour un baiser sec, des lèvres trop fines, une bouche maladroite, sans chaleur…

Un ami à qui je me plaignais, me disait :

— Tu as tort Jean….Ne t’arrête pas à ça !... Les façades moyennes peuvent cacher des trésors….Tant que tu n’as pas eu une femme !!…On trouve des pompeuses fabuleuses, des culs magnifiques, des cons incroyables….Le baiser n’est pas indispensable…

Je veux bien…mais mon ami est plus fin, c’est tout….D’ailleurs il fondait sur tout ce qui bougeait, jamais satisfait….

Qui a raison ?

Et j’ai pu, sans qu’elle n’ait aucun réflexe de défense, caresser, pétrir ses belles fesses pommelées pendant qu’elle ondulait contre mon érection….fermes et douces à la fois….qui tenaient presque dans mes mains….un gémissement, sa langue qui envahit ma bouche, un flot de salive !

Nous simulions debout un accouplement torride….

Un regard, à peine interrogatif : elle est à moi…. LIRE LA SUITE

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