Le grenier

vendredi 27 juillet 2007
par  Marsajean
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Assise sur la veille malle en osier qui devait être là depuis la nuit des temps, Christine regardait le capharnaüm qui l’entourait. IL lui avait promit de l’aider à mettre de l’ordre mais, comme d’habitude, IL avait trouver une vague excuse et elle ne le verrait plus de la journée. Tous ces objets qui avait fait les délices de leur premier propriétaire étaient là à l’abandon depuis tellement longtemps qu’on en oubliait les souvenirs qu’ils avaient enfouis au fond d’eux. Comme chaque fois qu’elle venait ici, elle se sentait un peu de vague à l’âme. La nostalgie du temps qui passe la rendait en peu triste. Pourtant, elle voulait vivre dans le présent et pas dans le passé. Cela ne servait à rien de se complaire dans sa mélancolie, il fallait retrousser ses manches et commencer le déblayage de ce fatras de vieilleries. La première chose à faire était de descendre chaque objets sur le trottoir et les faire évacuer par le service de ramassage des immondices de la ville.

Christine en était à son troisième ou quatrième voyage quand elle l’aperçut. Il était en train de fouiller les différents objets qu’elle avait déposés. Elle s’approcha mais l’homme ne l’entendait pas, absorbé qu’il était par son travail.

— Je peux savoir ce que vous faites sur mon trottoir ?

L’homme sursauta et faillit tomber les quatre fers en l’air.

— Excusez—moi madame mais je suis fasciné par les vieux objets et je ne peux m’empêcher de fouiller quand j’en aperçois sur un trottoir. C’est une vielle manie.

Si il avait été vieux et rabougri, elle ne l’aurait certainement pas regardé de cette manière, avec de petites étoiles dans les yeux. Elle voulait lui répondre mais en était incapable. Ils étaient là, l’un devant l’autre et se regardaient bêtement, ne sachant quoi dire. Le monde avait changé en quelques secondes autour d’eux mais ils ne l’avaient pas su. Elle fut pourtant la première à réagir.

— Ne vous excusez pas monsieur, prenez ce que bon vous semble, ce ne sont que des vielles choses sans importance qui encombrent le grenier.

— Merci madame mais, si j’osais, je vous demanderais de me permettre de faire un petit tour dans votre grenier, il doit déborder de richesses insoupçonnées.

Christine hésite une fraction de seconde. Et si elle avait affaire avec un tueur sadique ? De toute façon, IL est encore là et elle pourra toujours l’appeler si les choses tournent mal.

— Pourquoi pas ? Suivez moi.

Ils entrent dans la maison et montent directement au grenier. L’homme est comme un petit garçon devant des jouets merveilleux. Il agit comme si elle n’était plus là et cela la vexe sans qu’elle comprenne pourquoi. Elle n’avait aucune idée en précédant l’homme mais, depuis qu’ils sont dans le grenier, elle se surprend à le regarder autrement. Il est bel homme, dans la cinquantaine. Ce doit être un sportif car il n’a pas ce petit ventre qui caractérise les hommes de son âge. Machinalement elle s’est assise sur la vielle malle d’osier et ferme les yeux. Elle est nue entre ses bras et l’homme la caresse partout, ses lèvres se posent sur toutes les parties de son corps et…..Elle est surprise quand l’homme lui répète la question qu’il doit avoir posée plusieurs fois.

— Hou ! Hou ! Madame, vous êtes avec moi ?

— Heu ! Excusez moi, lui répond—t—elle, je devais être en train de rêver.

L’homme vient s’asseoir à ses côtés. Quand il lui prend la main elle frissonne.

— Vous avez froid, lui demande—t—il en retirant sa veste.

— Non ! Je n’ai pas froid.

— Alors c’est moi qui vous fait frissonner ?

Avant qu’elle ne réponde, il lâche la main de Christine. Elle a l’impression de tomber au fond d’un gouffre. Instinctivement elle reprend la main de l’inconnu pour se rassurer. Cette main lui fait chaud au cœur.

— Excusez moi mais je suis troublée, lui dit Christine. Le pire c’est que je ne sais pas pourquoi.

Doucement, l’homme lui caresse la joue.

— C’est peut—être ma présence qui vous trouble ?

— Je crois, lui répond—t—elle d’une petite voix.

L’homme se penche et ses lèvres se posent délicatement sur celles de Christine qui, instinctivement ouvre la bouche. La langue de l’homme entre lentement dans sa bouche et bientôt leur langue se mélange en un baiser tendre et passionné en même temps. Les mains de l’homme ne restent pas inactives, elle entreprennent de défaire les boutons de la chemise de Christine. Bientôt la main se glisse sous le tissu de la chemise et reste en suspens quelques secondes en se rendant compte qu’il n’y a pas de soutien—gorge. Les doigts caressent doucement le globe de chair comme pour en juger l’élasticité, puis s’enhardissent et s’emparent du petit téton qui gonfle et durcit sous la caresse. Là, nouvel arrêt de quelques secondes, les anneaux aux seins de Christine ont surpris l’homme mais ne l’arrêtent pas, au contraire, ils semblent le stimuler. L’autre main entreprend de libérer la chemise et la fait glisser sur la peau de la femme. Christine se retrouve nue jusqu’à la taille. La bouche de l’homme quitte sa bouche et vient en la couvrant de petits baisers jusqu’au sein gauche dont il prend le mamelon entre les lèvres. Par petits coups de dents, il mordille délicatement le petit bouton de chair ce qui a pour effet de faire se durcir encore plus le mamelon.

— Chérie ! Hou ! Hou ! Chérie ? Ca va ?

La douche froide, elle avait oublié qu’IL était encore dans la maison.

— Heu ! Oui ! Tut va bien, je fouille.

Elle veut reprendre sa chemise mais l’homme la garde en main et ne veut pas lui rendre. Elle n’ose pas crier pour ne pas qu’IL s’inquiète et vienne voir ce qui se passe. Elle se lève et veut tendre la main vers sa chemise pour se couvrir la poitrine mais l’homme est plus rapide qu’elle et il lui saisit un poignet et l’attire contre lui. Sa bouche prend directement possession de la sienne et, oubliant toute prudence, elle s’abandonne au baiser. elle tente malgré tout de résister quand elle comprend que l’homme a décidé de lui enlever son pantalon. Quand elle arrive à se séparer de l’homme, son jeans est sur ses cheville et elle découvre aux yeux ébahis de l’homme sa petite chatte lisse et dépourvue de tout poil. Elle fait mine de vouloir remettre son pantalon mais dans cette position, l’homme a vite fait de la faire tomber sur la malle en osier. Le temps pour elle de se dépêtrer de cette situation, l’homme a étendu une couverture trouvée sur une vielle armoire, et y étend délicatement Christine. Il se déshabille à son tour et vient s’étendre aux côté de la jeune femme. Christine a eu le temps de reprendre ses esprits et veut en rester là mais l’homme pose ses mains sur le corps nu de le femme et elle se sent fondre sous les caresses. Les mains de l’homme sont douces et Christine frisonne sous le massage doux et langoureux. Les doigts de l’homme s’amusent avec les anneaux des seins de la jeune femme, il les fait balancer de haut en bas et de bas en haut doucement pour ne pas lui faire mal.

Les mains de Christine ne restent pas inactive et elle caresse le torse de l’homme en jouant avec les poils de sa poitrine. Puis, lentement une des mains descend vers le ventre de l’homme et bientôt elle a entre ses doigts la tige de chair dure comme de la pierre. Les doigts de l’homme se sont infiltrés entre les cuisses de Christine et cherche l’entrée de son vagin. Il ne lui font que quelques secondes pour y parvenir tellement la jeune femme est humide de désir. L’homme joue avec le clitoris qu’il caresse lentement du bout des doigts. Elle gémit sourdement et son corps se tend comme un arc vers les caresses. Elle le veut en elle et le lui murmure à l’oreille.

— Prends moi ! J’en ai envie.

Alors, l’homme se glisse entre les cuisses de la femme et présente son sexe. Elle s’arc—boute

Et tend son corps à la rencontre de l’homme qui, doucement écarte les lèvres vaginales et entre son sexe dans l’intimité de Christine qui pousse un soupir d’aise pendant que la queue de l’homme se fraye un chemin en elle.

Longtemps il se fait aller tendrement en elle. Puis, les mouvement se font plus rapides et désordonnés, les deux corps vont à la rencontre l’un de l’autre. Elle commence à pousser de petits cris. Alors, il l’embrasse pour la faire taire. Quand enfin le plaisir la submerge, ses cris de jouissance sont étouffés par les lèvres de l’homme qui continue son va et vient lentement. Plusieurs fois Christine est envahie par le plaisir avant qu’elle ne supplie l’homme

— Arrête, je n’en peux plus !

Alors, il se retire doucement et la regarde avec de l’amour plein les yeux. Elle le repousse et se penche vers son sexe toujours raide et le prend dans sa bouche. Il ne lui faut que quelques coups de langue pour sentir le sexe se trémousser et entendre l’homme pousser un gémissement de plaisir. Elle le laisse éjaculer sur ses seins qu’elle masse doucement pendant que les longs jets de sperme se jettent sur les deux globes laiteux.

Longtemps ils restent sans bouger l’un à côté de l’autre à reprendre leur souffle. C’est l’homme qui, le premier, se tord sur la couverture pour se saisir de son pantalon. Il en retire un mouchoir et entreprend d’essuyer le sperme qui coule sur les seins de Christine. Elle a fermé les yeux et s’endort. Quand elle ouvre les yeux, l’homme est parti. Si elle n’avait pas été nue sur la couverture, elle aurait cru avoir rêver. Lentement, elle se lève et descend sans faire de bruit prendre une douche. Elle en sort au moment ou IL entre.

— Tu arrêtes ?

— Oui ! Je suis crevée et je vais aller m’étendre une petite heure.

— Je retourne au grenier, j’essayerai de ne pas faire de bruit pour ne pas te déranger. Qu’est—ce que je fais avec toutes ces vieilleries ?

— Tu peux tout jeter sauf la couverture, je la garde en souvenir.

IL est reparti et elle va se coucher. Dire qu’elle ne sait même pas comment il s’appelle. Elle se console en se disant que demain en allant travailler elle va le faire rêver. Qui sait ? Un jour il reviendra peut—être.




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