Le beau-frère

lundi 19 septembre 2005
par  Marsajean
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Je suis un peu stressée par ce que je vais faire ; raconter mon histoire. J’avoue que cette idée n’est pas de moi mais de mon seigneur et maître.

Je m’appelle Caroline, j’ai trente trois ans, je suis blonde aux yeux verts. Grande, un mètre quatre vingt pour soixante deux kilos. Des seins moyens, quatre vingt bonnet C. Comme les vraie blonde j’ai une toison pubienne peu fournie et mon sexe est parfaitement visible. Celui—ci est assez haut avec un clitoris proéminent qui se dresse à la moindre excitation. On me dit très belle et les regards des hommes et de certaines femmes sont explicites. Voilà pour la présentation.

Mon histoire commence un soir du mois de juillet alors que les vacances viennent de commencer. Je suis mariée avec François depuis six ans et, comme chaque année à la même époque, nous avons une réunion de famille.

Cette année pourtant il y a une grosse différence par rapport aux autres réunions ; Pierre est présent pour la première fois.

Pierre c’est mon beau frère, je ne l’ai jamais vu car c’est la brebis galeuse de la famille. Personne ne l’a invité, il l’a fait de sa propre initiative. Mes beaux—parents ne voulant pas faire de discrimination, ils l’ont accepté à leur table et ils n’ont rien trouver de mieux que de me placer à ses côtés.

Après deux heures, nous n’avons pas échangés plus de dix mots, il me fait terriblement peur et je ne sais pas comment réagir avec lui. Soudain, je sens une main se glisser sous ma jupe et remonter lentement vers mon ventre. Je suis partagée entre deux sentiments ; La honte de me sentir tripotée par une main inconnue et le plaisir d’être le jouet de mon beau—frère. Je pourrais serrer les cuisses, retirer la main qui s’avance de plus en plus ou hurler « au viol » mais je suis incapable de réagir et, au contraire, j’écarte les cuisses pour faciliter la tâche de la main qui arrive contre ma petite culotte. Ses doigts s’incrustent dans le fin tissu. Je me tortille pour l’aider à retirer le bout de soie qui protégeait l’entrée de ma chatte. Ce n’est pas la première fois qu’il fait ce genre de chose car en moins d’une minute ma culotte est à mes pieds. Je fais semblant de laisser tomber ma serviette pour avoir une excuse pour la ramasser, elle est trempée. Je rougis en mettant la culotte dans mon sac à main. La main de Pierre se fait plus insistante et ses doigts s’infiltrent entre les lèvres de ma chatte. Il se penche à mon oreille.

— C’est qu’elle mouille comme une fontaine ma petite salope de belle—sœur me dit—il doucement.

Je reste stoïque à regarder devant moi. Les doigts s’emparent du petit bouton de chair qui se dresse fièrement et commencent à jouer avec. Insensiblement mes cuisses se resserrent sur la main qui me fouille. S’il n’arrête pas je vais jouir au milieu des invités de ma belle famille. Brusquement la min se retire et une petite voix me chuchote à l’oreille.

— Dans cinq minutes derrière la cabane de jardin.

Mon voisin se lève et se dirige vers la maison. Je dois être pâle car ma belle—mère semble s’inquiété.

— Ca ne va pas ma chérie me demande—t—elle d’une voix inquiète ?

— Si ! Si j’ai juste la tête qui tourne un peu, ce doit être l’air. Je vais aller faire un tour au fond du jardin, ça va aller.

— Tu veux que je t’accompagne me demande François ?

— Non ! Laisse moi seule, ça va passer.

Je me lève et me dirige lentement vers le fond du jardin de nos hôtes. J’arrive à la vielle cabane en bois. Une main m’attrape le bras et m’attire derrière le petit bâtiment de bois. Je suis plaquée contre la paroi rugueuse. Les lèvres de Pierre se posent sur les miennes et sa langue me fouille la bouche. Ses mains ne restent pas inactives et mon chemisier est ouvert en grand. D’un geste sec et violent mon soutien gorge est arraché de mes épaules. Ma poitrine est offerte aux mains de Pierre qui la malaxe durement sans la moindre douceur. Ma jupe glisse sur le sol, mes cuisses sont écartées, ma chatte est ouverte et je sens le gland du sexe de Pierre se présenter. D’une poussée violente, il s’introduit en moi. Il se trémousse deux ou trois fois en moi et je sens une vague de plaisir m’envahir, je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier et ameuter la famille. Il continue de se faire aller en moi et je ne peux refluer une deuxième vague de plaisir qui explose dans mon ventre. Lui n’a toujours pas jouit et continue à faire entrer et sortir sa grosse queue en moi. Je viens juste de ma laisser aller après avoir joui quand je le sens qui se retire de ma chatte et me retourne, je n’ai pas le temps de discuter que son gland se présente à mon anus et d’une violente poussée il l’introduit dans mon fondement. C’est la première fois que je suis enculée et j’ai envie de hurler de douleur tellement cela fait mal mais la peur de voir arriver les autres, m’oblige à me mordre le bras pour ne pas crier. Il ne faut pas longtemps à Pierre pour me lâcher son sperme dans mon anus, je sens le liquide poisseux se répandre dans mes intestins et la tige de chaire se dégonfler et quitter mon cul. Le sperme coule entre mes fesses quand il me retourne et m’embrasse fougueusement. Quand il s’écarte, je le gifle.

— Espèce de salaud !

Il rit de bon cœur devant ma colère.

— Tu as un cul d’enfer ma chère belle sœur.

Il se rajuste et me laisse là à moitié nue avec ma jupe à terre, mon soutien en lambeaux et le sperme qui continue à sortir de mon anus. Heureusement j’ai des mouchoirs en papier et je peux m’essuyer avant de remettre mes vêtements. Mon soutien est devenu immettable et je dois me résoudre à le mettre dans l’espèce de poubelle qui est posée à quelques mètres de là.

Je cours vers les toilettes, je dois avoir une tête à faire peur avec mon rimmel qui coule. J’ai les jambes qui flageolent pendant que je me dirige vers les toilettes. Je m’y enferme et me précipite vers l’évier et le miroir, il est temps que je me refasse une beauté si je ne veux pas que tout le monde sache que je me suis faite baisée et enculée. Déjà que je n’ai plus de soutien gorge et que mes seins se balancent au rythme de ma marche.

Quand je viens reprendre ma place aux côté de Pierre qui discute avec son voisin de table comme s’il ne s’était rien passer, ma belle mère me regarde d’une manière bizarre, j’ai l’impression qu’elle sait très bien ce qui vient de se passer.

— Tu as l’ai de quelqu’un qui vient de passer sous un rouleau compresseur me dit—elle en souriant.

Je ne peux m’empêcher de lui répondre sur le même ton.

— C’est l’impression que j’ai moi aussi lui dis—je en souriant béatement.

Jamais je n’avais trompé mon mari, c’est la première fois mais je sais que cela ne sera pas la dernière. J’ai envie que tout le monde sache ce que je viens de faire et je ne peux m’empêcher de glisser une main sur la cuisse de Pierre qui se tourne vers moi en souriant.

Sur la terrasse mon beau—père a sorti son vieux tourne disque et nous invite à danser sur de vieux slows des années soixante. François est le premier à m’invité et je le suis sur la piste improvisée. Il ne lui faut que quelques secondes pour se rendre compte que je n’ai plus de soutien gorge.

— Tu as retiré ton soutien—gorge ? Me demande—t—il.

Je me penche à son oreille pour lui répondre.

— Non ! On me l’a arraché pour me baiser.

Il marque un temps d’arrêt dans la danse et s’écarte légèrement pour me regarder fixement.

— Tu ne parles pas sérieusement là ?

— Je n’ai jamais été aussi sérieuse de ma vie, ton frère m’a d’abord enlevé ma culotte devant tout le monde puis il m’a entraînée dans le fond du jardin et là, il m’a déshabillée et a arraché mon soutien gorge qui est en lambeaux dans le vieux tonneau de ton père, celui qui lui sert pour son compost.

— Mais ! Mais tu …..

— Si tu veux tout savoir, il m’a fait jouir deux fois avant de me retourner pour m’enculer et me jouir dans le cul.

Avant qu’il ne puisse répondre, je le laisse là au milieu de la terrasse et retourne m’asseoir à côté de Pierre. Je n’ai pas le temps de m’asseoir qu’il m’entraîne lui aussi sur la terrasse et m’enlace pour danser. Ses mains me pelotent sans vergogne au vu et au su de tous. Je ne fais rien pour le repousser au contraire, je me plaque à lui et le laisse faire ce qu’il veut. Il a glissé une main sous ma jupe et me caresse les fesses nues devant les yeux hagards et réprobateurs de la famille qui est devenue silencieuse. Pour enfoncer encore plus le clou, Pierre se penche sur mes lèvres et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues se mêlent un long moment avant que Pierre ne se recule. Il a les yeux fixés aux miens et un léger sourire sur les lèvres.

— On y va ma toute belle ?

— Où ?

— En enfer me répond—t—il.

— Maintenant ?

— Oui ! Me dit—il sans me quitter des yeux.

— Et François ?

— Je m’en fous complètement. C’est toi qui doit savoir si tu viens avec moi ou si tu restes avec ces grenouilles de bénitier.

— Combien de temps ? Lui demandais—je un peu anxieuse.

— Je n’en sais rien, six mois, un an, dix ans, va savoir. Cela dépendra de toi et du plaisir que je prendrai avec toi. Si tu m’emmerdes je te largue vite fait. Je veux ton cul, ta chatte et ta petite gueule d’amour. Je vais t’apprendre à donner du plaisir et à en prendre.

Il me laisse là et s’en va vers la table pour reprendre sa veste, il fait un grand signe à ceux qui sont attablés en silence et se dirige vers la petite barrière au fond du jardin. Il va poser sa main sur la barrière quand je me décide à le suivre.

— Attendez moi, j’arrive.

Une minute plus tard, je suis dans sa voiture essoufflée d’avoir couru. Je n’ai pas vraiment le temps de réaliser ce que je viens de faire qu’il se tourne vers moi.

— Ouvre ton chemisier et sort tes seins et remonte ta jupe et pose tes fesses sur le cuir du siège.

Machinalement je commence à ouvrir les petits boutons de mon chemisier, j’écarte les pans du chemisier et présente fièrement ma poitrine aux regards des passants. Puis je me soulève pour remonter ma jupe jusqu’à la taille. Ce n’est qu’alors que Pierre démarre pour m’emmener vers une vie nouvelle. J’abandonne ma petite vie de bourgeoise sans le moindre regret.

J’ai terriblement peur de ce qui m’attend car je suis sure qu’il va me faire faire des choses que je n’ai jamais osé ni même imaginé faire un jour. Je ne sais qu’une seule chose avec certitude, je suis prête à devenir une vraie salope pour lui faire plaisir.

Nous roulons une bonne heure avant qu’il ne se dirige sur une petite route de campagne vers une espèce de ferme. Quand il arrête la voiture, il me fait sortir.

— Retire tes vêtements, tu n’en pas vraiment besoin ici.

J’ai les mains qui tremblent quand je fais glisser mes vêtements sur le sol pierreux de la grande cour de ferme. Quand je suis entièrement nue, il ramasse mes vêtements et va les jeter dans une grande poubelle en plastique puis revient vers moi. Il m’attrape le bout d’un sein et le tire pour que je le suive dans le bâtiment principal. Le froid me fait frissonner légèrement.

Nous entrons dans une pièce immense. En fait il n’y a qu’une seule grande pièce qui regroupe la chambre à coucher, le salon, la salle à manger, la cuisine et la salle de bain. Il me tire jusqu’à la cuisine puis me lâche enfin le bout du sein.

— Prépares moi à bouffer, j’ai faim.

Il me laisse seule et complètement nue devant le réfrigérateur. Je trouves de quoi lui préparer une omelette aux champignons avec quelques tranches de pain. Quand c’est prêt, je vais lui porter un plateau avec ce que j’ai préparé. Il vient se mettre à table et commence à manger. Il n’a pas avalé deux bouchées, qu’il se tourne vers moi qui reste là debout à attendre.

— Glisses toi sous la table et fait moi une pipe.

Je reste figée. Je ne sais pas comment lui faire comprendre que je n’ai jamais fait ce genre de chose. Je n’en ai jamais eu envie et François ne me l’a jamais demandé.

— Qu’est—ce que tu attends ? Vas—y !

— Je ne ….

— Quoi tu ne sais pas ce que c’est qu’une pipe ?

— Heu ! Si mais je ne l’ai jamais fait.

— Ha ! Ha ! Ha ! Tu vas vite apprendre crois moi. Mets toi à genoux en prend ma bite en bouche, le reste va venir tout seul.

Je ne vois pas d’autre solution que de m’exécuter. Je me laisse tomber sur le sol et me glisse sous la table. J’ouvre la braguette de Pierre et en sort son gros sexe bien dresser. J’hésite avant de le prendre enfin en bouche. J’ai une petite nausée devant l’odeur âcre et amère qu’il dégage. C’est encore pire face au goût légèrement salé qui m’envahi la bouche quand la tige de chair passe entre mes lèvres. Après quelques hésitations ponctuées de commentaires de la part de Pierre je commence à sucer et à lécher la grosse bite comme si c’était une crème glace.

— C’est vrai que tu es une novice en la matière mais tu vas vite apprendre parce que c’est ce que je préfère et mes amis aussi.

J’ai un haut le cœur quand il me parle de ses amis. Je n’avais pas imaginé qu’il allait me partager avec d’autres hommes. A vrai dire je n’avais rien imaginer du tout, je l’ai suivi c’est tout.

— Je vais faire de toi une bonne petite salope qui va apprendre à se servir de tous ses trous pour donner du plaisir. Peut être même que je te ferai faire le trottoir juste pour le plaisir de te regarder harponner le client.

Le pire c’est que ses commentaires sur ma vie future ne me gêne pas vraiment, je suis prête à tout pour lui plaire alors que je le connais depuis seulement quelques heures. Dire qu’hier encore j’étais une femme respectable et respectée.

Un bruit de voiture me fait sursauté et je me cogne la tête sur le toit de la table.

— Ne t’inquiètes pas, ce sont mais copains qui arrivent. Va leur ouvrir.

— Mais, je suis nue !

— Ouais et alors ? Tu crois qu’ils n’ont jamais vu une femme à poil ? Ce sont de vrais hommes et ils ont déjà fait jouir quelques petites bécasses dans ton genre. De toute façon, tu vis à poil dans cette maison et tu es à la disposition de tous et toutes. Alors arrêtes de faire la mijaurée et va leur ouvrir avant qu’ils ne s’impatientent.

J’avale péniblement ma salive avant de me relever et de me diriger vers la porte d’entrée. Je me cache derrière la porte pour les faire entrer. Il y a là quatre superbes noirs qui ont entre vingt et trente ans. LIRE LA SUITE

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Commentaires

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lundi 16 janvier 2017 à 21h13 - par  Henic

C’est étonnant de voir à quel point Marsajean, qui est un auteur plein d’imagination et fort talentueux dans son expression, semble trouver parfaitement normal qu’une femme mariée tombe dans les bras du premier venu au point de divorcer, et cela même si elle subit les pires avanies de la part de son nouvel amant.
A défaut d’être réaliste, est-ce bien raisonnable ?