Balade dans le parc

mardi 24 mai 2011
par  Crabou
popularité : 1%
5 votes

— Il fait trop beau pour rester enfermés. Ça te tente d’aller faire un tour ?
—  Oui
—  Alors viens.

Ma femme empoigne un sac et nous sortons.

—  On va où ?
—  Que penses tu des bords du lac Moda ?

Nous sommes un couple mordant la vie à pleine dents et qui n’a pas peur de sortir des sentiers battus pour goûter au plaisir.

Les berges de ce lac sont un endroit de promenade sympa avec des coins un peu plus tranquilles dans lesquelles parfois des couples prennent un peu de plaisir quand il n’y a pas trop de monde.

Nous garons la voiture sur le parking principal. Julia ouvre son sac et me tend le collier de cuir que je porte lors de nos jeux de soumission. Le ton de la promenade est donné. Je m’attends donc ce qu’elle sorte de l’ordinaire.
Nos prenons le petit chemin bordé de bancs qui longue le lac. Le beau temps a attiré des promeneurs sans pour autant que ce soit la grosse affluence.

Lorsque nous arrivons à hauteur des premiers bancs, Julia ouvre à nouveau son sac et en sort un kilt.

—  Mets le

Je regarde autour de moi. Un couple est assis sur un banc un peu plus loin et quelques promeneurs se dirigent vers nous. Je noue le kilt autour de la taille puis l’enlève mon jeans et le donne à Julia qui le met dans son sac.

—  Je suppose que tu portes un string comme d’habitude ?
—  Oui
—  Enlève le

Je m’exécute et lui tends mon string alors que les promeneurs sont maintenant tout proche et que le couple sur le banc me regarde avec intérêt semble—t—il.

—  Non, dépose le banc bien en vue.

Je souris devant la perversité de cette demande. Les gens autour de nous savent clairement maintenant que je suis nu sous mon kilt. Nous reprenons notre balade. J’apprécie le petit vent qui s’engouffre sous mon kilt et vient titiller mes fesses et mon sexe. Il m’arrive régulièrement de me promener dans cette tenue en ville même l’hiver tant je trouve agréable de se sentir ainsi, accessible et caressé par le tissu à chaque pas.

— Interdiction de le tenir. Si le vent soulève ton kilt, tant pis pour toi.

Julia sait que cette interdiction m’excite beaucoup car elle « légitimise » les éventuelles exhibitions de mon cul. Huummm, j’adore. Nous arrivons dans une zone un peu plus déserte.

—  Donne moi ton t—shirt

Je l’enlève et fais face à Julia. Elle en profite pour poser une pince sur chacun de mes seins. Une délicieuse douleur envahit ma poitrine mais ce sera bien plus violent tout à l’heure quand elle les enlèvera. J’espère qu’elle jouera un peu avec la chaîne qui les relie pour ne pas que je m’habitue trop vite.

Je jette un coup d’œil et je constate que le couple qui était assis sur le banc nous a suivi. Julia accroche un laisse à mon collier et m’entraîne à sa suite.

Deux femmes et un homme nous croissent et font demi-tour.
Julia leurs sourit pour les encourager à nous suivre ; chose qu’ils font.

—  Je te veux pieds nus

Nous marchons ainsi encore quelques minutes, mon kilt dévoilant mes fesses au gré des coups de vent, les pinces tirées par la chaîne qui les relie en fonction de mes mouvements me rappellent à régulièrement leur présence. Le petit groupe nous suit toujours.

S’adressant aux spectatrices :

— Est-ce que l’une d’entre vous voudrait bien lui ôter son kilt svp ? LIRE LA SUITE





ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

ALLOPASS OU PAYPAL
OFFRE DECOUVERTE (1 jours)
ABONNEMENT 7 JOURS
ABONNEMENT 15 JOURS
ABONNEMENT 1 MOIS





ABONNEMENT 3 MOIS





ABONNEMENT 6 MOIS





SE DESABONNER


Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)


Commentaires

Logo de Henic
mardi 24 mai 2011 à 21h57 - par  Henic

Cravache et bougie, n’est-ce pas ? C’est toujours un plaisir de lire les écrits de Crabou : l’excitation est bien là, le fantasme est partagé, à l’exhibitionnisme près.