5 Descente fétichiste

Episode 5 Entrée en demeure
lundi 27 février 2006
par  kingliart
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Dans la voiture qui nous mène à une destination inconnue, tu commences à te sentir plus à l’aise. Ce sera de courte durée. Mes amis vont t’humilier encore, t’attacher et te montrer comment rester sage. Marie en prendra aussi pour son grade.

***

Nous arrivons à une maison de grande banlieue, une banlieue chic évidemment. Ma clientèle est suffisamment riche pour se permettre de construire de grands murs autour de demeures de luxe dans des quartiers peu fréquentés le soir.

Tu portes encore l’horrible bâillon qui doit maintenant être un immonde « machin » dans la bouche. Pendant le voyage tu as dégluti souvent. « Retirez cette chose de la bouche ». Je prends le bas qui servait de bâillon et le jette dans la rue. Une fois la voiture arrêtée je te demande si ton sexe est toujours bien visible. Tu me regardes étonnée et te penches.

— Oui…

— Pas suffisamment. Evidement la position assise dans la voiture rétracte votre sexe, le bouchon n’aide pas les choses. Tirez encore sur les lèvres.
Tu soulèves tes hanches et veut retirer le bas qui était enfoncé en toi. Je t’en empêche. Je ne peux m’empêcher de te caresser les jambes et de glisser mes doigts sur ton sexe glabre ; je me penche et l’embrasse. Tu es totalement docile et seule la rigidité du corset semble te tenir droite. Ma caresse insistante, la chaleur de mon haleine sur ta peau te font défaillir et je sens tes nerfs se relâcher enfin, après tant de dureté et d’humiliation. La fatigue et la lassitude t’envahissent et te grisent. Les yeux fermés tu frissonnes. Je te trouve particulièrement attrayante ; j’ai bien envie de repartir et jouir de ce corps à l’abandon, mais le devoir m’appelle !
C’est dans un halo de sentiments que tu entends ma voix te sommer de sortir de la voiture. Tu donnes l’impression de te réveiller. Le froid te rafraîchit le visage. Tu regardes la maison, inquiète. Je te demande de t’arranger un peu. « Vous serez l’attraction de notre soirée, soyez en fière. »

x x x

Une jeune femme vêtue comme une soubrette à l’ancienne, mais perchée sur des talons aiguilles, nous ouvre la porte. Non, elle n’est pas comme ces ridicules fausses soubrettes que l’on voit dans les magazines. Malgré ses escarpins à talons, elle a l’air bien sage. C’est une belle fille, blonde, souriante. Sa courte robe noire laisse dépasser un froufrou blanc. Sa poitrine pigeonne dans un corsage très fin, collé au corps qui laisse deviner de belles formes. Elle porte un petit collier en or, qui retient une clé délicatement travaillée. Ses jambes sont recouvertes par un bas de voile noir, très fin. Elle est plus élégante que perverse, ce qui la rend particulièrement attrayante. Après nous avoir fait monter le perron, elle nous fait passer dans le salon avant de se retirer.

Le salon est déjà peuplé de mes « amis ». Je te pousse au milieu du salon. Tu regardes autour de toi : trois hommes en costumes austères et une femme, très stricte, sont installés sur les fauteuils. Tous bien habillés, la quarantaine, des golden boys. La soubrette, ces hommes un peu trop coincés ici, cette femme sévère, tous les ingrédients typiques d’un club, penses-tu. Ce n’est pas ce que tu espérais, car, ainsi que tu me le diras plus tard tu redoutes les débordements des « usagers » peu scrupuleux. Ces messieurs me saluent, la dame également, mais personne ne t’adresse la parole directement. Tu remarques que la femme en tailleur porte également des talons aiguilles, comme ceux de la soubrette, caractéristiques par le talon très élevé et en métal. Une sorte d’arme menaçante qui prolonge des belles jambes. Elle porte visiblement une ceinture qui lui serre la taille, trop fine pour une dame de son âge.
Je te tiens par le bras debout au milieu de la pièce pendant que je parle de toi.

— Voici ma nouvelle recrue. Elle n’a pas pu garder ses bas jusqu’ici, car elle a eu une aventure sur le parcours. N’est-ce pas ? »

Tu ne réponds pas.

— Est-elle muette ? demande la femme. Les rires fusent. « Que vous est-il arrivé ? »

Tu ne sais pas à qui s’adresse la question et tu me regardes.

— Allez, réponds, que s’est il passé tout à l’heure ? »

Tu hésites.

— Elle a sûrement fait quelque chose de honteux » rigole un des hommes.

« Allez-y racontez voir ! » Tu sembles incapable d’ouvrir la bouche. « Je vais vous dire. Madame, s’est fait baisée par un jeune homme dans les toilettes d’un bistrot. Mais elle a perdu ses bas dans l’affaire.

— Ah, bon. Comment cela ?

Tu es complètement affolée, je vois ton regard qui fixe la porte d’entrée.

— Si elle veut pas nous parler c’est n’est pas grave. Ici les demoiselles de compagnie sont plutôt muettes, dit un des hommes, qui se lève, pour te regarder de plus près. Soulevez votre jupe. LIRE LA SUITE


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