1 Descente fétichiste

Episode 1 Descente dans la rue
jeudi 2 février 2006
par  kingliart
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Elle semble aimer ce qu’il lui propose mais ne sait ni jusqu’où il ira ni ce qu’elle est prête à endurer. Un conte fétichiste.
***

« Nous allons passer cette deuxième soirée ensemble. J’ai apporté quelques vêtements pour vous ». J’aimais ton affolement, les yeux grands ouverts, comme voyant ta dernière heure arrivée. En réalité tu n’avais plus de choix. Il fallait te soumettre entièrement à ma volonté, même si cela était douloureux. Tu aimais cet abandon mais tu le craignais, plus que toute autre chose. Depuis la nuit passée ton sexe te faisait mal, malmené et gonflé de désir. Je voulais te le rendre plus intensément présent. Le costume que je te tendais servait à cela : ne penser qu’au sexe, rien qu’à ton sexe.

Une large ceinture, ou un petit corset, enserre ta taille déjà fine. Mais en creusant ton ventre elle t’oblige aussi à te cambrer, « douloureusement » m’as-tu précisé. Elle arrive juste sous les seins et soulevait tes globes fièrement. Les agrafes arrières sont renforcées par des lacets et deux anneaux fermés par des petits cadenas. Ce détail, comme je te l’expliquai au moment de fermer les cadenas, n’avait aucune raison esthétique, pas plus qu’il ne permettait de s’assurer que le corset resterait bien fermé. Non, les cadenas ne servaient qu’à souligner que seul ton maître pouvait te libérer de cette étreinte. « Cette clé devient mon titre de propriété. » En disant cela je te caressais les seins, les fesses, et je passais ma main dans l’entrejambe. « Je suis très content de vous, je vous aime comme cela, vulnérable dans votre étroit corset ». Tu sembles apprécier mes caresses mais je sens ton corps assez réticent qui tremble, sûrement à cause de l’incertitude. Je n’avais rien dit de mes intentions.

Je te demande de rester face à la table de maquillage. Puis je t’enduis le corps de talc, une caresse qui te fait frissonner. Je m’attarde sur le haut de tes cuisses, je passe sur tes fesses, entre les fesses, dans l’entrejambe, recouvrement soigneusement tout ton corps. Je te sens plus détendue, le corps lisse et brillant. J’évite soigneusement de toucher aux lèvres du sexe. Au contraire, je veux que ton sexe soit humide. Je te demande même de te caresser, ce que tu fais en rechignant, prise d’une honte qui colore te joues. Je regarde avec attention tes doigts s’immiscer dans les pliures de ton sexe, s’attarder sur son point le plus sensible. Je reste attentif à ton souffle qui devenait de plus en plus court. Je prends ton poignet et t’empêche d’arriver au point de jouir.

Frustrée, tu attrapes le petit paquet que je te tends. « C’est le bas du vêtement ! ». Etonnée tu regardes la chose noire, luisante dans tes mains. Une culotte, noire, brillante en latex. Sans mot dire, tu passes la culotte en latex qui te serre étroitement la taille et les hanches, mais laisse les lèvres de ton sexe accessibles à travers une fine fente. Elle les fait jaillir vers l’avant, les lèvres coincées dans le caoutchouc. Je tire légèrement dessus pour que la chair soit saisie dans cet écrin noir. « Voici une des raisons pour lesquelles j’ai tenu hier soir à vous raser le sexe. Les poils auraient empêchés une bonne tenue de votre sexe dans cet étau de latex. Je tiens à ce que les lèvres de votre sexe soient bien mises en valeur, et cela ne peut se faire sans un peu les forcer à se tenir bien prises par le bord de la culotte, sans poils, sans poudre de talc ! Votre humidité naturelle va nous aider ici. » En disant cela je te caressais les lèvres en posant un peu de salive pour les faire briller, comme un bijou. Puis je te regarde, en faisant pénétrer ma main. « Vous serez punie si les lèvres se rétractent dans la culotte ! ». Tu sursautes autant par la brutalité des mots que de mon geste. Tu cherches à te retirer mais je te retiens. « Vous savez que c’est inévitable. Pour éviter cela je il faut de temps en temps que tirer vers le bas. Comme ça ! » Je retire ma main et attrape les lèvres, en les pinçant, et je tire un bon coup vers le bas.

Ma démonstration te fait pousser un jappement de surprise autant que de douleur. « Une fois installée dans votre culotte, vous aurez à répéter ce geste. » Tu te rends bien compte à quel point se sera difficile de respecter mon ordre, car en public tu ne peux pas te permettre d’exécuter ce geste obscène qui nécessite non seulement de te pencher ou te cambrer, mais aussi d’écarter les cuisses. Un peu gênée, tu me fais part de cette pensée et je ris en te répondant : « Rien ne vaut la peine de me désobéir ce soir ! Vous trouverez bien un lieu suffisamment à l’abri des regards ou alors, peut-être que cela excitera le regard des badauds. Mais nous n’avons pas fini… » LIRE LA SUITE


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