Greta, ma propriété

Chapitre 5 : Honorer son nouveau statut
dimanche 22 mai 2011
par  kingliart
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Une femme qui devient un objet sexuel et son mari propriétaire. Elle voulait connaître ses limites. Il la transforme en un objet sans volonté, entièrement dévouée et soumise sexuellement. Cette histoire n’est ni réaliste ni sympathique, elle ne recherche pas à comprendre les personnages, les sentiments des soumises ou des dominants mais à provoquer –à vous de juger. Contient des scènes d’humiliation, de dégradation, de philosophie sexiste, de viol et actes sexuels et dégradants sans consentement, des inventions diaboliques. Si vous n’aimez rien de tout cela, passez votre chemin !

Après une longue absence, voici la suite de cette histoire, reclamée au moins par un lecteur ! (MAJ : au moins 3100 lecteurs, tordus à ce jour...) C’est toujours aussi sexiste et infâme pour cette pauvre Greta. Ceci est de la pure fiction et fort éloigné de la réalité.

Chapitre 5 – Honorer son nouveau statut

Après le repas, les compagnons burent un café en s’asseyant autour de la table basse sans prêter la moindre attention à Greta qui semblait paralysée et tremblante, toujours à quatre pattes, le cul bien relevé avec la rose enfoncée dans son anus. Les autres femmes qui avaient été pareillement laissées dans le salon semblaient épuisées de cette attente. Une fois réinstallés commodément les membres de la communauté commencèrent à émettre des opinions sur ce qu’on pourrait faire d’une épouse récalcitrante. Après plusieurs suggestions salaces, son époux la délia, lui enleva son bâillon. Il la fit se mettre à genoux sur la table.
— Tu as entendu tout ce que nous nous ingénions à imaginer… c’est aussi cela que tu auras à apprendre à supporter ici : tu es juste une propriété, un objet de plaisir. As-tu compris ?
Greta secoua légèrement la tête.
— Et pour honorer ton nouveau statut de résidente de la communauté tu vas commencer par remercier Maître Marcel et moi-même.
— Je vous remercie Maître Marcel, de m’avoir punie.
— Remercie-moi !
— Oui, Monsieur. Je vous remercie Monsieur.
— Non pas comme cela. Comme je te l’ai dit tout à l’heure. Répète après moi : Votre propriété vous remercie pour cette punition.
— Votre propriété vous remercie pour cette punition.
— Dorénavant, tu dois toujours me remercier de la sorte. Entendu ?
— Oui, Monsieur.
— Et tu diras : « Oui, Monsieur, votre propriété a entendu ». je ne veux plus t’entendre dire « moi », « je », ni les verbes « vouloir » et « désirer ». Et ceci sera valable pour tout ton séjour ici. Quand tu m’auras donné des preuves de ta complète obéissance nous reviendrons peut-être sur ces règles. Pour l’instant tu n’es plus rien qu’un objet. Entendu ?
— Oui, … Monsieur… je … votre … propriété a compris.
— Non, pas « compris », entendu. Un objet ne peut pas comprendre… Héhé !
— Oui. Monsieur …Oui j’ai… enfin…, votre propriété a entendu.
— C’est bien, dit-il en la caressant. De plus, à partir de ce jour je ne veux plus t’entendre parler sauf si je te pose une question. Entendu ?
— Oui. Oui Monsieur
— Et…. dit-il la giflant au visage.
— non j’ai… enfin, votre propriété a entendu.
— Voilà tu commences à vraiment saisir ce que je veux de toi. Reste à genoux et tu ne bougeras que lorsque je te l’ordonnerai. Dorénavant tu n’es qu’un objet.

***

La conversation repris pendant que les liqueurs, les alcools et les cigares remplissaient l’air. Un des hommes avait posé la femme aux pieds attachés à la renverse sur le pouf et lui donnait une fessée en bonne et due forme jusqu’à la faire crier de douleur. Greta toujours immobile sur la table ne semblait pas écouter son mari ou quiconque. Elle avait fermé les yeux et soufflait profondément comme endormie. Elle n’écoutait pas non plus les pleurs de sa malheureuse compagne.

On finit par décider d’harnacher Greta comme prévu pour son séjour ce soir même afin que tous puissent profiter de son intronisation comme « résidente » comme ils dirent. Et pour corser le tout, on décida, comme le suggéra Maître Marc, de faire venir la servante Beth, une américaine dodue qui s’était perdue parmi ces vicieux dans des soirées débridés. Beth avait acquis le statut de servante de la communauté, de soubrette « française » par son dévouement et son insatiable volonté de se faire maltraiter mais aussi le plaisir qu’elle prenait à faire du mal aux autres pensionnaires. Elle était très redoutée des épouses et des soumises de la communauté qui y avait résidé. Greta ne savait pas encore ce qui l’attendait. Beth appartenait à la Maîtresse qui la laissait maltraiter les autres femmes et avec qui, elle-même, avait joué à de périlleux exercices sadiques. LIRE LA SUITE



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Commentaires

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lundi 23 mai 2011 à 14h12 - par  Henic

C’est épouvantablement excitant !
Merci à Kingliart d’avoir repris la plume pour la suite de l’histoire de Greta.