Une Rencontre étonnante -2-

La découverte du plaisir
mercredi 26 novembre 2003
par  Jean
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Voilà, j’avais compris comment elle fonctionnait dans la relation qu’elle attendait de moi, que je sois celui qui la guide dans la découverte de la sexualité.

— Dis moi maintenant quand as-tu fais l’amour la première fois ?

— Avec un garçon ou une fille ?

— Les deux.

— Mais commence par la première fois. Et sois précise... une comptable se doit d’être précise...

— C’était avec ma copine avec qui je partageais tout. Après l’épisode de la corde le matin, l’après-midi je lui avais raconté pour lui demander si elle aussi avait connu ça.

— Et ?

— Elle m’a dit que non, mais me demanda à voir où la corde avait frotté. Je pense maintenant que je n’avais pas osé regarder moi-même après coup. Peut-être par peur de découvrir quelque chose qui me ferait mal... je sais pas quoi, mais j’ai pas osé. Mais avec elle je voulais bien lui montrer, on est allé dans les wc des filles, là où on avait l’habitude d’aller pour échanger nos secrets pendant la récréation. On s’est mises dans une cabine et on a fermé derrière nous en prenant bien soin de vérifier que personne ne nous avait suivie. Je me suis appuyée sur le mur, et j’ai baissé ma culotte en relevant ma jupe.

Elle me demanda de lui montrer où c’était. Je mis mon doigt sur le haut de ma fente, juste au dessus où je fais pipi et en mettant mon doigt dessus, j’ai ressenti comme un choc électrique. J’ai poussé un petit cri. Je me rappelle que ma copine m’a assuré que je m’étais cassée quelque chose pur que j’ai mal comme ça... j’ai ri, mais non au contraire, ça fait du bien... Tu devrais essayer. Elle s’est mise sur le mur d’en face et dans la même tenue que moi, elle a aussi mis son doigt sur son bouton.

C’est la première fois que je voyais le sexe d’une autre fille, je me sentais troublée, mon cœur battait fort, j’imaginais que la porte aller s’ouvrir et qu’on allait nous surprendre... . Mais au contraire, la porte restait bien fermée, on entendait tous les cris de la cour de récréation. Elle m’a dit ne rien ressentir. Je lui ai proposé de le faire moi- même, j’ai mis mon doigt sur son sexe et j’ai appuyé fortement. Elle a eu un mouvement de recul, disant que je lui faisais mal. Je ne comprenais rien. Je ne savais pas à l’époque que moi j’étais en train de devenir une jeune fille, et qu’elle était encore une gamine.

Je lui ai proposé de me le faire... elle a mis son doigt sur ma fente, je lui ai demandé d’appuyer, comme avec la corde... et là une chaleur a envahi mon entre jambe et j’ai eu la même sensation qu’avec la corde, je me mis à trembler, serrant sa main entre mes cuisses, les yeux fermés, je gémissais, c’était bon, encore meilleur que le matin. Elle poussa un cri « tu saignes, tu saignes, maman qu’est-ce qu’on a fait ». Puis elle sortit en courant pour aller chercher la prof, je l’entends encore... « Madame, venez vite, Dominique est blessée, elle saigne »

Moi j’étais là appuyée sur le mur, ma culotte sur les chevilles, ma jupe relevée en train de regarder angoissée le sang qui coulait sur ma jambe. La prof, est entrée, elle s’est baissée devant moi, puis elle m’a souri, m’a dit « hé bien ma petite Dominique, rien de grave, tu es une jeune fille maintenant... » moi je comprenais pas... je me suis mise à pleurer.

— Voilà maître, la première fois que j’ai connu un orgasme, je suis devenue en même temps une jeune fille. Je me rappelle encore du mélange de peur et de jouissance que j’ai éprouvé ce jour là. Je ne l’ai plus jamais fait avec elle, mais je montais souvent à la corde, je suis devenue la meilleure de la classe. Jusqu’au jour où la directrice m’a convoquée dans son bureau et m’a parlé de la corde que je montais trop souvent, que ce n’était pas bien pour moi, que si je continuais elle le dirait à mes parents. Je n’ai rien compris, en tout cas la corde avait disparu du portique. Moi je voulais ressentir cette chaleur... Je n’ai plus osé le demander à ma copine, aussi j’ai appris à retrouver cette sensation en serrant mes muscles de mes cuisses et de mon bas ventre.

— Tu n’aurais pas pu te caresser toi- même ?

— Je ne savais pas que je pouvais, moi je croyais qu’il fallait que quelque chose appuie dessus... pas mon doigt en tout cas, car il n’avait fait aucun effet à ma copine... En tout cas, au bout de quelques jours, j’ai réussi à retrouver cette chaleur, en serrant alternativement mes muscles autour de mon sexe. Voilà comment j’ai appris à me faire jouir sans me toucher...

D’un geste tendre, je lui caressai la joue, elle inclina la tête, coinça ma main au creux de son épaule.

— C’est très bien je suis content de toi.

Des larmes coulèrent de ses yeux sur ma paume. Je sentis une émotion m’étreindre... Stop... attention danger... qui manipule qui là ? Je retirai vivement ma main et je lui dis sèchement.

— Tu n’as pas fini ton récit, continue. Et avec un garçon ce fut quand et qui ?

— Ce... c’était... je n’ose pas...

— Tu n’as pas confiance en moi ?

— Si, c’est pas ça, mais ce... c’était... mon frère...

— Il t’a...

— Non, non, pas comme ça. Il venait de rentrer à l’armée et lors de sa première permission, de le voir en uniforme, j’ai éprouvé la même chaleur, pas pareil, mais là je sentis mon sexe se mettre à ruisseler. Comme si j’avais mes règles. J’ai sauté dans ses bras et j’ai posé mon entrejambe sur sa cuisse, je me frottais à lui, et j’ai éprouvé presque immédiatement un orgasme. Je pleurais, je gémissais. Tout le monde a cru que je faisais une crise d’hystérie à la joie de le revoir. Il faut dire que c’était mon grand frère aîné. Et que souvent, je me confiais à lui quand mon père était absent sur la route. Oui, j’étais folle de joie, c’était vrai, mais, ma joie avait une autre origine.

— Avec lui tu as continué... plus loin ?

— Non, juste cet épisode.

Je me senti un peu soulagé... l’inceste n’est pas ma tasse de thé...

— Quand as-tu perdu ton pucelage ?

Elle baissa la tête rougissante...

— Jamais ?

— Comment ça ? Tu veux dire que tu n’as jamais fait l’amour ?

— Avec un garçon ? Non...

— Donc avec une fille... Dis je ne vais pas t’arracher tous les mots de la bouche...

— Oui, souvent avec une de mes voisines, une femme mariée plus âgée que moi, mais jamais avec un garçon ?

— Alors tu es vierge ?

— Oui et non, je n’ai plus mon hymen, mais je n’ai eu aucun sexe d’homme en moi. Mais cette femme m’a pénétrée avec un... une...

— Un, une quoi ?

— Un sexe d’homme en plastique... elle l’appelait sa bite fidèle... Elle était malheureuse avec son mari et elle m’a appris beaucoup de chose. Elle préférait faire l’amour avec moi. Elle me faisait bien jouir, de partout. Comme elle était ma voisine, mes parents ne voyaient aucun inconvénient à ce que je sois souvent chez elle... s’ils avaient su...

— Et à part elle personne d’autre ?

Elle baissa la tête en rougissant, je ne sais pas pourquoi, mais je repensais à sa réaction quand je lui avait demandé « ta petite sœur tu l’aimes beaucoup... comment ? ». J’ai estimé que le moment n’était pas propice pour aborder le sujet.

— Raconte-moi comment ça se passait avec ta voisine... je veux tout savoir, comment elle te faisait jouir de partout, sans oublier aucun détail.

— Elle m’avait invitée à venir la voir si j’avais un problème en anglais, car elle le parlait couramment. Effectivement, c’était pas facile pour moi, j’avais un gros problème avec les faux amis et les conjugaisons. Aussi je venais régulièrement la voir, je venais d’avoir seize ans. Ma poitrine était bien formée et attirait les regards de copains de classes, mais je ne m’intéressai pas à eux. Aucun ne me plaisait, trop gamins... à part un, je frère d’un petit ami de ma soeur que j’aimais bien on sortait un peu ensemble mais pas plus. Et puis je me contentai de jouir avec mes cuisses.

— Dis-moi comment a-t-elle fait pour t’amener faire l’amour avec elle.

— Un jour, j’ai eu un malaise chez elle, je me suis mise à transpirer et ma respiration devenait difficile. Elle m’allongea sur le divan et me mit une serviette sur le visage. Je me sentis mieux, mais j’étais trempée, toute mouillée. « Tu vas prendre froid » me dit- elle, « tu devrais prendre une douche, tu te sentiras mieux après ». Elle me dit ça sur un ton sans réplique, je lui dis oui et la suivis vers la salle de bain. « Déshabille-toi, je vais mettre tes vêtements à sécher ». Ce que je fis et elle sortit avec mes vêtements. J’entrai sous la douche, j’ai ouvert les robinets et je laissai couler l’eau sur moi, effectivement je me sentais mieux. Quand elle revint, elle me proposa de me sécher, me trouver nue devant elle ne me posait pas de problème. Quand je sorti de la douche, elle siffla « hé bien dis donc, t’es un joli brin de fille, tu dois en faire des ravages ». Je lui répondis rapidement « non, surtout pas, les garçons ne m’intéressent pas » ? J’avais dit ça comme ça, comme un constat... sans rien laisser supposer d’autre que cet état de fait. Et là, elle fit quelque chose qui me laissa sans voix, paralysée. Elle me mit les mains sur les seins et serra la pointe entre les pouces et l’index. De sentir la pression de ses doigts sur moi, je retrouvai immédiatement en moi, le souvenir du doigt de ma copine sur mon sexe, la même chaleur m’envahit le bas ventre. Je fermai les yeux et savourai cette sensation connue, mais aussi inconnue, car la chaleur n’était pas seulement dans mon ventre, mais aussi dans la pointe de mes seins. J’avais l’impression qu’ils durcissaient et doublaient de volume. Elle les tordait doucement, sans forcer à me faire mal, mais juste assez pour pouvoir les tirer vers elle. Mes seins devenaient brûlants. « Je savais bien que tu étais une belle salope sous tes airs de petite fille sage ». Je ne comprenais pas pourquoi elle disait ça... mais de me faire traiter de salope, par ma voisine me donna un choc au bas du ventre. Je venais de découvrir deux choses en même temps, j’avais aimé qu’elle ne me demande pas mon avis, prenant le dessus sur moi et que mes seins puissent être une source de plaisir.

— Et la suite ?

— Elle vint se coller contre moi, m’embrassant en pleine bouche... avec la langue bien enfoncée, ça aussi personne ne me l’avait jamais fait. Avec mon petit copain il m’embrassait juste un baiser sur les lèvres. Mais là, elle m’ouvrait la bouche de sa langue, la faisant tourner autour de la mienne. Je me suis collée à elle comme une noyée à sa bouée de sauvetage et je la serrai tout contre moi, écrasant mes seins contre elle, cherchant à prolonger la sensation qu’elle avait fait naître en eux. J’étais comme avec mon frère, je jouissais en collant mon sexe sur sa cuisse... « hé bien dis donc, tu es vraiment une sacré salope, il faut pas t’en promettre toi ». J’étais déchaînée, je lui dis « Oh oui, c’est bon, c’est bon, continue, j’aime ça... ». Je l’embrassai moi aussi à pleine bouche, je me serrai contre elle, j’aurai voulu l’avaler que je ne m’y serai pas prise autrement.

Elle me repoussa ferment, me laissant pantelante... « Non, attend, viens avec moi » et me prenant par la main, elle tira vers la chambre. Elle me jeta sur le lit, en travers. Je me mis sur le dos, écartant de moi-même les bars et les jambes, je m’offrais à elle... « Attend petite pute, je vais te faire jouir moi ». En disant cela elle se déshabillait, arrachant presque ses vêtements, les laissant tomber au sol épars. Nue elle se présenta face à moi, les mains sur les hanches, jambes écartées. Moi j’attendais... frémissante d’impatiente... « Ecarte plus les jambes », je m’exécutais. « Ouvre ton sexe avec tes mains, montre le moi », je le fis, j’ouvrai les lèvres de mon sexe et mis un doigt sur mon bouton, la sensation de la corde vint en moi et cette fois, c’étais mon doigt qui la faisait naître. Pourtant je me touchai le sexe quand je me lavai, mais là, avec cette femme qui me regardait, qui me donnait des ordres, tout mon corps exposé à son regard, mes seins compressés entre mes bras étendus sur mon ventre, mes tétons érigés, durs, mes cuisses largement ouvertes. Je me mis encore à éprouver un orgasme rapide, foudroyant, je sentis un liquide couler de mon sexe, j’avais peur de salir son lit avec du sang. Je me redressai sur les coudes pour regarder, mais non, pas rouge, alors je mis mon doigt dedans mon sexe et je sentis qu’il était gluant. Je ressortis mon doigt, le regardai de près, non, toujours pas de rouge, alors je fis une chose insensée, je le mis dans ma bouche pour goûter ce qui venait de mon sexe. Le goût était âcre, mais j’étais troublée de l’avoir sur ma langue.

« Toi, tu es une sacré salope, tu aimes le jus de fille, je vais t’en donner ». Je prenais alors conscience de la situation, moi assise nue sur un lit, cuisses ouvertes en train de lécher mon doigt qui sortait tout droit de mon sexe. Alors j’éclatai de rire.

— Je vois que tu apprends vite, tu es une bonne élève, lui dis-je.

— Avec elle, j’ai appris beaucoup de chose. Voyant que je riais, elle s’avança vers moi, me fit m’allonger d’une poussée et enjambant mon torse, elle vint mettre son sexe en face de ma bouche. « As- tu déjà sucé une fille ? », je fis non de la tête. « Alors commence ». Ecartant ses lèvres comme elle me l’avait demandé pour moi, elle approcha sa fente de ma bouche et me dit « lèche... ». Elle posa son sexe sur ma bouche, je me mis à l’embrasser comme je l’avais fait tout à l’heure avec sa bouche. « Non, pas comme ça, sois plus douce, moins rapide. Attend je vais te montrer ». Elle se leva de dessus moi et vint se mettre à genoux entre mes jambes. « Ouvre ton sexe comme tout à l’heure, tiens bien les lèvres écartées ». Elle appliqua sa bouche sur mon sexe et de sa langue, elle lécha tout le long de ma fente, remontant sur mon clitoris, tournant autour, redescendant, la faisant pénétrer à l’intérieur. Elle se leva d’un bond « mais ma parole, tu es vierge... ça alors c’est un comble... une pute vierge... ». Ces mots me troublèrent et je fis un geste impensable il y a à peine un quart d’heure, je pris sa tête dans mes mains et l’attira contre mon sexe. « Continue, t’arrête pas c’est trop bon... ». Et elle continua, sa langue, ses lèvres, tout s’anima pour me lécher, me sucer, même ses dents pour me mordiller le clitoris, m’étirer les lèvres. « Ho oui, c’est bon, je suis une... une... salope qui aime ça, une pute, ta pute... » je m’étais moi- même surprise à prononcer ces mots, mais ils me plaisaient, surtout que c’est de moi qu’il s’agissait. « Oui, oui, je suis une pute vierge, une salope qui apprend à sucer, oui apprend moi, tout, tout, je veux tout savoir, tout faire ... , fais de moi une vraie salope ». Ces mots semblèrent l’exciter encore plus que moi. Elle me dévorait littéralement le sexe. Elle me releva les jambes et dans un souffle, elle me dit « tiens les contre toi, tu vas voir, je vais faire de toi la reine des salopes », je maintenais mes cuisses plaquées contre ma poitrine. Pendant ce temps, sa langue descendit plus bas. J’eu un sursaut, elle venait de me la mettre sur mon petit trou et telle une sangsue, elle faisait ventouse. J’étais partagée entre l’envie de la repousser et le plaisir que je ressentais avec sa langue qui devenait cette fois vraiment gênante, elle s’insinuait à l’intérieur de mon trou... heureusement que tout à l’heure, sous la douche, j’avais pris soin de passer ma main entre mes fesses et de me nettoyer, comme je le faisais naturellement chaque fois que je me lavais, sans penser que cette précaution aurait son utilité. Mais une pensée m’effleura l’esprit, elle ne savait pas que je m’étais lavée, pourtant elle l’avait fait sans hésiter. Puis ma pensée alla plus loin... elle était en train de m’apprendre, j’allais devoir lui faire tout à l’heure, et elle n’avait pas pris sa douche, elle... Mon cœur se mit à battre à cent à l’heure. Je ne sais pas pourquoi, mais cette idée, loin de me répugner, m’excita encore davantage... Je me promis de le lui faire...

Pendant qu’elle me racontait ça, mon sexe devenait douloureux dans mon pantalon.

— Je vois que tu es vraiment une soumise, c’est bien, continue, en plus ça te fait plaisir de me raconter tout ça.

— Oui, je me sens en confiance avec vous, c’est la première fois que je le dis à quelqu’un, mais souvent j’y repense, j’aimerai tant revivre ça, mais je ne sais pas comment faire... puis je vous ai vu et j’ai eu envie de vous, de m’abandonner à vous, que vous me... je ne sais pas trop quoi j’attend de vous, ni pourquoi, c’est comme ça...

— Tu as bien fait, tu ne le regretteras pas.

Là, je dois avouer qu’en disant cela je m’avançais un peu, beaucoup même... je n’avais jamais connu ce genre de situation avec une femme et je n’étais pas un adepte de jeune chair. Je prenais aussi conscience que j’avais en face de moi une femme qui se livrait intimement en me parlant des parties intimes de son corps, alors que je ne l’avais jamais vue nue. Je décidais de remédier sans tarder à cette lacune. Il était à peine 22heures et j’avais encore plus de deux heures de voyage devant moi. J’avais tout mon temps. Elle aussi l’adresse qu’elle m’avait donné était de la ville suivante la où je descendais. A peine 80 kms de distance, pour la suite, si nous devions nous revoir... et j’avais envie de la revoir... déjà...

— Viens suis- moi.

— Où ?

— Chut, tu verras… c’est la suite. Tu as dit que tu l’acceptais

— Oui, mais c’est tellement nouveau pour moi.

— Il faut un début à tout, et maintenant il est temps de voir si le ramage se rapporte au plumage... LIRE LA SUITE

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Commentaires

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mardi 5 février 2013 à 00h54 - par  desideratas

récit original, plein d’humour qui met en évidence l’apprentissage du Maître et de la soumise.
Pas de violence, ou si peu, tout en sensualité, j’aime beaucoup.
La rencontre étonnante 1 et 2 sont admirablement écrits et permettent une imagination sans faille.
Dommage que cela se finit tristement...
Bravo à Jean