Vacances extrêmes

mercredi 29 octobre 2008
par  Janine
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Voici comment depuis mon départ à la retraite il y a 3 ans, je m’offre chaque année 2 semaines de luxure. Cela fait aujourd’hui 14 ans que je suis divorcé, que je vis donc seule, et ne croyez pas que j’en sois malheureuse. J’ai bien eu quelques histoires sans lendemain ni saveur, mais finalement la solitude me convenait très bien et mon entourage mis un certain temps avant de s’en rendre compte. Je ne me rappelle même plus le nombre de sorties où l’on voulait impérativement me présenter un homme célibataire.

Pour mon départ en retraite, mes collègues m’ont offert un séjour de 2 semaines au Maroc. Ce fut la première fois que je pris l’avion et que je sortais des frontières de l’Europe.

On était à la fin septembre, mais il faisait encore très chaud. J’avais pour l’occasion acheter un maillot 2 pièces, cela faisait bien 10 ans que je n’en avais pas porté. Il faut dire qu’à 59 ans, quand on fait 1m72 pour 84 kilos, on a plus vraiment le physique à en porter et quand on l’achète sans l’essayer, on s’expose à des surprises.

Effectivement, j’avais sûrement vu un peu court sur la taille, bilan, un slip qui vous rentre dans les fesses et un soutien gorge qui vous oppresse et qui ne cache au plus que les tétons.

A la piscine de l’hôtel je me sentais ridicule et c’est pour cela que je préférais la plage à l’écart des autres où je pouvais me débarrasser de ce foutu haut.

Je n’avais encore jamais osé bronzer ainsi en public et si je n’étais pas très à l’aise au début, au fil des heures je trouvais très agréable le regard des hommes qui se détournaient sur moi en passant. Il faut toutefois rajouter que j’étais tellement éloigné, qu’il n’y avait que moi à regarder.

En fin d’après midi, un vendeur de plage à fait l’écart jusqu’à moi et pendant prés de 20 minutes il a tenté de me vendre une djellaba, or n’ayant pas le moindre argent sur moi et le trouvant tellement mignon, je lui proposais de revenir le lendemain pour que je la prenne. J’avais tellement apprécié de bronzer ainsi, qu’à la boutique de l’hôtel, je m’étais offert un minuscule maillot string qui m’obligeât à me raser le pubis tellement il dépassait du tissu.

Le lendemain en tout début d’après midi, je vis le retour de mon jeune vendeur, tout heureux de me retrouver là. Il me fit essayer le vêtement et alors qu’il était en train de me l’ajuster, je sentis une bosse bien dur contre mes reins. J’étais partagé entre deux sentiments contradictoires, la fierté de faire bander ce gamin à mon âge et la peur de me retrouver seule avec lui.

La peur s’estompa, quand il s’excusa en tentant de cacher son érection, il parlait assez mal le français et moi j’étais honnêtement très surprise de le mettre dans cet état. J’ai poussé le crime en passant ma main contre son sexe, j’avais envie de le voir mais je ne savais pas trop comment le lui demander. Et puis, j’étais en vacances, personne ne me connaissait, pourquoi pas après tout. Je lui ai directement demandé de me la montrer et sans la moindre fioriture je me la suis mise en bouche.

Cela me semblait une éternité que je n’avais pas sucé une jeune queue bien dure et je faisais tout pour faire durer le plaisir en lui enserrant bien fort la base du sexe. Quand j’ai relâché la pression, il m’a inondé la gorge de son sperme tout chaud dont je n’ai pas laissé échapper la moindre goutte. J’aurais voulu pousser plus loin ce rapport, mais aucun de nous n’avait de préservatif et c’est avec d’énormes regrets que je lui demandais de partir.

Alors qu’il s’éloignait, je le rappelai pour lui demander s’il voulait revenir le soir avec des capotes. Quel bonheur, il était d’accord et le rendez-vous fut pris pour 23 heures au même endroit.

Le soir je devais être sur la plage, avec une bonne demi-heure d’avance, il faisait nuit noire rendant la situation plus excitante. On aurait cru une pucelle à son premier rendez-vous, pleine d’envie et d’appréhension. Je n’avais rien mis sous la djellaba, mais personne n’aurait pu le remarquer, ce qui est très agréable avec ce type de vêtement.

Il est arrivé peu de temps après moi et je ne l’ai reconnu qu’au son de sa voix, car il faisait trop sombre pour pouvoir distinguer clairement son physique. Il arborait fièrement à la main une boîte de capotes et moi j’envoyais rapidement le seul vêtement que je portais loin de moi. Cette obscurité finalement me rassurait et m’excitait vraiment, quand il m’a embrassé à pleine bouche en me tenant les fesses à pleine main, je me sentais avec quarante ans de moins.

Qu’est ce que c’était bon, je l’ai allongé sur le sable, lui ai retiré son short, avant de lui enfiler son capuchon pour le chevaucher comme une furie. Il était dur comme le bois et ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas eu un beau corps ferme comme ça contre moi. Il a éjaculé assez vite car je l’ai senti se raidir, mais il n’a pas débandé, me permettant d’atteindre aussi l’orgasme quelques minutes après lui.

Alors que d’ordinaire les hommes que j’avais connus jusqu’alors se seraient autorisés une pause, lui me bascula sur le dos pour me ravager l’entrecuisse, me soulevant puissamment les reins pour me pilonner profondément. Quand il s’est enfin immobilisé pour prendre son plaisir, je devais au moins en être à mon troisième orgasme.

Je ne savais pas s’il était encore capable de m’en donner, je me suis alors mise à quatre pattes afin de lui faire comprendre que j’aimerai qu’il recommence. Il a rapidement compris, mais son interprétation de la position fût un peu différente de celle auquel je pensais, et je le réalisais très vite quand j’ai senti sa langue investir mon anus. Ca faisait plus de 20 ans que l’on été pas venu me visiter la porte arrière et les premières douleurs de l’assaut confirmèrent bien la longue absence de la pratique. Est-ce la particularité de la situation ou un certain talent de mon amant, encore est t-il que le plaisir pris rapidement le pas sur les premiers désagréments. J’entendais son bas ventre claquer contre mes fesses et je sentais ce membre qui coulissait avec arrogance dans mon fondement, j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais.

J’appréciais moyennement cette pratique par le passé, mais là j’ai connu mon premier orgasme anal. C’est moins violent qu’un orgasme vaginal, mais ça dure beaucoup plus longtemps, avec l’anus qui se contracte plusieurs minutes sur le sexe qui est en vous et encore sur lui-même quand il est sorti.

Je suis resté couché un long moment nue sur le sable avant d’aller me rincer dans l’eau de mer, dont la fraîcheur me ramena à la réalité. Mon amant avait disparu dans la nuit et je me retrouvé seule pour rentrer à l’hôtel quelque peu perturbé.

Je venais de me faire sauter par un gamin en pleine nature et j’avais adoré ça.

Le lendemain, je suis retourné sur la plage où je n’ai pas revu mon petit vendeur, par contre un autre jeune en short et torse nu s’est approché de moi en me montrant clairement une boîte de préservatif. Je réalisais que mon petit vendeur avait sûrement renseigné son ami sur l’aubaine qu’il avait eu la veille. LIRE LA SUITE




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