Recommander à un ami

jeudi 22 septembre 2005
par  Deserrance

Sirènes

Deux heures du mat, le son des pruches a baissé progressivement, les gens sont partis après avoir fini leur dernier verre, le bar a fermé ses portes et c’est à regret que nous avons pris le chemin du retour. Dans l’ascenseur, ma femme s’est rapprochée imperceptiblement, j’ai fait de même. Nous nous (...)