1 - L’éducation de Sandrine

mercredi 23 janvier 2008
par  denis8l
popularité : 2%
5 votes

Introduction

Ce que je vais raconter c’est passé il y a quelques années, au temps où l’informatique n’était pas encore entrée dans les mœurs, et où les utilisateurs comme moi merdouillaient, (excusez-moi l’expression) encore un peu.

D’abord je dois me présenter, je suis actuellement un homme marié de 56a, j’ai un emploi avec quelques responsabilités depuis pas mal d’années, et de ce fait une collaboratrice qui se trouve être une ancienne copine d’école. Nous avons la même formation, je suis entré deux ans avant elle dans la boite, puis je l’ai pistonnée pour qu’elle y entre aussi. Mais le machisme et les occasions qui se sont présentées à moi, on fait que j’ai obtenu un avancement alors qu’elle, est restée au même poste, sans être son chef je suis malgré tout d’un niveau hiérarchique supérieur. A l’époque des faits, il y a 15a, c’était déjà le cas, nos relations étaient amicales sans plus, mais pas affectées par nos situations respectives dans la boite. Je m’étais marié deux ans plus tôt, par contre Jeanne c’est son nom a toujours été discrète et évasive sur sa vie privée.

Mon statut de « chef » me valait l’avantage d’avoir un bureau pour moi seul, et j’en profitais j’utilisais des messageries pour discuter de sujets n’entrant pas dans le domaine de compétences de la boite, l’accès à Internet n’étant pas contrôlé à l’époque, je restais connecté toute la journée, pour suivre entre deux dossiers, l’arrivée des messages et pouvoir y répondre.

Ce matin là je venais comme chaque matin de dialoguer, quand j’ai été appelé à une réunion, dans la précipitation, et avec l’écran de veille, je n’ai pas fait attention que l’accès à mon ordinateur était toujours libre. Mais je laisse à Jeanne le soin de raconter la suite.

Jeanne

Denis vous a raconté un peu qui je suis, je me décrirais plus en détail par la suite, je vais vous raconter ce qui est arrivé ce jour béni, où je suis entrée dans le bureau de Denis pour prendre un dossier, et ou en déplaçant la souris j’ai vu l’écran s’allumer et me permettre de voir que mon cher collègue, passait du temps à envoyer des messages à une messagerie qui ne laissait aucun doute sur leur contenu. Comme toutes les femmes, je ne suis pas curieuse, mais j’aime bien savoir, j’en ai donc ouverts quelque uns, ce qui m’a donné l’envie de tous les lire. Mais comment faire ? Par chance en listant les messages reçus, je tombe sur celui envoyé par le webmaster confirmant l’inscription avec l’identifiant et le mot de passe. Je copie ces précieux renseignements, avant de tester sur mon ordinateur pour vérifier que le mot de passe n’avait pas été changé. Confiant Denis n’avait rien modifié. Je retourne à son bureau remettre tout en place et m’assurer que je n’avais pas laissé de trace de mon espionnage.

Je jubile, en regardant les photos de mon collègue, et celles qu’il avait reçues. J’ai une folle envie de me donner du plaisir. Je découvre la personnalité de Denis, celle qu’il cache si bien, j’étais loin de me l’imaginer ainsi.

J’ai soudain la machiavélique idée de m’inscrire à cette messagerie et de dialoguer avec lui, pour lui soutirer des renseignements bien croustillants.

Je corresponds avec lui, et je lis les messages qu’il reçoit, en faisant attention de ne lire que ceux qui sont déjà lus.

Ce jeu dure depuis un bon mois, hier je lui propose d’aller au restaurant le midi plutôt qu’à la cantine, car j’ai quelque chose à lui demander, ce qui est vrai, j’ai un service personnel à lui demander. Il est d’accord.

Avant d’aller plus loin, je dois vous dire que je suis divorcée depuis un bon nombre d’années. Comme Denis je n’ai pas d’enfants, mais j’élève ma belle-fille enfin presque. C’est la fille de la première femme de mon mari, qui s’était retrouvée veuve avec une enfant encore bébé. Mon mari est resté marié six ans avec cette femme, avant qu’elle se tue, dans un accident de voiture. Mon mari a élevé cette gamine, dont j’ai eu la garde après des évènements qui ont fait que j’ai quitté son père. Un jour j’ai en effet trouvé celui-ci en train de prendre sa douche avec sa fille de 12a. Sandrine en a maintenant 19a, mais elle est encore traumatisée. Il y a deux mois, elle est revenue en pleurant se blottir dans mes bras, car au dernier moment elle s’est sauvée du lit où elle et son copain Eric s’apprêtaient à faire l’amour, elle a eu peur, à la fois de se donner et aussi qu’il soit déçu d’elle et de son manque d’expérience. Depuis ce temps là elle l’évite, ils sont malheureux tous les deux. Eric croit qu’elle ne l’aime pas, elle croit qu’il ne lui a pas pardonné sa fuite et qu’il ne l’aime plus. Le fait de découvrir le secret de Denis m’a donné une idée, j’en ai parlé à Sandrine, qui a fini par accepter après de longues discussions.

Ce midi nous sommes donc au restaurant, nous venons juste de nous asseoir, quand je dis à brûle-pourpoint à Denis, « Alors tu aimes ça te faire enculer ? » Je le vois avec plaisir perdre contenance, changer de couleur, « Mais qu’est-ce que tu racontes ? Tu es folle !

— Denis je sais que tu suces Guy et qu’il t’enfile et même devant Annick ta femme.

— Qu’est-ce que tu veux, me faire chanter, oui j’avoue j’aime, j’aime autant les hommes que les femmes et alors ?

— Ne te fâche pas, je n’ai pas de mauvaises intentions, mais je dois dire que cela me réjouit de te savoir bi, de t’imaginer le derrière envahit, ou bien la bouche dégoulinant de sperme, et quelque fois les deux en même temps. En plus tu n’es pas mal foutu, j’espère bien te voir tout nu autrement qu’en photo.

— Mais qu’est-ce que tu cherches ?

— Ne t’inquiète pas, pour te rassurer, tu verras en rentrant sur ta messagerie, une dizaine de photo de moi, qui devraient te rassurer sur mes intentions. Il y a que j’ai par hasard lu tes messages un jour que tu étais en réunion, a ce propos tu devrais faire attention, si quelqu’un d’autre que mois était tombé dessus, tu aurais sûrement eu des ennuis.

— Tu as pu lire mes messages, putain ! Oui c’est vrai il faut que je fasse gaffe. Tu m’as fait peur.

— Je vois, en fait que cette découverte, peut nous être bénéfique à toi et moi. Accepterais-tu de me rendre un service, en fait pas à moi mais à ma fille, enfin ma belle-fille ?

— Quel genre de service ?

— Tu es idiot ou tu le fais exprès ? Elle est paniquée à l’idée de faire l’amour, elle est encore vierge par miracle, j’aimerais que toi et ta femme, vous vous chargiez de l’initier, Sandrine a fini à accepter.

— C’est délicat, je ne dis pas non, mais il faudrait en parler à Annick.

— C’est bien comme ça que je l’entendais, d’autant que c’est elle qui commande à la maison si j’ai bien compris. C’est un autre aspect de ta personnalité qui me plait. Que ça doit être bon d’avoir un mec soumis, qu’on peut utiliser comme on veut quand on veut, mon rêve. En plus je voudrais des preuves de tes capacités d’amant. Je n’ai pas envie que Sandrine soit dépucelée par un mauvais baiseur.

— Voila notre numéro de téléphone, appelle Annick pour un rendez-vous un soir à la maison.

— Bonne idée. »

Denis.

Je viens de rentrer du restaurant où Jeanne avait voulu qu’on aille. Je suis encore à peine remis de ce qu’elle vient de me dire, je dois dire que pendant un moment j’ai paniqué, mais l’émotion passée et avec les mots rassurant de Jeanne, je me suis mis à bander comme un âne ce qu’elle n’a pas vu. J’aurais du lui prendre la main et la conduire sous la table vers mon entre jambes. Je me connecte à la messagerie, où je découvre qu’elle n’a pas menti, en effet ce n’est pas une dizaine de photos mais bien plus que je découvre. Jeanne nue, en train de faire des fellations, sodomisée, en train de se masturbée. Je pense que c’est son mari qui l’a photographié dans ces poses obscènes. Au moins c’est vrai elle ne veut pas me faire chanter car j’aurais de quoi me défendre avec ces clichés où elle apparaît visage découvert bien reconnaissable. Je lui écris un petit message pour lui dire que j’apprécie la vue de son corps autant qu’elle a aimé me voir, et je lui dis que je vais aller me masturber. Avant d’aller m’isoler aux toilettes, je reçois un message d’elle

« Denis éjacule dans ta main et revient dans ton bureau, je t’attends pour te voir lécher ton sperme »

Je suis un peu interloqué, je ne la pensais pas aussi audacieuse. A mon retour je la trouve effectivement dans mon bureau, je lui montre la paume de ma main, et je me lèche. Elle me sourit et me quitte sans dire un mot.

Le reste de la journée je ne peux m’empêcher de penser à Jeanne, comme j’aimerais faire l’amour avec elle, c’est curieux depuis le temps que je la connais cette idée ne m’était jamais venue, mais là j’aimerais bien la sauter sur le bureau.

En rentrant chez moi, je raconte mon aventure à Annick, elle n’est pas étonnée d’apprendre que je dialogue par mail avec des hommes et des femmes, pour la forme je sais qu’elle va me punir pour ne pas lui en avoir parlé, mais ça fait partie du jeu. Elle est heureuse de la proposition de Jeanne, elle me dit que pour une fois elle va pouvoir voir le corps d’une jeune fille, au lieu de celui de mes amants. En fait elle aime me voir offert à des bittes, d’autant qu’elle en profite aussi. J’ai deux amants réguliers Guy et Bernard, et parfois un amant occasionnel surtout pendant les vacances, on les trouve dans les boites. Si dans mon boulot, je suis amené à diriger, dans ma vie privée et sexuelle, j’aime qu’on décide pour moi, avec les hommes, je préfère donc sucer et me faire envahir, que le contraire, il n’y a qu’avec Guy où les rôles sont relativement partagés. Avec lui je me livre à bien d’autres ébats donc je parlerais en temps venu. Au fait vous devez vous demander à quoi je ressemble physiquement ?

Je mesure un mètre soixante seize pour quatre vingt kilos, je suis sportif, je pratique plusieurs fois par semaine du jogging de six à dix-huit kilomètres à chaque fois, j’ai les jambes très musclées, je n’ai pas de poils sur le torse juste quelques-uns autour des tétons. Ma bite fait 16cm, je ne suis pas circoncis, au niveau du gland elle fait 4cm, elle est donc à mon image râblée. Mes fesses sont fermes, et la raie pas trop serrée, mon cul est accessible pour que les partenaires puissent y mettre leurs doigts ou leurs queues, (j’adore, mon côté pédé) Si mes jambes sont assez velues, mes couilles sont lisses et assez grosses et elles pendent sauf au moment de la baise.

Annick.

Je ne suis pas surprise quand en décrochant le téléphone, j’entends la voix de Jeanne, Denis m’a déjà parlé, et ce qu’il m’a dit m’a émoustillée. Je ne connais pas beaucoup Jeanne, je l’ai vu quelques fois lors de pots à l’entreprise où travaillent mon mari et Jeanne. C’est une belle femme, avec tout ce qu’il faut pour plaire à un homme ou à une femme. Je ne connais pas ses goûts et tendances sexuelles, j’aimerais qu’elle ne soit pas exclusive. Je ne suis pas une obsédée du sexe féminin, j’ai très rarement, deux ou trois fois eu des relations lesbiennes qui m’ont laissée à chaque fois de bons souvenirs, aussi m’imaginer me faire brouter le minou par cette femme me procure des frissons de bien-être dans le dos et le bas du ventre.

« Annick, je suis la collègue de Denis il a du vous parler de moi.

— Tout à fait, et je dois vous dire que cette idée me plait bien, j’aimerais qu’on en parle le plus rapidement possible

— Je suis heureuse que cela vous plaise, est-ce que Denis vous a dit que j’aimerais avoir un aperçu de son physique et de ses capacités avant de vous confier ma belle-fille, si vous acceptez qu’il se masturbe plusieurs fois pour tester sa résistance.

— Il n’y a rien de plus naturel. Mais pourquoi se contenter qu’il se masturbe. Êtes-vous libre vendredi soir ?

— Oui pas problème. En fait j’aimerais le voir aussi soumis à vos ordres et humilié, ça me mettra en joie quand je le verrais diriger au boulot.

— Alors à vendredi, prenez de quoi passez la nuit.

— Nous t’attendons. » LIRE LA SUITE

L’intégralité de ce chapitre est disponible pour les abonnés de RdF


ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

ALLOPASS OU PAYPAL
OFFRE DECOUVERTE (1 jours)
ABONNEMENT 7 JOURS
ABONNEMENT 15 JOURS
ABONNEMENT 1 MOIS





ABONNEMENT 3 MOIS





ABONNEMENT 6 MOIS





SE DESABONNER


Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)


Commentaires