Brigitte chap 6

lundi 17 décembre 2007
par  Lord Byron
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Dans la semaine je rencontre Alain et nous allons boire un café. Il me demande des nouvelles de Brigitte et de notre relation ; je le remercie une fois de plus pour le prêt de son appartement et je lui demande si une relation avec elle l’intéresse. Il est fort surpris et me demande à quelle sorte de relation je fais allusion :

— Je pense qu’elle pourrait te donner du plaisir

— Tu es amusant toi ; elle ne voudra jamais

— Si bien sur, il suffit que je lui en donne l’ordre

— … el elle va t’obéir, comme ça ? pourquoi donc ?

— parce qu’elle y trouvera son plaisir. C’est une esclave sexuelle dans l’âme. Tu as lu histoire d’O ?

— Oh bien sur mais ça n’existe que dans les livres

— Eh non, par exemple Brigitte adore ce que nous appelons à présent « son dressage ». et elle ne demande qu’à progresser. Tu verras.

— Et pourquoi avec moi demande Alain

— Je lui ai dit qu’il fallait payer le loyer

— Oh comme si … comme une

— Comme une putain oui ; elle est en train d’apprendre…le mot et la chose. Par exemple jeudi elle a sucé un patron de bar en échange de 200 F.

— Tu y as assisté ?

— Oui assisté et participé … hyper bandant

— Et ce sera pareil jeudi chez moi avec moi ?

— Oui bien sur

— Je ne suis pas bi

— Rassure toi, nous ne nous toucherons pas.

— ok

je lui donne donc rendez vous à son appartement le jeudi suivant à 13 heures, un peu avant l’arrivée de Brigitte. L’après midi j’appelle mon esclave qui est en repos chez elle et lui annonce qu’elle aura les honneurs de la queue d’Alain jeudi. Elle s‘y attendait bien sur et me semble plutôt émoustillée. Elle demande ce qu’elle devra faire ; ma réponse est simple :

— Tout ce que nous déciderons

— j’ai peur mon chéri …

— Tu peux dis je pour augmenter son trouble. Au fait que portes tu ?

— Juste un long tee shirt

— Culotte et sg ?

— Non mon chéri

— Bien salope – vas te nettoyer le cul et rappelle moi

— ….

— Alors

— Je viens de le faire il y a 10 minutes

— Ah bon et pourquoi ?

— Pour me toucher au petit ?

— Précise putain de chienne

— Oui mon chéri, je me suis lavementée puis je me suis enculée avec quatre doigts sans toucher devant.

— Et tu as joui du cul ?

— Oui mon chéri… je m’excuse d’avoir joui sans ton autorisation

— Supplie moi de te punir

— Oui mon chéri

— Aucun intérêt je raccroche au revoir

— Non non Monsieur, je vous en supplie , ordonnez moi de me dérouiller, je ferai tout ce que vous voudrez…

— Tu es sure ?

— Oui Monsieur

— Pouce dans la chatte et index dans le cul ; en pince ; au plus profond

— Voilà Monsieur, c’est bon …

— Pince la paroi avec les ongles salope

A partir de cet instant elle gémit de plus en plus fort et obéit, serrant de plus en plus en écoutant ma voix qui scandait « encore – encore… ». puis elle poussa un hurlement et me dit :

— Monsieur, je ne peux pas plus moi même … il faudra que ce soit vous pour aller plus loin

— A jeudi putain : jupe courte et chemisier sans sg ni culotte ; le plug à fond au cul ; la chatte vide. Tu entreras dans le salon et tu sortiras tes mamelles – tu iras spontanément vérifier qu’il bande. Tu sortiras sa queue et tu le suceras doucement puis à fond… tu le feras jouir d’entrée et tu avaleras son jus.

— Bien Monsieur….je suis impatiente finalement…une nouvelle queue … la quatrième

— Comment la quatrième,

— Oui : mon mari fut le premier puis toi puis le patron du café et enfin Alain

— Ah ok

Le jeudi, Alain et moi attendons en chemise et pantalons, assis chacun dans un fauteuil…sonnette… je vais ouvrir. Elle est devant moi manteau ouvert et jupe ultra courte comme exigé. Je passe la main sans aucun ménagement et vérifie qu’elle n’a pas de culotte et qu’elle est plugée…elle est prête et, de plus son clito est dur et elle mouille. Je la conduis dans le salon et lui retire le manteau faisant signe à Alain de rester assis. Elle se plante devant lui, se roule la jupe à la ceinture, s’écarte bien les cuisses…Alain admire sa chatte bien ouverte au clito dressé. Sa main caresse son pantalon. Brigitte s’ouvre le chemisier et présente ses mamelles ; elle les triture les malaxe ; elle ondule et s’approche d’Alain jusqu’à le toucher puis elle le regarde droit dans les yeux et dit, s’adressant d’abord à moi :

— Voilà mon chéri, ta putain est livrée au client ; Monsieur Alain puis je vous sucer la queue ?

— Oh que oui

Elle s’accroupit comme je lui ai appris afin de laisser au mâle sucé le spectacle obscène de ses jambes béantes. Elle ouvre la braguette d’Alain, sort la queue et la caresse du bout de ses pis. Alain les prend à pleines mains et se branle avec, plaçant sa queue entre les seins. Brigitte se recule un peu, se penche et embouche sa queue à fond de gorge ; Alain est subjugué …on ne lui a jamais fait cela… Brigitte y met tout son savoir. Pendant ce temps, il lui malaxe les mamelles doucement d’abord puis de plus en plus durement les tirant vers le bas pour augmenter, si c’était possible, la profondeur. Il se lâche et la traite de salope. Elle gémit de plus en plus fort et suce d’autant mieux qu’il la maltraite. Elle le lâche un instant et lui dit :

— Gicle moi dedans la gorge Alain, prends tout ton plaisir ; je suis ton jouet

A ce jeu, il ne peut tenir longtemps. Il jouit…elle avale et se retire.

— Merveilleux dit il en se relaxant

Brigitte se redresse et se plante devant lui qui, spontanément, lui frappe assez durement les seins… il aime cela et sur mon conseil de ne pas se censurer il lui prend les tétons entre les ongles pince et tord. La belle salope crie et non seulement elle ne se recule pas mais approche pour souffrir encore plus. Il la tire vers le bas et je me trouve hyper excité par cette image : Brigitte jambes ouvertes penchée en avant, jupe roulée à la ceinture, chemisier ouvert, mamelles étirées et torturée par Alain. Je me place derrière elle ; j’ai une vue imprenable sur le plug planté et la chatte béante. Je dis à Alain qui rebande déjà

— Continue à la torturer et ne te retiens pas, elle aime cela ; je vais la finir à la cravache

— Oh c’est une première pour moi dit il en tordant un peu plus ce qui arrache un cri à l’esclave

— Tu y es prêt ?

— Oui c’est un de mes grands fantasmes

J’ouvre la valise et y prend une fine cravache

— Tiens la bien Alain

— Oui dit il en tirant et bandant de plus en plus

— Brigitte salope : mains derrière la tête cuises ouverte un max, tu es prête ? (elle se met immédiatement en place)

— Oui Monsieur tapez bien ma chatte et vous Alain continuez … faites moi mal jouir, faites moi jouir

Après quelques coups dans le dos qui la marquent provisoirement de rouge et lui arrachent des cris je me mets à frapper de bas en haut entre ses cuisses ; mes coups précis atteignent le clitoris. Elle ondule et se tend vers l’arrière afin d’augmenter la tension sur ses seins. Puis elle se met à vibrer et jouit longuement. Je ponctue son orgasme de trois coups très durs. Elle s’effondre et par reflexe caresse la queue d’Alain avec sa main. Je l’interromps et lui ordonne

— Viens avec moi dans la chambre Brigitte et toi Alain attends nous là, je vais te la préparer pour une surprise LIRE LA SUITE


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