Brigitte Chap 3

jeudi 18 octobre 2007
par  Lord Byron
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Le vendredi, je parle discrètement de ma conquête à Alain, un collègue de travail et ami célibataire ; il me dit avoir de la chance et m’envie car pour lui (et pas seulement) Brigitte est vraiment très jolie. Puis il s’enquiert des problèmes techniques du genre où allons nous pratiquer puisque que elle comme moi sommes mariés. J’avoue ne pas m’être posé la question pensant que l’on trouverait facilement un hôtel style ** avec entrée et parking discrets. Il me propose alors de nous prêter son appartement avec pour seule contrainte de l’informer afin qu’il ne rentre pas à l’improviste et que nous évitions ses périodes de congés. Tope là, voilà une offre qui ne se refuse pas.

Il me conduit donc en voiture pour faire une visite, découvrir les trajets et le logement. Je découvre un quatre pièces confortable et meublé assez classiquement mais sans recherche particulière au niveau de la décoration ; L’absence de « main » féminine sans doute ! La chambre d’amis est équipée d’un grand lit, c’est donc là que nous pratiquerons ainsi que dans le salon où les fauteuils semblent tendre les bras au visiteur. Il me donne une clé et ponctue notre séparation d’un « amusez-vous bien » ni arrogant ni humoristique mais simplement sincère. Il est vrai qu’Alain a un faible lorsqu’il regarde Brigitte mais il est terriblement timide.

Le lundi à treize heures, j’arrive le premier au café et j’attends Brigitte qui arrive peu après (de toute notre liaison, elle ne sera jamais en retard… j’apprécie mais cela me privera de prétextes à punitions. Qu’importe, j’en trouverai d’autres).

Elle entre, radieuse, ravie d’être là. Elle porte des escarpins et un manteau qu’elle retire, laissant apparaître une longue jupe noire fendue et un chemisier blanc un rien transparent ; le tout est superbement érotique bien qu’un peu trop classique. Nous prenons un café ensemble et j’en profite pour lui faire dire, me regardant dans les yeux, qu’elle a envie de ma queue partout en elle, de me sucer de se faire baiser et de se faire enculer. SA réserve timide face à ces mots semble avoir disparu et elle s’acquitte de ces dialogues de manière très excitante.

Nous prenons la voiture afin que je la conduise pour cette première fois au lieu de rendez-vous ; par la suite, elle viendra seule et nous nous retrouverons là bas. Je lui demande de retrousser sa jupe assez haut et je découvre l’horreur : un collant noir. Je cache ma colère et je lui demande si elle a su se retenir… réponse affirmative ; si elle a envie … réponse plus qu’affirmative !!

Nous entrons dans l’appartement et je referme la porte soigneusement ; elle retire son manteau et se précipite dans mes bras mais je la repousse puis je la gifle quatre fois sur le visage. Là, je sais que je prends un risque car, affolée ou trop troublée, elle peut décider de partir et de mettre fin à l’aventure… Elle n’en fait rien, reste debout face à moi, bras ballants, me regarde dans les yeux et m’interroge :

— Pourquoi mon chéri ? Qu’est ce que j’ai fait pour te mettre en colère ?

— Le collant. Je t’interdis de porter cette saloperie en ma présence

— …

— Compris ?

— Oui mon chéri, dit-elle timidement, excuse-moi. Je vais le retirer

— Laisse salope je m’en charge

Je prends une paire de ciseaux sur un pot à crayons posé sur un petit bureau et lui ordonne de trousser sa jupe. Craintive elle s’exécute et se place jambes légèrement écartées devant moi. Je m’accroupis et commence lentement à massacrer le collant ne lui laissant que la partie chaussettes. Elle apparaît en slip de dentelle blanc, accessoire que je retire également avec les ciseaux en le découpant. Elle s’inquiète ; comment va-t-elle rentrer chez elle ? Avec une jupe et sans culotte ; c’est ainsi qu’elle me rejoindra désormais et elle remplacera les collants par des bas et des porte jarretelles. Elle accepte « pour mon plaisir » dit-elle bien que n’ayant jamais porté ni bas ni porte jarretelles.

Je me relève et lui ordonne de ne pas bouger sauf de s’écarter encore plus les cuisses tout en tenant sa jupe troussée ; l’image est absolument obscène et Brigitte est terriblement désirable. Je lui touche le clitoris déjà hors de son capuchon mais sans lui laisser le temps de trouver un orgasme… elle gémit de frustration puis je lui ordonne de retirer sa jupe et son chemisier. Elle s’acquitte de cette tâche de façon un peu mécanique ; il faudra que je l’éduque. Elle apparaît donc en soutien gorge coordonné à la culotte détruite et je lui sors les seins pas le haut, je les caresse puis je prends les gros bouts et les tords tout en les pinçant. Elle gémit et vibre de tout son corps mais ne bouge pas. Elle reste ainsi debout cuisses bien ouvertes et cambrée juste ce qu’il faut. Brigitte a de magnifiques dispositions…

Nous sommes toujours dans le salon, je me déshabille et apparais en slip avec une queue dressée bien visible sous le tissu. Je lui ordonne de s’accroupir ouverte au maximum afin que je la voie et qu’elle retire mon slip ; elle s’y applique en prenant bien soin de me caresser par « mégarde ». Une fois nu elle regarde amoureusement et ne bouge pas, attendant mes instructions. Je vais donc me lancer :

— Ici commence ton dressage salope

— Dis moi, ce sera dur ?

— Tu ne peux plus rien refuser, j’userai de toi selon mes bons plaisirs

— Jusqu’où irons nous ? elle est anxieuse, sa voix est blanche mais dans sa tête elle a déjà accepté

— Jusqu’au bout, tant que j’aurai envie ; mais nous n’atteindrons jamais les extrêmes tels que scato, zoo, sang ou mutilations qui n’appartiennent pas au monde de l’amour et des plaisirs mais sont pour moi la signature d’esprits dérangés. En dehors de mon univers. Donc, il n’y aura rien que tu n’acceptes et tu pourras toujours refuser avec les mots de sécurité.

— Quels mots de sécurité ?

— Deux mots que tu pourras utiliser à ta guise. Le premier : « stop soft » te permettra de me demander de suspendre la torture en cours car elle te paraîtra trop dure sur l’instant ; on pourra reprendre plus tard ou une autre fois. Le second « stop fin » te permettra de mettre fin définitivement à notre relation. En dehors de ces mots, je continuerai mes sévices quelles que soient tes réactions ; ah oui, j’oubliais, tu n’as droit qu’à un seul « stop soft » chaque trois séances faute de quoi nous arrêterons tout.

— Oui mon chéri, je comprends mais, dis moi, dans le livre … les marques de flagellation… tu me feras cela ? Tu me fouetteras ?

— Oui bien sur, un peu plus tard, il faudra commencer soft

— Et mon mari ? dit-elle apeurée

— Je ferai en sorte de ne pas laisser de marques ce qui veut dire également frapper où c’est sensible, la chatte par exemple.

— …

— Tu as envie de jouir salope ?

— Oh oui mon chéri s’il te plait !

— Il va te falloir attendre un peu car tel est mon désir – reste ainsi accroupie et bien ouverte que je te voie bien et suce moi la queue profond comme tu sais si bien le faire.

Elle prend ma queue dans sa main et commence un lent mouvement de léchage des couilles, sa langue bien sortie. Elle agit ainsi quelque deux minutes puis embouche ma queue à fond de gorge. Je ne peux tenir longtemps, je lui prends la tête et la plaque contre mon ventre pour lui éjaculer dans la gorge. Elle avale consciencieusement et attend que je ramollisse puis, spontanément, elle entame une succion dont le but est de me redonner forme ce qui est très vite efficace ; je rebande fièrement.

Je la fais allonger sur le canapé cuisses bien écartées, l’une pendante et lui ordonne de s’ouvrir les petites lèvres avec ses doigts ; pas besoin d’insister pour qu’elle tire bien fort exhibant une chatte rose béante et magnifique surplombée d’un gros clitoris décapuchonné et dressé .. ; en outre, je vérifie sa mouille de mon doigt et elle se tend comme un arc … elle est au bout du désir et son trou est saturé de mouille. LIRE LA SUITE

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