5- Florence, concentration et gang-bang...

mardi 10 mai 2011
par  Jean du Berry
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Florence roulait un peu plus vite qu’à son habitude suivant fidèlement les indications du GPS, Jean lui avait dit « chez moi 15 h au plus ».
Ils étaient sortis de la clinique la semaine dernière, Jean était venu passer trois nuits chez elle, ils avaient fait des emplettes, un blouson de moto, des gants, des bottes, un casque.
Elle avait pris avis auprès de Chantal sur ce qu’elle devait emporter et avait suivi les conseils de son amie.

Elle arriva chez Jean, il était nu, en train de briquer sa moto qui n’en avait nul besoin.

Elle l’embrassa, lui saisit le sexe pendant qu’il fouillait le sien.
Il rentra ses bagages dans la maison, l’emmena dans la chambre, lui fit l’amour.
Ils se douchèrent, Jean indiqua à Florence comment elle devait s’habiller pour la soirée, porte-jarretelles, bas, chemisier (ouvert), jean, bottes, blouson, gants, casque, chez Charles, bas, talons, porte-jarretelles, pinces avec poids aux seins.
Elle lui montra ce qu’elle comptait emporter, il acquiesça, ça rentrerait dans les sacoches.
Il ferma sa maison, et partirent en direction de la maison de Charles et Chantal.

Jean roulait doucement, évitant les à-coups, sa passagère n’avait jamais roulé à moto.
Ils arrivèrent chez leur amis, vers 16 h 30, déchargèrent ce dont ils avaient besoin, Jean remisa la moto dans le garage.
Chantal accueilli Florence en l’embrassant, elle était nue à l’exception d’un string, qui s’attachait sur ses hanches par deux ficelles et dont la transparence ne laissait rien ignorer de son anatomie.

Un couple était assis sur la terrasse, ils devaient avoir autour de la quarantaine, Chantal les présenta sous le nom de « Ginger » et « Fred » (Roger), ils se levèrent et l’embrassèrent, Chantal précisa qu’elle était la nouvelle compagne de Jean et sa soumise, Fred lui flatta les fesses et lui caressa le sexe tout en lui passant une main sur la poitrine.
« Ginger » ’Nathalie’ une rouquine, super bien roulée, était nue, vêtue d’un harnais de cuir clouté, qui faisait le tour de ses cuisses, dégageait son sexe et soulignait ses seins.
Ses seins étaient annelés, une marque rosâtre soulignait son sexe, Florence comprit qu’elle avait été marquée au fer rouge (Jean lui en avait parlé) et se promit de regarder de plus près dès qu’elle en aurait l’occasion.

Chantal, guida Florence vers une chambre, ce serai la leur pour la nuit et lui dit de se mettre à l’aise.
Florence retira son blouson, son jean, ses bottes, son chemisier, enfila une paire de talons, fixe les pinces, se regarda dans la glace de l’armoire, se trouva jolie et surmontant sa gêne se rendit sur la terrasse.
Un grondement de moteurs se fit entendre et bientôt deux gaillards entrèrent dans la salle à manger, puis sur la terrasse, Chantal les présenta « Ducat » et « Guido ».

« Les nanas arrivent avec le camping-car », précisa un des deux balèzes.
Chantal, refit les présentations, les deux costauds rigolèrent en l’embrassant et en la pelotant « alors, c’est toi qui a capturé le monstre, il n’y a pas, tu es vraiment maso » dit Guido.

Deux femmes arrivèrent, Chantal les accueillit d’un joyeux « salut les frangines ! », les deux sœurs, épouses de « Ducat » et « Guido » étaient aussi deux petits bouts de bonne femme de la taille de Chantal, mais un peu plus enveloppées, leurs maîtres respectifs, les mirent nues immédiatement, elles arboraient pour ornement leurs anneaux de seins et de chatte.

Un nouveau grondement de moteur se fit entendre.
Deux hommes, très jeunes, ils devaient avoir au plus la trentaine entrèrent accompagnés d’une jeune femme de leur âge. Leur ressemblance était étonnante.
Chantal les accueillit d’un joyeux « salut les jumeaux » tout en les embrassant, elle fit de même avec la jeune fille.
Elle présenta Florence, lui précisa qu’Anaïs, qui n’avait pas de surnom, était la soumise commune des deux frangins, « je n’arrive pas à choisir entre Thierry et Thibaud, déclara Anaïs avec un sourire enfantin, alors je préfère appartenir aux deux », elle se déshabilla et apparue elle aussi seins annelés, une médaille au sexe.

Florence était fascinée, cette fille mince, grande, avait une poitrine extraordinaire, totalement disproportionnée avec sa silhouette.

« Vous dormirez dans le canapé-lit de la mezzanine » leur précisa Chantal.

Florence ne sentait plus la douleur occasionnée par les pinces et les poids, au contraire, elle en jouissait et avait envie d’être prise, elle avait envie de sexe, son ventre la brûlait
Les hommes revinrent, Jean et Guido entreprirent de monter un chevalet semblable à celui de Jean.

Jean demanda le silence, présenta Florence, sa « Peggynette », sa soumise, (Florence prit immédiatement les positions de présentation que Jean lui avait enseigné), désireux de l’initier le plus rapidement possible il entendait que les maîtres présents honorent par tous les trous sa soumise, ce autant de fois qu’il le désiraient, d’abord attachée sur le chevalet, puis au cours de la soirée. Il précisa, pas de cravache, ou alors des coups faibles, des claques, pas trop de marques, demain ils devaient faire 250 bornes à moto et se lever à 5 heures.

Une rafale d’applaudissements, de cris et de sifflets accueillie cette déclaration.

Il ajouta que durant les deux jours de la concentration, elle serait également à leur totale disposition, le camping-car était fait pour cela, elle ne pouvait et ne devait rien leur refuser.
Il se tourna vers Florence, « tes bras », il ajusta des bracelets en cuirs terminés par des mousquetons, il avança une chaise « cheville », Florence leva la jambe, la posa sur la chaise, il lui ajusta le bracelet à une cheville, puis à l’autre.

« En position sur le chevalet « Vide-Couilles » ! »

Florence s’exécuta, les mousquetons furent fixés aux anneaux, pour compléter le tout une sangle de cuir fut fixée autour de sa taille, passée sous la poutre transversale et ajustée, un masque de nuit fut placé sur ses yeux.

« J’adore voir une soumise femelle mise au mâle », Florence identifia cette voix, comme celle d’un des deux costauds.

Jean précisa « son anus sera lubrifié avec sa mouille, le maître de maison commence en premier, le maître qui utilise ma soumise peut choisir, soit la faire nettoyer, soit continuer dans le sperme de son prédécesseur, tous les modes de nettoyage sont admis ! »

Jean s’agenouilla devant Florence, lui prit la tête, la redressa, l’embrassa et lui murmura à l’oreille « ne me déçoit pas mon amour ».

Ces mots revigorèrent Florence et lui redonnèrent confiance, Chantal l’avait prévenue la veille de ce qui l’attendait, mais entre le savoir et le subir, il y a une marge et elle était franchement inquiète, serait-elle à la hauteur ?.

Charles, « Goretto d’amour », entrepris de lui caresser le sexe, au bout d’un moment, il la pénétra, puis enduisit son anus de mouille et le força, il lui lima longuement le cul et ensuite, se plaçant devant elle, lui ordonna de la sucer, ce que Florence fit sans aucune hésitation, elle accomplit sa tâche à la grande satisfaction de Charles.
Un autre sexe lui frappa le visage, elle ouvrit la bouche, à la façon dont elle était traitée, elle se douta que ce devait être « Guido » ou « Ducat » mais lequel ?
La main de l’homme qui crochait ses cheveux ne lui laissait aucune illusion, sa bouche allait devenir un « vide-couilles », il avait un sexe très gros, sans se préoccuper de sa suffocation, de la bave qui coulait de sa bouche, l’homme réglait sa fellation en la tenant par les cheveux, des mains lui claquaient les seins après avoir arrachées les pinces, une autre les fesses, l’homme fini par éjaculer dans sa bouche et lui ordonna de tout garder, de ne pas avaler.

« Esmée, grosse pute soumise, vient récupérer mon sperme dans ta bouche de salope », un coup de cravache claquât au passage, Esmée avait du l’encaisser, elle se mit à bouche touchante avec Florence, Florence lui expulsa le sperme dans la bouche.

Elle identifia « Guido », le mari et maître d’Esméralda.

Elle sentit un bite énorme lui envahir le cul, la douleur était à peine supportable, toujours aussi raffiné, « Guido » entrepris sans préliminaires un pilonnage en règle de son anus.
Puis, il pénétra son sexe et recommença son pilonnage, il éjacula dans Florence qui n’eut pas le temps de prendre son plaisir et demanda, « une soumise pour lui nettoyer la chatte avec sa langue ».

A la manière de procéder, Florence reconnu le coup de langue de Chantal.
Une bite assez grosse envahie à nouveau son sexe, Florence pensa à « Ducat », l’homme alternait ses aller et venues et l’amena rapidement à jouir, elle le fit comme elle faisait d’habitude, en hurlant son plaisir, une rafale d’applaudissements et de sifflets accueillit son orgasme.
La laissant à peine récupérer, la bite se présenta devant sa bouche, une main crocha sa nuque et elle dut subir de nouveau un défonçage de sa gorge, elle était sur le point de suffoquer, quand l’homme éjacula.

Il ordonna « avale, vide-couilles », elle obtempéra.

L’homme se plaça derrière elle, et entreprit un pilonnage en règle de son anus, il ne tarda pas à éjaculer dedans et ordonna « une soumise pour nettoyer le cul de cette pute », une langue à nouveau fouilla et nettoya l’anus de Florence.
Un sexe lui claqua la joue, Florence ouvrit la bouche, l’homme, elle reconnu « Fred », lui demanda de sucer lentement. Elle fit ce qu’il lui ordonnait, s’appliquant, au bout de quelques minutes il éjacula dans sa bouche et lui ordonna de tout avaler, elle s’exécuta.

Pendant qu’elle effectuait sa fellation, des mains trituraient toujours ses seins et les claquaient, ses fesses en prenaient aussi.
Fred, pénétra son anus, sans forcer et commença ses aller et retour, puis il investit la chatte de Florence, ponctuant ses aller et retour, ses accélérations, ses ralentissements de claques, Florence comprit qu’il était décidé à la faire jouir, elle se laissa aller.
Au bout de quelques minutes elle hurla de jouissance.
Les applaudissements et sifflets crépitèrent.

« Ginger » nettoie lui la chatte avec tes doigts, montre nous ce que tu lèches, avales et fini le travail avec ta langue, grosse morue ». Lire la suite

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