Belles soumises par Collectif

jeudi 18 novembre 2010
par  Jeanne Franval
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Ce recueil de 197 pages, dont l’intégralité est disponible à la lecture dans la zone abonnés du site est composé de 13 récits indépendants écrits par différents auteurs :

(1) L’Education d’Aude page 3

(2) Rasage et Lavement pour ma Copine Eve page 19

(3) Maître G page 22

(4) La Révélation page 27

(5) Orane page 49

(6) Saba page 61

(7) Gynéco Hard page 66

(8) La Prostitution page 68

(9) Natasha page 99

(10) Partie de Chasse page 121

(11) La Course page 148

(12) Histoire de Julie (eXcla) page 155

(13) Louise et les Aiguilles (Letoga) page 190

***

(1) L’Education d’Aude par Aude

Aude redoutait de plus en plus la venue de Marie. Cette très belle femme blonde de 40 ans sentait qu’elle ne pourrait plus résister aux assauts de la jeune femme qui avait jeté son dévolu sur elle.

Marie savait à quel point Aude la trouvait jolie et désirable. Elle avait aussi compris que le vieux fond de salope soumise de Aude ne demandait qu’à se réveiller. Elle était très sensuelle mais sa vie sexuelle était calme depuis plusieurs années. Elle n’avait jamais eu d’expérience bisexuelle mais il lui était
arrivé de se masturber en regardant de très jolies filles dans les magazines.

Elle imaginait alors qu’elle devait se soumettre à toutes les fantaisies sexuelles de ces topmodels et elle appréciait par dessus tout ce rôle de salope. Marie sentait ce trouble et avait décidé de l’exploiter au maximum.

Elle avait commencé par de discrets effleurements sur les jambes de sa future
belle-mère lorsqu’elle s’asseyait près d’elle, de petits coups d’oeil dans le décolleté de son corsage. Marie posait systématiquement une main sur l’épaule d’Aude quand elle l’embrassait pour lui dire bonjour, chaque jour sa main se rapprochait du cou pour toucher la peau nue et la griffer légèrement du bout de l’ongle.

Ce qui avait convaincu Marie qu’Aude était prête à être dressée avait été l’accueil que cette dernière avait réservé à son cadeau d’anniversaire. Elle lui avait acheté une ravissante parure en dentelle blanche très transparente et s’était arrangé pour pouvoir la lui offrir une après-midi où Aude était seule chez elle.

Elle regardait la télévision dans sa chambre quand Marie arriva……

(6) Saba

Depuis 20 minutes, Saba était à quatre pattes, collier au cou, laisse attachée à la poignée de... A la poignée de quoi au fait ? Un épais masque semblant en cuir, lui masquait la vue.

En pensée, elle se voyait, fesses en l’air, genoux écartés, sexe glabre offert, reins cambrés tandis que sa lourde poitrine semblait aimantée par la moquette. Une chienne. Une chienne à qui le martinet posé sur ses reins, rappelais qu’elle ne devait pas changer de posture. Son maître en avait décidé ainsi.

Deux heures auparavant, il l’avait fait installer, couchée à l’arrière du véhicule, nue comme un bébé à la naissance. C’était la surprise, il était juste prévu qu’ils aillent au cinéma, et puis, tout à coup l’ordre, bref, sec :

— « Saba, à poil ! »

Surprise, elle tressaillit, mais se tut. Déjà, la voiture, stoppait au bord de la route.

— « Allez à poil vite ! J’ai une surprise pour toi », s’exclama Eric, avec un demi-sourire.

Saba s’exécuta rapidement. L’impatience, l’excitation, la rendait fébrile.

— « Tu t’installeras à l’arrière, et tu prendras ton collier et ton masque dans le sac »

— « Dois-je les mettre, maître », demanda-telle ?

— « Ne joue pas les chiennes idiotes, ça ne te va pas ma puce », lui lança-t-il, en brandissant un martinet sorti d’on ne sait où.

Plus d’une heure de route allongée, à même le sol, sans même un stick, c’était dur, surtout dans les virages. Heureusement, une fois arrivée, devant un hangar pourri, elle avait eu droit à une pause, assise sur le siège du passager avant. Le bonheur, un gros stick, et la main de son maître qui l’avait fouillée
longuement, la laissant pantelante de jouissance, trempée comme une vraie chienne en chaleur.

Dans la nuit, humide, son maître, l’avait sortie du véhicule. A quatre pattes, yeux bandés, elle avait été traînée par son maître, jusqu’à un local au sol moquetté. Peut-être un bureau.

Puis elle avait été abandonnée par son maître, sans mot dire, offerte. Son coeur, s’était serré quand elle avait entendu son maître s’éloigner.

Une porte claqua, la sortant de sa torpeur. Les pas de plusieurs personnes résonnèrent dans le bâtiment. Combien étaient-ils ? Qui étaient-ils ?.....

(10) Partie de Chasse par Sabine

1. La rencontre

Natalie a connu le comte lors du mariage de l’une de ses amies d’enfance. Elle a tout de suite été fascinée par cet homme de 50 ans et ses récits de chasses. Elle prenait un plaisir non dissimulé à écouter ses récits de chasse alors que lui était en admiration devant la plastique parfaite de la jeune femme. Il faut dire que Natalie portait une robe de soie très légère qui ne dissimulait en rien son anatomie.

Cette robe était tellement légère qu’elle avait du renoncer à mettre des sous-vêtements. Il faut dire que Natalie avait de petits seins, un dos bien cambré et une croupe généreuse. Le comte l’avais comparée pendant qu’ils dansaient
ensemble à un canard à cause de la couleur de sa robe mais aussi de sa cambrure. Dans un autre contexte cette comparaison l’aurait vexée, mais dans la bouche du comte elle en était flattée. Le comte sentant cet intérêt marqué pour la chasse, il invita la jeune femme pour un week-end avec ses amis chasseurs dans une réserve de chasse.

Une semaine plus tard, elle reçoit une invitation pour cette réunion de chasseurs. Le comte précisait qu’au niveau vestimentaire, il s’occupait de tout et lui demandait de venir le vendredi matin pour les « préparatifs ».

Natalie arrive donc par un matin d’été à la réserve de chasse du comte. C’est une grande maison bourgeoise sur deux étages isolée dans la forêt. Natalie, porte un petit caraco rouge et une jupe plissée assortie. Un serviteur la reçoit et la conduit chez le comte dans une grande salle où il prépare ses fusils. Au moment où elle entre il est en train de viser le mur. Natalie le salue, ils discutent un moment et il lui demande d’attendre pendant qu’il régle ses fusils. Natalie est ravie de rentrer tout de suite dans le vif du sujet. Et lui demande comment elle peut lui être utile.

Le comte lui demande de se mettre à 20 mètre de lui afin qu’il règle ses lunettes de visée. Natalie est très excitée de prendre ainsi la place de la cible, du gibier.

— J’ai reçu ces nouvelles lunettes ce matin. Je voulais absolument les essayer, dit le comte.

— Je vous comprends, dit Natalie en prenant la pose.

— Je vous vois très bien, dit-il, déplacez vous !

Natalie marche de long en large dans la pièce.

— C’est parfait dit le comte. Avec vos vêtements rouges je vous vois très bien.

— Et-ce qu’il faut que je les enlève demande naturellement Natalie.

— Oui ce serait mieux dit le comte.

Natalie est très excitée par la situation, elle est un peut étourdie. Elle ne sait pas ce qui se passe et les mots lui sont sortis de la bouche tout seule. Elle enlève son caraco laissant apparaître ses petits seins. Elle porte des piercings à la pointe.

— Vous avez de beaux seins, lui dit le comte.

— Merci, dit Natalie en enlevant la jupe.

Elle regarde le comte en tenant son slip rouge. Il lui fait oui de la tête. Elle enlève son slip. Laissant apparaître un pubis lisse.

Le comte admire ce corps juvénile et gracieux. Elle retourne prendre la pose, il vise. Il prend un petit tournevis et fait encore quelques réglages. Curieuse Natalie lui demande :

—  Vous avez déjà chassé des femmes.

— Oui en Afrique. Il y a une réserve ou ils organisent ça. C’est une tradition. Autrefois, les filles qui n’étaient pas fertiles étaient utilisées comme appâts pour la chasse aux grands félins. Depuis quelques années, elles sont utilisées comme gibier pour les touristes. Nous ne voulions pas participer à cette chasse mais ils ont organisé une grande fête. Les filles ont dansé pour nous pendant des heures et on nous a demandé de choisir. Le prix de chaque fille était dérisoire mais la vente et la chasse de 3 filles permettait au village de construire une nouvelle école. Dans l’ambiance de la fête, nous avons choisi chacun une fille.

— C’est un peu comme dans les restaurants de poissons où l’on peut choisir son poisson dans le vivier, ajoute Natalie.

— De plus, la tradition veut que la fille-gibier doit jouir toute la nuit afin que sa chair soit tendre et succulente. Les chasseurs se relaient donc toute la nuit pour la satisfaire.

Natalie avale sa salive en demandant, comment sont-elles ?

— Très tendres, au lit et dans l’assiette.

— Et ici, vous n’avez jamais essayé d’organiser une telle chasse, demande Natalie en levant fièrement la tête.

— Autrefois ça se faisait. Les paysans vendaient une de leurs nombreuses filles pour acheter quelques têtes de bétail et personne ne disait rien. Aujourd’hui ce n’est plus possible. Au fait pourquoi me demandes-tu tout ça.

— Monsieur le comte, lui dis Natalie, l’idée d’être chassée m’excite beaucoup et d’être nue au bout de votre fusil.

Le comte sort 2 cartouches de sa poche, et charge son fusil. Natalie le voit. Son coeur bat la chamade. D’un bond elle court de l’autre côté de la salle. Le comte fait semblant de tirer. Il est très excité de voir ce corps nu au bout de son fusil. Natalie fait semblant de tomber. Natalie est à 4 pattes et se prend au jeu. Elle est aussi très excitée. Au bout de 10 minutes elle se rend et viens a genoux au pied du comte en disant : « Ca vous rappelle de bons souvenirs ».

— Oui, dit le comte en lui faisant signe avec le fusil de se mettre à 4 pattes.

— Vous avez vraiment un beau cul dit le comte. Natalie marche en cambrant son dos au maximum et demande :

— Comment préparez-vous votre gibier en Afrique ?

Le comte lui fait signe de se relever et lui demande de poser ses mains sur un muret. Il lui fait écarter ses jambes en disant.

— Elles sont embrochées puis grillées.

— Ce doit être délicieux ! dit Natalie en cambrant au maximum son dos. Embrochez-moi aussi ! demande-t-elle au comte.

Le comte ouvre son pantalon et en sort une énorme bite. Il pose son fusil à terre et pénètre la jeune étudiante. Le comte ramone ce cul ainsi offert tout en donnant de petites fessées. La jeune femme semble apprécier.

— Assez joué ! nous devons te préparer pour ce soir. Dit le comte. Suis-moi !

2. La préparation du canard

Le comte sort de la salle. Natalie le suit nue. Ils croisent des domestiques qui ne semblent pas surpris de voir le comte avec une femme nue. Ils montent au 2ème étage dans une salle dont les murs sont décorés de nombreux trophées
de chasse.

—  Lors de nos fêtes les chasseurs s’habillent en chasseurs. Les autres doivent revêtir une tenue rappelant la chasse. Certaines femmes choisissent des tenues rappelant le gibier. Ici nous avons tout ce qu’il faut, poils et plumes...

Natalie est très excitée par cette idée et dit de suite : je prends les plumes.

— Très bien dit le comte. Pour la soirée de gala de ce soir, je te transformerai en oiseau.

En souvenir de leur première rencontre, elle lui propose d’être canard.

— J’en étais sûr dit le comte. Ce sera un plaisir de te plumer, si je t’attrape.

— Chiche ! dit Natalie.

— Attention, mes talents de chasseurs sont grands et aguerris, avertit le comte.

— Je suis agile, endurante, la lutte sera longue et exaltante mais ce sera un plaisir pour moi d’entrer dans votre tableau de chasse et qui sait dans votre menu.

— Nous verrons cela demain dit le comte.

Nous allons d’abord préparer ton corps.

— Cambre-toi lui dit-il. Natalie se cambre du mieux qu’elle peut. Elle sent que le moment est important.

— Je n’arriverai jamais à tenir cette position toute la soirée, gémit Natalie.

— Nous allons t’y obliger, dit le comte

Une lueur s’allume dans les yeux de Natalie, un mélange de curiosité et de peur. Elle se doute ce dont est capable le comte.

— Nous allons t’engoder avec un objet de ma fabrication qui t’obligera à tenir la croupe cambrée.

Il part alors chercher sa malle laissée dans le coin de la chambre. A son retour, il dit : cet objet sera maintenu avec un harnais. Nous pourrons décorer le harnais avec des plumes de canard. Natalie est toute excitée. Il vient alors se positionner devant elle. Le comte admire la plastique parfaite de son corps juvénile. Les membres sont sveltes et les jointures fines et bien faites. Ses seins, deux poires pleines, sont tendus. Natalie se retourne et lui présente fièrement sa croupe.

En présentant sa croupe, le comte ne peut qu’admirer la fermeté des globes, l’arrondi musclé du fessier. Il caresse la croupe comme on le ferait à une jeune pouliche. La caresse fait tout de suite place à une claque appuyée sur la croupe. Une rougeur apparaît, les traces des doigts se font visible pour le plus grand plaisir du comte.

—  Tu as un beau corps, une vraie machine à donner du plaisir.

Le comte ouvre sa malle et en sort une sorte de bâton tordu long de plus de 50 cm. Natalie est a la fois apeurée et curieuse en voyant l’objet.

— Il va me, me...!?... dit elle.

Le comte profite pleinement de ce moment de crainte.

— Ce ne sont que 50 cm... Te crois tu incapable de les prendre ? Me crois-tu capable de t’imposer une épreuve que tu ne sois capable de dépasser ?

— J’aime les défis, répond Natalie.

— oui je vais l introduire dans ton anus et tu vas être obligée de garder cette courbure

Le comte oblige Natalie à prendre position face deux piliers.

— J’espere pour toi que tes organes sont parfaitement alignés... sans cela tu termineras telle une fille de Dolcett, embrochée.

Natalie est penchée en avant et présente son cul. Le doigt du comte vient précéder le bâton. Celui-ci est large, l’anus de Natalie se
rétracte.

— Allez y je suis curieuse de voir ce que ça donne !

La pointe vient se placer. Natalie vient poser ses mains sur ses globes pour les écarter davantage. Un sourire vient s’inscrire sur le visage du comte au moment où il commence à enfoncer le bâton. Le gode est disproportionné. Natalie pousse un petit cri.

— Canard tu voulais être, à la broche tu seras cuisinée ! dit le comte en riant.

Natalie rit aussi.

La pointe à peine enfoncé, il la retire en tournant. Natalie a envie d’être transformée en animal. Le comte saisit une bouteille d’huile pimentée et il en badigonne copieusement les premiers 20 cm du bâton. Puis replace la pointe huileuse sur l’anus.

— Vous aimez les plats épicés demande Natalie ?

— J’aime les plats relevés lui, répond-il en appuyant. Sauras-tu répondre à mes envies, ajoute le comte ?

Natalie se cambre du mieux qu’elle peut pour faciliter l’entrée de l’objet. L’objet est légèrement tordu afin de mieux pénétrer. 25 cm sont entrés. La partie la plus facile est désormais passée...

— Passons aux choses sérieuses !...


***

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