22- Pierre, Agnès et les autres

Chapitre 22 - Ah ...la belle bacchante
mercredi 28 juillet 2010
par  herpin
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Lorsque, un peu plus tard, les quatre males reprirent leurs esprits, ils purent contempler les jeunes femmes, allongées sur le sol, enlacées, lapant à petits coups de langue les traces gluantes de leurs épanchements. Une telle vision suffit à leur donner envie de se mêler à ces jeux érotiques, mais force leur fut de constater qu’ils n’étaient pas en état d’honorer leurs compagnes. Ils en étaient à discuter des meilleurs moyens de retrouver leur vigueur perdue, lorsque l’un des inconnus, avisant les différents instruments de flagellation que Max avait étalés sur le comptoir, y puisa une idée propre à satisfaire leur désir :

— Et si on leur chauffait un peu le cul à ces putes ; je pense qu’elles nous offriraient une jolie danse.

— Tout à fait, reprit son compagnon, surtout les deux gamines ; je suis sur qu’à cet age là, elles doivent avoir les tétons bien sensibles.

Il va sans dire que cette proposition fit l’unanimité, et c’est avec enthousiasme qu’ils se répartirent martinets et cravaches. Entièrement absorbées par les caresses qu’elles se prodiguaient mutuellement, les jeunes femmes ne virent pas s’approcher leurs compagnons. Toutefois en les découvrant, penchés vers elles, armés des différentes lanières, elles comprirent immédiatement qu’elles allaient devoir payer de leurs personnes le regain de forme de ces messieurs. Agnès et Sandrine, accoutumées à ce genre de distraction, manifestèrent tout de suite leur accord en se positionnant à genoux, le buste courbé vers le sol, la croupe levée dans l’attente des premières cinglades. Muriel quand à elle, bien que résignée, réclama toutefois un peu d’indulgence :

— Je veux bien être fouettée, mais allez-y doucement…je n’ai pas l’habitude.

Pris de compassion, ou faisant simplement preuve d’hypocrisie, Pierre tint à la rassurer :

— Ne t’en fais pas ; je vais me charger moi-même de te faire découvrir le plaisir qu’il y a à se faire rougir la croupe ; tu vas aimer, crois-moi.

— Si vous le permettez, dit Max, je me joindrai à vous ; je pense que nous ne serons pas trop de deux pour enseigner à cette charmante enfant les joies de la soumission.

— Mais avec plaisir, d’autant que vous devez connaître parfaitement ces différents instruments. Je suis bien certain que Muriel vous sera grée de lui faire apprécier toute la gamme des sensations qu’ils peuvent engendrer. Mais assez bavardé…ma chérie, voudrais-tu te relever et te tenir debout, les mains croisées derrière la nuque et les jambes écartées ; tu connais déjà la position.

Par défit, et pour tout dire curieuse de connaître sa résistance à la souffrance, Muriel prit la pose indiquée à ceci près qu’elle garda les jambes obstinément jointes, malgré le rappel à l’ordre de Pierre. Ce dernier, jubilait intérieurement de l’occasion qui lui était ainsi offerte de briser la résistance de l’adolescente. Il prit cependant un air faussement contrit pour une ultime mise en garde.

— Je suis désolé de constater que tu es toujours aussi désobéissante. Sandrine avait bien raison de vouloir te corriger sévèrement. Puisque tu te montres indisciplinée, je vais devoir te fouetter plus fort que je ne l’avais envisagé. Tu pourras résister autant que tu le voudras, tu finiras par céder ; tu en viendras à me supplier de mettre fin à tes tourments. Et puisque tu refuses d’ouvrir tes jambes, que tu t’obstine à garder tes cuisses serrées, c’est à cet endroit que nous allons te cingler ; tu n’imagines pas encore les souffrances que tu vas connaître…Max, voulez-vous vous placer derrière cette impertinente demoiselle, ainsi nous pourrons l’assaillir des deux côtés à la fois.

Durant cette diatribe, Muriel avait senti fondre sa résolution, mais elle ne voulait toutefois pas céder aussi facilement, et par fierté, elle se redressa, les mains croisées sur la tête, ramenant bien ses bras en arrière de façon à faire jaillir son torse, narguant de ses petits seins dressés son tortionnaire. Un sourire aux lèvres, elle semblait mettre les deux hommes au défit de la soumettre.

Pendant ce temps, les deux inconnus ne connaissaient pas les mêmes problèmes ; victimes consentantes de ces jeux pervers, Agnès et sa jeune sœur avaient adopté la posture qui leur semblait le mieux convenir à une bonne séance de flagellation. Croupe levée, elles attendaient le bon vouloir des deux hommes. Ceux-ci, armés l’un d’une cravache, l’autre d’un martinet, vinrent se placer derrière les deux jeunes femmes et sans plus attendre, ils firent pleuvoir les premiers coups. Conscients toutefois qu’il ne s’agissait que d’amusements auxquels il convenait d’associer leurs partenaires, ils modérèrent la violence de leurs frappes. Certes les lanières du martinet cinglaient sèchement l’épiderme sur lequel elles dessinaient de longues estafilades, mais en même temps elles chauffaient délicieusement la zone ainsi assaillie. Si la cravache s’abattait brutalement sur la peau offerte sans défense, elle déclenchait une onde qui se propageait dans toute la croupe, pour le plus grand plaisir de celle qui se cabrait sous chaque nouvel impact. LIRE LA SUITE

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