21- Pierre, Agnès et les autres

Chapitre 21 - Séance de shopping
mardi 13 juillet 2010
par  herpin
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Parvenus à proximité du sex-shop, Pierre s’adressa aux deux adolescentes :

— J’ai averti Max de votre venue, mais je ne lui ai pas de quoi il s’agissait ; donc à vous de jouer. Agnès et moi allons entrer les premiers, et nous nous mêlerons aux clients qui se trouvent peut-être sur place. Bon courage et soyez audacieuses.

Plantant là les deux jeunes filles un peu intimidées, ils pénétrèrent dans la boutique où se trouvaient effectivement deux hommes occupés à choisir des films. Ayant adressé un clin d’œil complice au commerçant, Agnès et Pierre firent semblant de s’intéresser aux revues et autres gadgets. Quelques instants plus tard, la porte s’ouvrit pour laisser le passage aux deux amies que Max salua d’un sonore

— Bonjour mesdemoiselles, que puis-je pour vous ?

— Voilà, reprit Sandrine, mon amie que voici est de plus en plus insupportable et je n’arrive plus à la faire obéir ; j’ai bien essayé de lui donner le fessée, mais elle y prend plaisir, même lorsque je la frappe durement, et je finis par avoir mal aux mains, alors qu’elle ne semble pas se soucier d’avoir le cul tout rouge. Je voudrai donc trouver quelque chose qui me permette de la corriger plus sévèrement.

— J’ai tout de qu’il vous faut ici ; mais si votre amie prend un tel plaisir aux châtiments corporels, je suis bien sur que vous ne refuserez pas d’en faire à l’occasion un jeu.

— Il est certain que si vous pouvez me procurer un tel objet, je ne refuserai pas à l’occasion de la faire jouir, avant de la punir.

— Voilà qui est entendu ; pour une débutante, je préconise le martinet ; il en existe de nombreux modèles ; celui-ci tout d’abord… vous remarquerez le grand nombre de lanières ; cela permet de répartir la frappe sur la totalité du postérieur, et donc d’atténuer la violence de l’impact ; par ailleurs le cuir est suffisamment souple pour bien épouser le galbe de la croupe ; enfin il n’est pas coupant et ne peut donc occasionner de blessures. Je le recommande dans le cadre d’amusements, ou bien pour débuter la punition, car il a le mérite de bien chauffer la peau sans l’endommager, permettant ainsi de passer à des instruments plus sérieux. J’ai alors cet autre martinet ; il ne comporte que cinq lanières, et son cuir est plus rugueux. Sans être un instrument véritablement cruel, son application amène rapidement une sensation de brûlure, et l’irritation de l’épiderme devient assez vite très douloureuse pour la victime. Enfin j’ai ce fouet à lanière unique ; son usage requiert une certaine habitude. Manié trop brutalement ou appliqué sur des parties du corps trop sensibles il peut s’avérer dangereux. Toutefois, en vous limitant à la croupe et en vous entraînant de façon à vous tenir à la bonne distance vous obtiendrez des résultats appréciables. Je suis bien sur que votre amie vous gratifiera de contorsions tout à fait érotiques.

— Vous me faites rêver…je me vois déjà en train de la faire danser. J’imagine que ce fouet doit laisser de beaux sillons en travers des fesses.

— Tout à fait, et ces traces subsistent plusieurs jours, ce qui est embêtant si votre jeune amie doit se mettre en maillot de bain ou s’exhiber en public. Dans ce cas je préconise les strappes. Il en existe de nombreux modèles qui s’adaptent parfaitement aux diverses formes de fesses. Peut-être cette demoiselle pourrait-elle nous faire voir cette partie de son anatomie afin de décider de l’instrument le plus approprié à la corriger.

— Mais bien sur ; Muriel chérie, voudrai-tu relever ta robe afin de Monsieur puisse juger par lui-même.

— Ce n’est pas vrai, maugréa l’intéressée, ça va devenir une habitude de me demander de montrer mon cul à tout le monde ; si ça continue je vais finir par me promener constamment les fesses à l’air et la culotte à la main.

— Ne fais pas l’enfant, ma chérie, tourne-toi et montre ta croupe à ce monsieur afin qu’il puisse juger par lui-même. Voilà, c’est très bien ; maintenant cambre-toi….Et bien, monsieur, pensez-vous que ce derrière pourra supporter la strappe.

— Cela ne fait aucun doute. Il est vrai que cette enfant possède de petites fesses, mais elles sont admirablement bombées, et manifestement très fermes. Je comprends que vous soyez tentée de les faire danser à l’aide de quelques bonnes lanières. A ce sujet je vous conseillerais d’utiliser une strappe étroite et longue ; ainsi vous pourrez envelopper entièrement ces magnifiques rotondités, et si l’envie vous en prend, il vous sera facile de cingler efficacement le sexe et l’anus, la lanière pénétrant facilement entre les jambes, pour peu que les cuisses soient légèrement écartées.

— Admirable…je crois que je vais suivre vos conseils.

— Vous ne regretterez pas ce choix. Pour terminer, il me semble que quelques cravaches amèneraient une jolie coloration sur la poitrine de cette demoiselle, en même temps qu’elles provoqueraient un mouvement des plus excitants de ses seins que je devine fermes et bien développés.

— Peut-être voudriez-vous les examiner pour juger des instruments les plus appropriés.

— J’allais vous le demander.

— Tu as entendu ma chérie….

— Ben voyons, je me doutais bien que vous voudriez reluquer ma poitrine. Si cela peut vous faire plaisir, monsieur, je ne voudrai pas vous en priver. Regardez-les ; vous constaterez que je n’ai nul besoin de soutien-gorge. Ils se tiennent bien.

— C’est ce que je vois ; je n’ai du reste jamais douté de leur fermeté. J’ai ici deux types d’instruments tout à fait adaptés à une jeune poitrine. Tout d’abord cette cravache terminée par une petite spatule en forme de main. Son manche est très rigide et permet de claquer très sèchement le globe. Quelques coups bien assénés, et vous verrez des marques très nettes se dessiner sur la peau. Cette autre cravache est un peu plus souple et par ailleurs elle est prolongée par une petite boucle en cuir. Vous pourrez en cingler avec toute la précision voulue les seins de cette demoiselle. Croyez-moi, si vous lui travaillez les mamelons avec cet instrument, elle vous gratifiera de belles prestations vocales. Enfin, pour des punitions très sévères, j’ai ici un lot de baguettes plus ou moins souples. Elles ont l’avantage de pouvoir être utilisées sur toutes les parties du corps pour peu que vous adaptiez la force de vos coups à la zone cinglée, car elles sont très coupantes, et peuvent donc endommager assez rapidement la peau.

A l’énoncé de ces divers supplices qui lui étaient réservés, et qui dépassaient de loin ce qu’elle avait envisagé, Muriel ne put s’empêcher de protester :

— Vous n’êtes peut-être pas obligé de lui donner des idées pareilles !

— Mais ma chérie, c’est pour ton bien ; c’est afin que tu sois plus obéissante, et je suis bien certaine que tu y prendras du plaisir, tout comme moi.

— Peut-être, mais en attendant c’est moi qui vais devoir me laisser fouetter…

— Allons, ne fais pas la mauvaise tête ; tu devrais plutôt remercier ce monsieur pour tous ses conseils.

— Heu…je vous remercie…

— Ne fais pas l’enfant, ma chérie ; ce n’est pas ainsi que je souhaite te voir montrer ta satisfaction à ce monsieur.

Tout en disant cela, Sandrine dirigeait son regard vers le vendeur, désignant la bosse qui déformait son pantalon, révélant une érection que l’intéressé ne pouvait dissimuler.LIRE LA SUITE

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