L’aboutissement de Nathalie

dimanche 11 avril 2010
par  nathykara
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Mardi matin, je me prépare fébrilement, c’est le grand jour, j’enfile juste une courte robe à bretelles légère, me perche sur mes escarpins et descends rejoindre Louise qui m’attend sur le perron.
—  Prête ma chérie ?
—  Oui, Maîtresse, prête à porter fièrement vos chiffres.
Le trajet se fit en silence, arrivés devant un hôtel particulier un voiturier se charge de garer la voiture.
Nous sommes accueillis par une belle femme de type asiatique qui s’adresse à Louise comme une très vieille connaissance sans un regard sur moi.
Je les suis à distance, cela me permet d’admirer l’intérieur coquet de ce bâtiment, du bon goût, de belles pièces de collection.
Nous entrons dans une pièce aménagée en salle de consultation, je me croirais chez une gynécologue.
—  À poil !
Je reste saisie du ton et de l’injonction, retrouve rapidement mes esprits et me dévêts rapidement, une fois nue je prends d’office la pose d’attente à genoux, offerte.
—  Félicitations ma chère, belle, obéissante, éduquée, dit Mme Li. Lorsque je l’ai vue, je ne le pensais pas, je la trouvais trop nonchalante, gamine. Je vais voir si elle possède les autres vertus nécessaires. Installe-toi dans le fauteuil, faut-il l’attacher ?
—  Non, ce ne sera pas utile, je lui tiendrai la main.
Nous avons passé la journée avec Madame Li, juste une petite collation à midi et une tasse de thé à cinq heures que j’ai pu prendre avec elles. J’ai eu du mal à retenir mes cris et mes larmes, mais j’ai réussi, j’ai certes broyé la main de ma Maîtresse, puisé la force dans ses yeux ou je percevais son amour et sa fierté. Cette complicité n’a pas échappé à Madame Li, Louise lui a décliné mon véritable statut de Compagne et de Soumise.
C’est en m’appuyant sur ma Maîtresse que nous sommes reparties, j’avais mal partout.
Je n’ai pas dîné et Louise m’a autorisée à me retirer dans notre chambre où elle m’a rejoint plus tard.
Amélie s’est occupée des soins et une semaine plus tard je reprenais le cours normal de notre vie.
J’étais fière de porter mes marques d’appartenance à Louise, je ne les cachais pas, j’en étais fière.
Les mois ont passé, notre amour n’a fait que grandir, Louise surveille mes résultats et Maîtresse continue mon éducation.
J’ai validé mes études, réussi mon permis de conduire, nous sommes parties aux États-Unis pour fêter ces réussites. LIRE LA SUITE


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