Le lendemain est un samedi ; l’après-midi, je propose à Catherine d’aller dans un magasin de lingerie pour acheter les dessous que M. Morlaix a exigés. Nous nous rendons donc dans le plus ancien magasin de la ville, tenu par un couple assez âgé. L’homme et la femme sont plutôt gros proches de la retraite. Quand nous entrons, plusieurs couples choisissent des sous-vêtements, les femmes ont l’air gênées. Le propriétaire s’approche de nous et nous salue :
— Bonjour messieurs-dames, que puis-je faire pour vous ?
Catherine rougit :
— Je… Je souhaite une parure heu… string, soutien-gorge et porte-jarretelles.
— Oui bien sûr, pas de problème. Vous connaissez votre tour de poitrine et votre taille de culotte ?
L’homme parle fort, cela gêne mon épouse.
— Euh oui : 95 E et, euh… 42.
— Bien. Suivez-moi en cabine, je vous prie : je vais vous présenter des modèles.
Nous allons dans le fond de la boutique où se trouvent plusieurs cabines, avec un petit rideau. Une des cabines est occupée, un homme attend devant. Catherine entre dans la suivante.
— Tu te déshabilles entièrement, toute nue pour l’essayage !
Catherine qui sait que le patron et le client entendent, est morte de honte.
— Chut ! Parle moins fort, je t’en prie !
— Ne traîne pas, déshabille-toi !
Catherine avale un sanglot et commence à se dévêtir. Volontairement, je laisse le rideau entrouvert, sachant que les clients de passage devant la cabine peuvent la voir entièrement grâce au miroir. Elle retire son chemisier puis son pantalon, elle est en slip et en soutien-gorge quand le patron revient. Il regarde dans la cabine par le rideau entrouvert. Catherine hésite puis retire son soutien-gorge puis son slip ; pudiquement, elle cache ses seins et son sexe avec ses mains. Le patron entre dans la cabine…
— Excusez-moi, je vais vérifier votre taille de soutien-gorge. Montrez-moi vos seins, je vous prie. Ne soyez pas honteuse : j’ai l’habitude, vous savez !
Catherine retire ses mains. L’homme, sans hésitation, lui soupèse les seins d’un geste très professionnel.
— Oui, effectivement : 95 bonnets E.
Puis il repart dans les rayons. L’homme qui attend devant la cabine d’à côté jette un œil, et peut voir mon épouse toute nue. Le patron revient ; sans gêne, il entre dans la cabine, et fait essayer plusieurs tenues à mon épouse. Voyant que je suis consentant, il n’hésite pas à ajuster les tenues sur son corps. À plusieurs reprises, il lui palpe même l’entrecuisse.
Je choisis quatre tenues complètes et suis le patron vers le comptoir pour régler, pendant que Catherine se rhabille. Sa pudeur a été mise à rude épreuve. Quand le patron n’indique le prix, je me dis qu’il doit être possible d’obtenir une petite réduction. Je me penche vers le patron et lui parle à l’oreille.
— Si mon épouse vous suce, est-il possible d’avoir une petite remise ?
L’homme regarde autour de lui, il n’y a pas beaucoup de clients dans la boutique, sa femme discute avec une fidèle cliente.
— Oui, avec plaisir. Je peux vous faire 35 %.
— D’accord : mon épouse commence un stage de soumission, cela sera une bonne épreuve pour elle…
— C’est parfait, d’autant que mon épouse me refuse cette pratique. Parfois, une petite stagiaire accepte pour ce faire un peu d’argent de poche… Allez dans la réserve après les cabines, j’arrive.
Je rejoins Catherine qui termine de mettre ses chaussures, et je lui explique le marché…
— Mais… Mais tu es fou : jamais je ne ferais cela à un inconnu, jamais je…
— Tu préfères que j’en parle à Maître Pascal et à Monsieur Morlaix ? Tu sais que tu dois être obéissante !
Je la prends par le bras et la conduis dans la réserve encombrée de cartons et diverses marchandises. Le gros homme ne tarde pas à nous rejoindre, il respire fort et sue… Il s’approche de Catherine et directement, lui palpe les seins par-dessus le chemisier.
— Alors comme cela tu vas me sucer ? LIRE LA SUITE