20- Pierre, Agnès et les autres

Chapitre 20 - Apprentissage de l’exhibitionnisme
dimanche 11 avril 2010
par  herpin
popularité : 1%
1 vote

Des quatre participants à ces travaux-pratiques d’un genre un peu spécial, Pierre fut le premier à reprendre ses esprits. S’adressant à Muriel, il tint à la complimenter.

— Je tiens à te féliciter, car tu t ‘es très bien comportée ; tu as passé ces premières épreuves avec succès. Mais tu dois savoir dès à présent que tu devras pouvoir reproduire en public les caresses et les jeux que tu viens de découvrir ; cela sera certainement très humiliant pour toi, mais nul doute que tu ne finisses par y puiser une source d’excitation nouvelle. Par ailleurs tu ne saurais prétendre devenir une parfaite soumise sans une pratique régulière des châtiments corporels. Aussi je propose que dès cet après-midi nous nous mettions à la recherche des objets les plus à même de te faire découvrir les différentes facettes de cette discipline. Tu connais déjà la fessée, mais il reste à apprécier les caresses des instruments de flagellation les plus courants. Je connais un sex-shop bien approvisionné dans ce genre d’article, et je propose que nous allions y effectuer quelques achats après déjeuner.

— Je te fais confiance ; j’espère seulement que tu ne seras pas trop sévère pour cette première fois ; je n’ai encore jamais été fouettée, ni même cinglée avec le moindre martinet.

— Tu n’as rien à craindre ; nous serons très patients et tu ne goûteras à la flagellation que progressivement. Du reste, il me semble que nous avions promis une punition à Sandrine, et tu n’auras qu’à l’observer ; je suis bien certain que tu voudras l’imiter.

— Super, s’exclama l’intéressée, j’avais peur que vous n’oubliiez votre promesse de me tanner la peau des fesses.

— Voilà qui est donc arrangé ; un coup de téléphone à donner et nous pourrons nous préparer.

****

Quelques heures plus tard, nos quatre amis se retrouvèrent dans la rue, se dirigeant vers la boutique où Agnès et Pierre avaient l’habitude d’acheter leurs gadgets. En cours de route, le jeune homme leur désigna un café, les invitant à s’y arrêter.

— J’ai téléphoné à Max, le gérant du sex-shop, et il ne nous attend pas avant une heure ; je pense que nous pourrions profiter de cette terrasse pour nous reposer un moment ; il n’y a pas trop de monde et nous serons tranquilles.

Guidant ses compagnes, il gagna un angle assez protégé des regards qui lui paraissait propice à la poursuite de ses desseins. S’étant assis à une table face à Sandrine, il invita ses deux autres compagnes à prendre place à leurs côtés.

— Muriel, ma chérie, tu n’as pas oublié ce que je t’ai dit ce matin, à savoir que l’on pourrait te demander de te livrer en public à des exhibitions habituellement réservées à l’intimité.

— Tu ne veux quand même pas que nous fassions l’amour ici ?

— Non bien sur…encore que cela ne manquerait pas de piquant. Mais pour cette première fois, tu vas seulement imiter Sandrine, et commencer par ôter ta petite culotte. Tu as remarqué qu’Agnès vous a demandé à toutes deux de revêtir des robes évasées laissant libres vos jambes ; vous n’allez donc avoir aucune difficulté pour procéder à ce déshabillage. Vous allez vous lever, et vous rasseoir en remontant votre robe derrière vos reins.

Naturellement troublée à l’idée d’avoir à se dévêtir ainsi en public, Muriel était très hésitante sur la conduite à tenir ; toutefois en voyant sa camarde se lever, et sans la moindre gêne, relever sa robe au-dessus de ses reins avant de se rasseoir, elle ne put que l’imiter. Saisissant le bas de son vêtement, elle le fit remonter rapidement le long de ses cuisses, avant de reprendre position sur son siège, frissonnante en sentant sa chair désormais nue s’écraser sur le fauteuil. Elle ne put s’empêcher de rougir en réalisant ce qu’elle venait de faire, et surtout en entendant Pierre les inciter à poursuivre leur exhibition.

— Voilà, c’est parfait ; maintenant saisissez votre slip et faites le descendre le long de vos cuisses. Dégagez vos jambes et déposez votre lingerie sur la table bien en évidence. Vous pouvez rabattre votre robe sur le dessus de vos cuisses. C’est parfait ; maintenant, Muriel, lorsque le serveur viendra prendre notre commande, je veux que tu t’exhibe devant lui ; je veux qu’il voit ta petite chatte ; débrouille-toi comme tu veux ; aie un peu d’imagination.

— Je suppose que je ne peux pas refuser…

— Tu as demandé à apprendre la docilité, sache donc que le premier devoir d’une soumise est d’obéir à ses maîtres, quel que soit l’ordre et le lieu.

— C’est bon, je le ferai…pour Sandrine…

Après avoir réfléchi quelques instants, elle se laissa glisser jusqu’à avoir les fesses au bord du siège, veillant à ce que sa robe sagement rabattue sur ses cuisses cache le fait qu’elle avait le cul nu. Ensuite, elle glissa un doigt entre ses lèvres, le suçant lentement, comme si elle se livrait à une fellation. Le garçon survenant à ce moment là ne pouvait manquer de remarquer ce manège, d’autant que la vicieuse adolescente lui adressa un sourire enjôleur tout en le fixant de façon provocante. LIRE LA SUITE

PRECEDENT ........................................................ SUITE



ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

ALLOPASS OU PAYPAL
OFFRE DECOUVERTE (1 jours)
ABONNEMENT 7 JOURS
ABONNEMENT 15 JOURS
ABONNEMENT 1 MOIS





ABONNEMENT 3 MOIS





ABONNEMENT 6 MOIS





SE DESABONNER


Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)


Commentaires