La soeur de Francine 4

Chapitre 4 (et fin)
lundi 25 janvier 2010
par  alab
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Francine.

Mado a pali quand Henri, un peu fébrile, lui annonce….

— Allons, viens….J’ai hâte de te décorer….

Le visage fermé, Mado fait un geste de dénégation, résiste quand il la prend par le bras…

— Je ne veux pas….Non, non….

Sans savoir ou avoir oublié que sa résistance ne fait qu’accroître le désir d’Henri….

Il la pousse devant lui en lui claquant les fesses.

Attachée sur la table de gynéco, elle se débat encore vainement…Je suis derrière elle, la câlinant en lui murmurant des mots doux….Je ne peux rien faire d’autre !

Mais les anneaux sont sur son ventre et la fine perceuse ronfle déjà, perce l’un après l’autre ses tétons étirés…Elle a à peine le temps de crier : les anneaux sont cliqués, le gel antiseptique vaporisé…

Elle se tend, en apnée, quand son clito est étiré par la pince…Cette fois son cri est animal : je me souviens…La douleur est atroce…

— Là !....C’est fini ma chérie….

Je lèche les grosses larmes qui ruissellent sur son visage….Elle titube en se levant…Je l’aide, elle se regarde dans la glace en secouant la tête…. s’arrache de mes bras, s’éloigne de nous, disparaît….

Nullement gêné, Henri sourit, fier de lui, arborant une érection impressionnante…D’un geste impérieux, il me désigne le sol et sa bite….C’est dans ma bouche qu’il se vide en s’en servant comme d’un vide couille…Sa main bloque ma tête et il me pilonne la bouche à grands coups de reins…Humiliée, je l’ai bu, sans plaisir…Je rejoins Mado qui sanglote sur son lit, la cajole…Elle me regarde en reniflant….

— Tu as mal ?

— Oui…Non…Tu sais…Maintenant que c’est fait, je….Je le déteste…Je voudrais….

Je la garde dans mes bras jusqu’à ce qu’elle s’endorme…..Après avoir soulagé sa douleur et lui avoir expliqué les soins à prendre.

Jean

Nous sommes partis….Silencieuse, Francine est songeuse à mes cotés….Je soupire….

— Je me suis engueulé avec Henri, chérie…..

— Ça ne m’étonne pas….

— Tu as senti, toi aussi ?

— Oui, évidemment….Comment peut-il être aussi dur, aussi bête…Alors que Mado est si sensible et l’aime tant….Aucune psychologie !!!

— Et il veut la donner déjà…Il m’a demandé de l’aider et j’ai refusé, bien sur…Elle n’est pas prête….

— Quel imbécile !...Ce n’est pas toi qui aurait commis une erreur pareille, mon Maître adoré….Mais tu me donneras encore bientôt, non ?...

— Oui…Mais ce sera très spécial, cette fois….

Elle me regarde avec un sourire ambigu…..

J’ai arrêté la voiture dans un chemin forestier…Elle me fixe en souriant….Sans bouger…Je me tourne vers elle…Ma main glisse sous la fourrure, effleure les seins qui tendent le fin pull, les caressant doucement jusqu’à ce qu’ils durcissent….Elle gémit doucement…Ma main descend, pèse sur sa cuisse, glisse sous sa jupe, fait crisser le bas, ses cuisses s’ouvrent….Mon index marque à travers la soie de son slip, le dessin de sa fente….Elle soupire, glisse sur le siège….

— Je t’aime mon chéri….Je mouille pour toi….

Je suis comme un gamin qui flirte dans une auto….Ecartant le fin tissu, je la branle lentement, buvant sur sa bouche entrouverte son souffle qui devient haletant….Ses yeux s’étrécissent….Son ventre houle et ses cuisses se sont ouvertes….Deux doigts dans son vagin qui clapote ….Son anneau qui me serre…Sa main qui se crispe sur ma nuque et ce cri doux et rauque au moment où elle jouit, ses cuisses tout à coup serrées sur mon poignet…..Sa tête roule sur le dossier, elle exhale un long soupir en se détendant, libérant ma main….Un petit rire….Une moue coquine…Une main douce qui me dégrafe, je ne l’aide pas, excité de ses gestes fébriles pour me libérer….Ma jambe droite nue allongée sur le siège, je m’appuie contre la portière….A genoux sur le tapis de sol, elle me regarde sensuellement, me lèche sans me quitter du regard…Serrant, griffant mes couilles dans sa main….Me suce lentement, profondément….Le silence troublé par les bruits de succion et de salive…Relevée, elle me branle à son tour, souriant des soubresauts de ma bite, cherchant dans mes yeux le moment où….Je me mords les lèvres, je vais….

Et au moment où dans un cri je jouis, sa bouche me coiffe et reçoit les longues giclées de sperme que je ne peux plus contenir….Quelle bouche !!!...Je l’entends déglutir….Elle attend la fin de mes spasmes en me gardant en elle….Je caresse ses cheveux en soupirant…Elle lève les yeux sur moi en m’aspirant encore, joues creusées, se relève… lèche ses jolies lèvres….

— Que c’est bon de se conduire en gamins…rit- elle en se blottissant contre moi…

Francine.

Deux jours ont passé…Je suis inquiète pour Mado : pas de nouvelles, son portable ne répond pas….

Ce n’est qu’une semaine après qu’elle m’appelle….

— Viens me voir Francine….Oui…Chez nous….

Sa voix me fait peur….

Je ne la reconnais pas….Elle frissonne, enveloppée dans son peignoir, des cernes bleuâtres, profonds lui mangent le visage….Je l’accompagne dans la chambre, la couche, ouvre le peignoir, frissonne….Son corps est balafré de traces de coups, je découvre des brûlures, profondes….Je me précipite…Lentement, doucement, je passe la crème apaisante sur les estafilades profondes….C’est fou : ses seins ont saigné…les lèvres de son sexe aussi…Le clito est violet….Quant à ses fesses, je ne les reconnais pas, meurtries à un point inimaginable…. Son dos, ses hanches : partout !!!!

Je reste avec elle ….La bourrant d’antiseptiques, de calmants et de somnifères…

Jean me téléphone….

— Qu’est ce qui se passe ?....Henri est comme un fou…Il cherche Mado partout…

Je lui raconte son état….En lui interdisant de lui parler, de lui dire quoi que ce soit…..

Le téléphone fixe sonne, plusieurs fois….La sonnette aussi…On tambourine à la porte. Ne pas bouger….C’est Henri, sans doute….

Trois jours après, Mado sort enfin de sa léthargie et finit par tout me raconter…..

— J’ai fini par cesser de bouder, tu sais, pour les anneaux…Il a été si gentil avec moi….Puis pendant trois jours, il n’a cessé de me demander si je voulais bien qu’il me donne….Tu sais….elle a un rire sans joie….Rien ne me fait peur….J’ai fini par accepter, par défi….Je ne sais pas où il m’a amenée, mais je ne souhaite ça à personne….Ligotée, écartelée….J’ai tout subi…Des tortures inimaginables…Le feu des cigarettes qu’ils écrasaient sur moi….D’énormes godes…..Pas une seule fois je n’ai eu de plaisir….Je me suis évanouie je ne sais combien de fois….Je ne sais même pas combien d’hommes m’ont déchargé dessus ou dedans !....A un moment, on m’a détachée…Une femme m’a accompagnée dans une salle de bains…Je l’ai suppliée de m’aider à m’enfuir….Elle m’a donné un manteau, un billet, j’ai pris un taxi, et je me suis écroulée sur mon lit….
Heureusement que la clé était à sa place !

— Mais….

— Et je leur ai servi de toilettes aussi….Horrible….Sans cette femme, je me demande ce qui me serait arrivé !!....Quel salaud quand même !...elle a un sanglot sec…Alors que ça aurait pu être si bon !...Ah, si je le tenais…En tous cas c’est bien fini….Tu…tu veux bien rester avec moi encore un peu ?...

— Ma chérie…..Bien sur que oui….. LIRE LA SUITE

Ps : si vous m’y encouragez, je vous raconterais la suite des aventures de Francine.


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Commentaires

Logo de Veronique
vendredi 6 mai 2011 à 08h55 - par  Veronique

Oh oui ! Encore ! Encore ! C’est trop bon !

Logo de l’horloger
lundi 25 janvier 2010 à 07h54 - par  l’horloger

C’est avec empressement que je vous encourage à poursuivre l’écriture d’une histoire sulfureuse.