15- Pierre, Agnès et les autres

Chapitre 15 - Un week-end entre filles
lundi 7 décembre 2009
par  herpin
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A quelques temps de là, Agnès et Pierre se trouvaient dans l’appartement de ce dernier, devisant et échangeant des idées sur leur projet de week-end, lorsque Sandrine, profitant d’un instant de silence, se mêla à la conversation, d’une voix presque timide :

— Puisque vous allez vous absenter, je me demandais si je ne pourrais pas inviter une amie à venir passer ces deux jours avec moi ….. dans l’appartement de Pierre….

— Mais bien sur, tu sais que tu es chez toi, ici. Mais, est ce que nous la connaissons ?

— Il s’agit de Muriel, une ancienne camarade de lycée, que j’ai retrouvée tout à fait par hasard, dernièrement.

— Dis-moi, s’enquit Agnès, ce n’est pas cette petite eurasienne qui paraissait tellement timide ; elle était assez mignonne, il me semble.

— C’est bien elle, à ceci près, c’est qu’elle a grandi. Elle a aujourd’hui 18 ans, et elle est devenue « super canon ». Je t’assure que lorsque je l’ai revue, j’en ai été sidérée. Il a fallu que je me retienne pour ne pas lui sauter dessus, et lui coller la main aux fesses.

— Si je comprends bien, te connaissant, tes projets de week-end cachent des intentions pour le moins lubriques.

— C’est vrai que j’ai bien envie de me la faire cette nana.

— Je vois que ma petite sœur profite bien de mes leçons ; mais dis-moi, pourquoi as-tu besoin de recevoir ton amie chez Pierre, et non chez nous ?

— Vois-tu, lorsque nous étions au lycée, il nous est arrivé souvent de nous retrouver sous la douche, après avoir fait du sport. Je l’observais, et je la voyais fermer les yeux, et passer lentement ses mains sur sa poitrine qui commençait à être bien formée, ainsi que sur son ventre et ses cuisses. Je la devinais haletante, et je suis sure qu’à ce moment là elle avait très envie de se masturber. Lorsque je l’ai revue, je lui ai retrouvé le même air angélique qu’elle avait autrefois, et pourtant je suis certaine qu’elle n’est qu’une vicieuse qui s’ignore. Aussi, si j’arrive à mes fins, je compte bien lui révéler sa nature profonde, même si pour cela, je dois employer la manière forte. Aussi j’ai pensé que les différents accessoires que Pierre possède chez lui me seraient bien utiles pour la soumettre à mes caprices.

— Je vois que tu as tout prévu, dit Pierre, mais si ton amie est telle que tu nous la décris, il pourrait être amusant de la mêler à nos propres jeux.

— Comment cela ?

— Et bien je pense que si nous rentrions, Agnès et moi, plus tôt que prévu, et que l’on vous surprenne en train de vous livrer à des débauches inavouables, il y aurait là matière à vous punir sévèrement pour votre dépravation. S’étant associée à toi dans la licence, ton amie pourrait difficilement refuser de subir les mêmes châtiments que toi, car bien sur nous commencerions par toi, à titre d’exemple. Qu’en penses-tu ?

— Super ! Comme ça, vous aurez un bon motif pour bien faire rougir mes fesses. Je dois dire que ça fait un moment que ni toi ni Agnès, ne m’avez donné la moindre fessée, et je commençais à me demander si vous vous étiez lassés de moi.

— Ne t’inquiètes pas pour cela, je t’assure que nous saurons te persuader que nous prenons toujours autant de plaisir à te faire hurler, que ce soit de plaisir, ou bien de douleur.

— Alors, c’est entendu comme ça, mais laissez-moi quand même un moment seule avec Muriel ; elle me fait vraiment bander cette fille.

Le samedi suivant, ignorant tout du piège vers lequel elle se dirigeait, Muriel se présenta à l’adresse qui lui avait été indiquée. A son coup de sonnette, Sandrine vint ouvrir la porte, restant saisie à la vue de son amie. De longs cheveux couleur de jais encadrant un fin visage, des yeux en amandes surmontés de cils dont les battements évoquaient des envols de papillons, deux petits seins haut perchés pointant effrontément sous un fin corsage de satin largement entrouvert, la croupe moulée dans une jupe longue et étroite, échancrée sur le côté jusqu’à mi-cuisse, la belle eurasienne présentait un tableau qui ne pouvait qu’exciter les instincts saphiques de la jeune fille. Se contentant à regret d’un simple baiser sur les joues, elle fit pénétrer sa camarade dans l’appartement, la guidant jusqu’à la chambre qui lui avait été réservée.

— Je te laisse t’installer ; viens me retrouver ensuite sur la terrasse, nous pourrons profiter du soleil.

Il ne fallut que quelques minutes à la jeune fille pour ranger les quelques effets qu’elle avait apportés pour le week-end, et pour troquer sa jupe longue pour un petit short, et son chemisier pour un léger tee-shirt. Une pirouette devant le miroir, et elle rejoignait son amie qu’elle découvrit nonchalamment étendue sur un fauteuil « bain de soleil », seulement vêtue d’un minuscule bikini qui ne dissimulait en rien son adorable corps de jouvencelle. Cette vision lui fit regretter de ne pas avoir été plus prévoyante.

— Je suis désolée ; je n’ai pas pensé à prendre de maillot de bain.

Sandrine sauta immédiatement sur l’occasion qui lui était ainsi offerte de provoquer son amie.

— Qu’à cela ne tienne ; tu n’as pas besoin de maillot ; après tout, nous sommes entre filles. Tu n’as qu’à faire comme moi.

Et sans plus attendre, passant une main dans son dos, elle fit tomber le soutien-gorge, révélant deux seins ravissants, en forme de poire, dont les bourgeons pointaient de façon arrogante. Ne laissant pas à Muriel le temps de protester, elle se contorsionna, de façon à faire glisser le long de ses cuisses le petit slip qui vint bientôt rejoindre le reste de la parure. Voyant l’hésitation de sa camarade, elle ajouta :

— Tu oublies que je t’ai déjà vue sous la douche, quand nous étions au lycée ; je ne pense pas que tu sois très différente aujourd’hui.

Vaincue par cette logique, et il le lui fallait bien se l’avouer, troublée par la nudité que Sandrine lui exposait avec tant de naturel, Muriel dut s’exécuter. En quelques gestes rapides, elle se débarrassa à son tour de ses vêtements, pour rester debout, un peu gênée, un bras replié sur sa poitrine, tandis qu’elle tentait de dissimuler d’une main pudique la toison qui ornait son pubis. Devant tant d’innocence, Sandrine ne put s’empêcher de sourire, tout en songeant qu’il s’agissait là d’un beau fruit dans lequel elle rêvait de mordre. LIRE LA SUITE

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