5. La première fois
Becky va et vient le reste du week-end. À part pour une séance occasionnelle de taquinerie, elle m’ignore pratiquement. Becky adore me taquiner au point que je veux jouir. Puis elle recule et m’ignore. Le dimanche soir, elle me fait l’amener à deux orgasmes. Ses règles ont commencé et son flux est lourd les premiers jours. Inutile de dire que cela ne l’empêche pas d’exiger ma servitude orale. Je me suis habitué au goût et j’aime qu’elle m’humilie de cette manière. Avant de se retirer dimanche soir, elle me prépare à ce qui va se passer dans la semaine qui vient.
« Je serai très occupée cette semaine à recevoir un nouveau client. Tu gardes cet endroit impeccable, au cas où je déciderais de le ramener à la maison un soir. »
Il devient évident que Becky veut élargir ses horizons. J’imaginais qu’elle va coucher avec le nouveau client. Cependant, j’aime Becky et je veux la servir, alors je sais que je dois endurer les conséquences de ses désirs.
Le lundi soir est très éprouvant pour moi. Becky me fait lui manger sa chatte pendant qu’elle dîne. Parfois, elle aime que je la lèche sous la table pendant de longues périodes. C’est une position très désagréable pour moi et j’essaie de ne pas me plaindre. Elle me fait changer son tampon trois fois mercredi soir. Elle le fait de la manière la plus humiliante, généralement lorsqu’elle est assise sur notre pot spécial. Elle devient très difficile et m’insulte toute la soirée. Je dois aussi lui donner de la tête avant qu’elle me fasse la servir oralement, avant qu’elle ne s’endorme.
À la fin de la semaine, Becky est de meilleure humeur lors de son retour à la maison après avoir travaillé tard, ce qu’elle ne fait jamais le vendredi. Mais il est évident que son esprit est tourné vers le nouveau client.
« John est peut-être prêt à dépenser beaucoup d’argent avec mon entreprise, et je ne veux pas le perdre. C’est très important pour moi, Denny, donc je vais probablement passer le week-end avec lui. »
Je me sens immédiatement blessé par ce qu’elle dit, mais pas choqué. Je me demande si elle a déjà des relations sexuelles avec lui. C’est peut-être pour cela qu’elle rentre si tard. Je ressens de la jalousie, mais je l’aime toujours. Elle ne semble même pas inquiète que je le sache. C’est comme si j’étais l’une de ses amies.
Elle finit par s’approcher de moi et pose sa main sur mon épaule.
« Denny, je me dis que tu as peut-être du mal avec ça. Tu dois comprendre que je t’aime toujours. »
Elle s’interrompt un instant.
« Mais j’ai ma carrière et j’ai d’autres intérêts. »
Elle se dirige vers le bar et se verse un cognac.
« J’ai un ami qui peut t’aider à comprendre. Denny, l’un des avocats du cabinet veut t’utiliser ce week-end. »
J’ai soudain une sensation de malaise au creux de mon estomac. Elle n’a tout de même pas parlé de moi à quelqu’un d’autre.
« Qui… Qui… Qui est-ce Madame ? »
Je peux à peine faire sortir les mots et elle peut dire que je suis bouleversé.
« Maintenant Denny, tu sais que je ne ferais rien pour… te contrarier, à moins que ce ne soit important pour moi. Et c’est important pour moi. Tu te souviens d’Hilda, n’est-ce pas ? »
Je me dis… Hilda. Hilda n’a jamais semblé s’intéresser aux hommes.
« Oui Madame, je me souviens. Est-ce qu’elle… est-elle au courant… pour… pour moi ? »
Becky me regarde droit dans les yeux.
« Denny, je suis en charge de notre relation. Et je parlerai de toi à qui je veux, ou de tout ce que je décide de partager avec lui ou elle. Hilda est une de mes bonnes amies et nous nous sommes confiées sur beaucoup de choses au fil des ans. Et elle a fait de même avec moi. Je lui dois beaucoup de faveurs. »
Au ton de sa voix, je peux dire que mon destin est scellé. Je vais aller à l’appartement d’Hilda.
« Comme tu le sais, Hilda ne s’est jamais mariée, mais elle est sortie avec beaucoup d’hommes. Elle connaît très bien les hommes et ce qu’ils peuvent être… enfin, ce à quoi ils peuvent servir. Elle n’est pas intéressée par le développement d’une relation à long terme, avec aucun homme. Tu vas répondre à ses besoins de manière tout à fait adéquate. De plus, tu n’auras rien à faire ici ce week-end. »
Elle s’approche de moi à nouveau, pose ses mains sur mes épaules et m’embrasse sur le front.
« Denny, elle peut t’aider. Elle peut t’aider à mieux comprendre notre relation. Je grandis, Denny, et tu dois apprendre à grandir avec moi. »
Elle m’embrasse à nouveau.
« Denny, il se fait tard et je suis prête pour le lit. Va le préparer pour moi, et prépare-toi comme d’habitude. Je te veux. »
Je prépare rapidement son lit et prends ma place à genoux à côté du lit. Je sens l’agitation dans mes couilles et je sais que je vais devoir lui manger la chatte jusqu’à ce qu’elle jouisse. Ensuite, peut-être qu’elle me laissera jouir. LIRE LA SUITE