1. Comment tout a commencé

C’est un samedi matin typique. Je suis à genoux à côté du lit en attendant que ma femme dominante se réveille. Avec ses pieds dans mes mains et mes lèvres rendant hommage à ses orteils délicatement peints, je sens déjà l’agitation dans mes couilles. L’odeur de ses pieds non lavés m’excite toujours. Elle me renvoie soudain d’un coup de pied et s’étire dans le but de réveiller ses muscles. Après quelques instants, elle ouvre les yeux, se redresse sur ses mains et laisse ses pieds pendre sur le côté du lit.
« N’arrête pas Denny. Je ne t’ai pas dit d’arrêter. »
Je m’allonge presque pour pouvoir continuer à rendre hommage à ses beaux pieds.

Laissez-moi me souvenir et vous raconter comment j’en suis arrivé là. Peu de temps après notre mariage, ma femme Becky a découvert mes penchants pour la soumission. Je les avais cachés pendant nos années de fréquentation, mais je l’ai lentement informée après notre mariage. J’espérais qu’elle comprendrait si je les révélais progressivement. Je fus surpris : elle a rapidement pris le rôle de dominant dans notre mariage. En moins d’un an, elle me disait tout le temps quoi faire. Elle m’a fait déménager dans la chambre d’amis et elle a le lit king size pour elle toute seule, sauf quand… eh bien, je vous l’expliquerai plus tard.
Au bout de deux ans, elle contrôlait tous mes besoins sexuels, me forçait à jouer oralement sur elle tous les jours ; oui, presque tous les jours, quelle que soit la période du mois. Ce fut difficile au début, mais j’ai vite trouvé du réconfort dans ses manières de diriger. J’aimais ça. En fait, j’en avais envie. Plus elle me dominait, plus j’en avais envie. Cependant, comme la plupart des choses, une fois que l’on atteint un certain plateau, on veut aller plus haut ; et plus haut, elle y est allée.
Elle a commencé à contrôler mes orgasmes. Elle ne me permettait pas de me masturber à moins d’être présente. Au début, je trichais et me masturbais. Puis j’ai commencé à me sentir coupable. Son contrôle sur moi a grandi. C’est difficile à expliquer, mais c’était comme si elle me regardait tout le temps. Elle était dans ma tête. J’ai commencé à penser qu’elle pouvait lire toutes mes pensées ; ou peut-être que je voulais juste ressentir ça. Bientôt, j’ai complètement arrêté de me masturber jusqu’à l’orgasme, à moins qu’elle ne me l’ordonne. Je ne voulais plus de libération sexuelle à moins qu’elle ne le veuille. De plus, elle a commencé à me faire passer plus de temps entre les orgasmes.
Au début, c’était une semaine. Puis elle a augmenté à dix jours, puis deux semaines. Pendant ce temps, elle m’utilisait pour la faire jouir, parfois tous les soirs, voire deux ou trois fois certaines nuits. J’étais une boule de nerfs sexuels. Un soir, j’ai eu le courage de lui demander. En fait, je l’ai suppliée de me laisser me masturber.
« Denny, qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi fais-tu ça ? Tes supplications ne me convaincront pas que tu le mérites.
— Mais chérie, ça fait plus de deux semaines cette fois.
— Je sais, Denny, mais tu n’es pas prêt. Tu sais que je te laisserai jouir quand le moment sera venu. Et ce n’est pas le moment. »
Becky s’allonge sur le lit comme elle le fait habituellement quand elle veut que je lui fasse plaisir oralement.
« Maintenant, viens ici et fais-moi du bien Denny. »
Je me suis placé à contrecœur entre ses jambes. Il ne fallut pas longtemps à son parfum capiteux pour remplir mes narines. Comme c’est typique de Becky, elle n’est pas lavée et ses poils pubiens sont pleins de son parfum. Oui, son riche parfum féminin. Cela me rend fou et elle le sait.
Comme je l’ai dit, la plupart du temps, lorsque je lui donne satisfaction, c’est oralement. J’ai toujours le goût de sa chatte dans mon nez et ma bouche. J’ai aussi appris à lui lécher le trou du cul. Elle me fait toujours faire ça avant de prendre une douche. Je pense qu’elle aime m’humilier le plus possible, et c’est une bonne façon de le faire. Même si, secrètement, je l’aime autant comme ça parce que c’est tellement naturel et musqué. Parfois, elle me fait la lécher pendant une heure pendant qu’elle regarde la télévision ou lit un livre. Elle n’a vraiment plus besoin d’un bain après ça. Elle aime me voir en culotte. Elle maintient mes poils pubiens rasés ou en forme de V ou de cœur, peu importe, comme ça lui plait.
Une autre chose que Becky fait régulièrement est de m’utiliser comme son « pot » comme elle m’appelle. Elle m’a fait lui fabriquer une toilette spéciale pour qu’elle puisse pisser sur mon visage pendant qu’elle est confortablement assise. J’ai fait l’erreur de lui montrer celle que j’avais trouvée sur Internet. Elle m’en a fait construire une comme ça. Elle a un siège de toilette ordinaire, mais la partie cuvette est une boîte en bois avec une doublure en plastique. Elle est un peu plus basse qu’une cuvette ordinaire et elle a un grand trou à l’avant, assez grand pour que je puisse insérer ma tête. Je dois le garder dans ma chambre. C’est la seule raison pour laquelle elle entre dans ma chambre. Quand je la vois y aller, je sais quoi faire. Elle m’a appris à exécuter ce rituel important. Je dois d’abord me mettre à genoux. Ensuite, je dois embrasser le siège de la toilette. Puis, je dois baisser sa culotte et embrasser sa chatte et son cul. Une fois assise, elle m’ordonne de me préparer. C’est mon indice pour m’allonger et passer ma tête à travers l’ouverture. Elle m’oblige à rester immobile et à recevoir tout ce qu’elle propose. Il y a quelques trous sur le côté pour que la lumière passe, donc je peux voir exactement ce qui se passe.
Parfois, elle reste assise là pendant longtemps pour me taquiner, car mon visage n’est qu’à quelques centimètres de son sexe. En raison de la zone confinée, son parfum devient beaucoup plus fort que la normale, et je deviens très excité. Elle peut surveiller mon excitation facilement, tout simplement en regardant mon érection. De temps en temps, elle me tourmente en frappant mon érection avec une sangle ou une latte en bois que je dois toujours avoir à proximité pour qu’elle puisse s’en servir. Si le temps le permet, elle peut m’utiliser de cette manière pendant longtemps, jusqu’à une demi-heure. Elle me laisse la sentir jusqu’à ce que j’aie une épouvantable érection. Ensuite, elle va punir mon pénis jusqu’à ce que mon érection se calme. Puis elle recommence tout le processus. Parfois, elle me fait pipi dessus tout de suite, puis me maintient allongé là, avec sa pisse partout sur mon visage et mes cheveux. Elle utilise également le pot lorsqu’elle a ses règles. De nombreuses fois, je dois m’allonger là avec un tampon ou un protège-culotte posé sur mon visage.
Avec le temps, elle a prolongé mes périodes d’abstinence jusqu’à trois semaines. Je la supplie de me permettre de me masturber, mais en général, elle ne le permet pas. Je ne sais jamais quand cela va se produire, c’est toujours une surprise. De temps en temps, je relie cela à quelque chose que j’ai fait de spécial pour elle. Cependant, quand j’essaie à nouveau, elle ne m’autorise pas de soulagement. Une fois, je suis allé chez le fleuriste et j’ai acheté deux douzaines de roses. Je les ai utilisées pour répandre un chemin de pédales depuis le garage, où elle gare la nouvelle Mercedes que je lui ai achetée, jusqu’à la chambre. J’ai allumé des bougies dans toute la maison, je lui ai préparé un très bon repas et j’ai débouché son vin préféré. J’étais tellement content quand elle a semblé apprécier la soirée. Finalement, je l’ai amenée trois fois à l’orgasme. Ma bite était si dure et j’étais tellement excitée. Ce soir-là, cela faisait trois semaines. J’étais certain qu’elle me permettrait de jouir. LIRE LA SUITE

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