Je passe les vingt minutes suivantes à nettoyer le gâchis que j’ai fait. Je suis à quatre pattes, en train de frotter le sol avec une brosse et un seau d’eau chaude contenant un désinfectant. Pendant que je frotte le sol, je les entends raconter leurs versions de moi en train de me pisser dessus.
Puis on me dit d’aller prendre une douche et les deux femmes blondes se portent volontaires pour me surveiller et s’assurer que je ne me masturbe pas sous la douche.
« La petite salope ne sait pas garder ses mains ailleurs que sur elle, dit Kelly. »
Je sais que la Maîtresse a compris que j’ai joui en me mouillant, mais je ne pense pas que d’autres l’aient même soupçonné. Je suis sûr qu’ils ont pensé que mes doux gémissements venaient simplement de mon embarras. Mais le petit orgasme m’a laissée plus désireuse qu’avant de jouir correctement.
Les deux femmes me regardent à travers la vapeur pendant que je me douche. Elles s’assurent que mes mains ne restent pas trop longtemps entre mes jambes. Je me sèche tandis qu’elles regardent, en faisant de petits commentaires de temps en temps. Puis l’une des femmes blondes attrape ma serviette et me l’arrache. Je suis là, avec mes mains à mes côtés pendant qu’elles discutent de mon corps. Elles apprécient mes gros seins, avec mes longs mamelons tendus, et mon cul est bien aussi. Mais elles décident que ma chatte a besoin d’attentions. Elles me font fait allonger sur le sol et enduisent ma chatte de crème à raser puis, chacune avec un rasoir, elles se mettent à me raser la chatte.
Alors que les rasoirs passent sur mon sexe, elles ne cessent pas de dire :
« Interdiction de jouir, petite salope ! »
Je gémis bruyamment lorsqu’elles rasent les lèvres de ma chatte. Et à nouveau quand elles s’occupent de la zone autour de mon clitoris. Je remue plusieurs fois les hanches et grogne comme un animal, mais je ne jouis pas.
Quand elles ont fini, ma chatte est imberbe, tout comme celle de Kelly. Ça fait paraître mon clitoris encore plus gros lorsqu’il sort entre mes lèvres.
Elles m’emmènent dans la chambre dans laquelle j’étais plus tôt dans l’après-midi. Un uniforme propre de bonne, soutien-gorge, bas : tout attend sur le lit. Lorsque je me maquille, elles me disent d’en mettre plus :
« Les salopes sont très maquillées.
— Les salopes mettent beaucoup de rouge à lèvres. »
Et tout à l’avenant.
Elles veulent que je ressemble à la salope bon marché que je suis, et moi aussi. Elles me ramènent dans le salon et m’ordonnent de me placer sur la table à café.
« Regardez, tout le monde : nous avons aidé la petite salope à faire quelques améliorations. »
Elles me disent de remonter ma robe pour que tout le monde puisse voir. Elles m’avaient dit de ne pas mettre de culotte :
« Les salopes ne portent pas de culotte. »
En tout cas, pas une salope pas chère comme moi. Chacun à son tour vient inspecter ma chatte chauve, en passant ses doigts dessus. Tous sauf Jacqueline.
« Je ne toucherai pas la sale chatte de cette petite salope ! » dit-elle.
La Maîtresse est très contente, elle caresse même très doucement mon clitoris une fois.
Mon mari regarde ma chatte chauve puis se détourne sans être impressionné par ce qu’il a vu. En l’embrassant sur la joue et en passant sa main sur sa robe, il dit :
« Je préfère de loin ta douce petite chatte, Kelly. »
Je suis debout sur la table, soulevant ma robe pour qu’ils puissent tous voir ma chatte. Ma chatte fraîchement rasée. La pièce devient soudain silencieuse. Puis j’entends la voix de ma Maîtresse :
« Regarde-toi, Lynne. Debout, là, en train d’exhiber ta petite chatte mouillée. Quelle sorte de femme es-tu, Lynne ? »
Je me tourne pour lui faire face, je soulève ma robe plus haut, j’ouvre plus largement mes jambes, et je dis fièrement :
« Je suis une salope, Maîtresse. Je suis votre salope.
— Oui, tu l’es. »
Elle me fait signe de tourner lentement sur moi-même pour que tout le monde puisse avoir un autre regard sur moi, sur la salope. Quand ils ont fini de m’inspecter et de discuter de ma chatte, je descends de la table basse et leur sers quelques boissons supplémentaires. Quelqu’un diminue les lumières, et la voix sensuelle de Kate Ceberano se répand dans la pièce depuis des haut-parleurs quelque part dans le plafond.
Les quatre couples commencent à s’embrasser et à se toucher mutuellement. Bientôt les bruits des activités sexuelles remplissent la pièce. Kelly et Jacqueline se sont arraché mutuellement leurs vêtements et sont en 69. Elles se lèchent fébrilement l’une l’autre.
« Où est la petite salope ? Crie Jacqueline.
— Je suis là, Mademoiselle, dis-je sans réfléchir, alors que je suis à côté d’elles. »
Elle est au-dessus. Son beau cul nu se dresse en l’air tandis qu’elle baise le visage de Kelly. Elle tourne la tête pour me regarder, son visage empli de passion, et dit en haletant :
« Mets-toi derrière moi petite salope. Lèche-moi les fesses, et quand je commence à jouir, colle ta sale petite langue dans mon trou du cul.
— Oui, Mademoiselle, dis-je avec empressement. »
Et je me positionne derrière elle. Elle m’accorde enfin une certaine attention, enfin elle me trouve une utilité. Cela n’est peut-être que mettre lui ma langue dans le cul, mais au moins, il y a quelque chose que je peux faire pour lui plaire.
Je lèche la peau douce de son cul. Elle et Kelly se baisent mutuellement le visage, et se lèchent la chatte plus vite à présent. Elles veulent jouir ensemble.
« Je suis prête, hurle Kelly, je suis prête à jouir !
— Attends Kelly, crie frénétiquement Jacqueline. »
Sa tête se tourne et nos yeux se croisent sur le dessus de son joli cul.
« Lèche l’extérieur de mon trou du cul, salope ! Me crie-t-elle à travers ses dents serrées. »
Elle gémit bruyamment lorsque ma langue danse sur son trou du cul. Kelly crie toujours qu’elle est prête à jouir.
« Es-tu prête, Jackie… es-tu prête à jouir avec moi ? Halète Kelly désespérément.
— Lèche mon trou du cul, sale petite salope, me crie Jacqueline. »
Soudain, je sens son corps se tendre, elle va jouir. Elle hurle :
« Maintenant, Kelly ! »
Je glisse ma langue aussi loin que possible dans son cul. Chacune crie le nom de l’autre, et Jacqueline appelle la salope à lui lécher le trou du cul lorsqu’elles explosent.
Lorsque l’intensité diminue, Jacqueline tend la main derrière elle et me repousse hors du canapé ; je tombe par terre. Je regarde Jacqueline et Kelly s’enlacer et s’embrasser tendrement, profitant de la rémanence.
« Viens ici petite salope ! »