Deuxième épreuve

jeudi 19 novembre 2009
par  nathykara
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Depuis mon agression deux jours se sont passés, pas de manifestations de mon voisin, cependant chaque soir la peur au ventre je rentrais chez moi, me transformais en fille et redoutais sa visite.

Le vendredi soir en prenant mon courrier je remarquais une enveloppe kraft vierge de toute adresse une fois chez moi je l’ouvris avec empressement, que des photos de moi en femme et même une en gros plan avec mon plug anal.

Je rangeais tout et filais à la salle de bains me préparer, cette enveloppe me signalait sa proche venue, c’était un rappel à l’ordre, je m’empressai de me rendre fille.

Mon téléphone sonne :

« Tire tes rideaux et marche dans la pièce que je te voie mieux. »

Je m’exécute .

Lève ta jambe que je voie tes chaussures, …….. mets tes escarpins à boucle, change toi je te veux en mini-jupe, la noir en cuir et juste un top bretelles et ton soutien seins nus, pas de string ni culotte, tu peux garder tes bas. Tu as dix minutes pour te changer et cinq pour déverrouiller ta porte et te positionner à quatre pattes dans l’entrée jambes écartées et la tête entre tes mains, lubrifie toi si tu ne veux pas avoir mal.

Il a raccroché, je me précipite modifie ma tenue, lubrifie copieusement mon anus car j’ai aucun doute sur ce qui va se passer, file dans l’entrée déverrouille la porte et me positionne, je me vois dans le miroir de l’entrée dans une position obscène, ma mini remonte sur mes hanches, ma peau apparaît au-dessus des jarretières et le bas de mes fesses sont bien accessibles.

La porte s’ouvre sans bruit, un flash, il me prend en photos le salaud.

— Souvenir, souvenir.

Je sens le courant d’air frais se glisser entre mes jambes, mes pointes de seins durcissent, j’ai un frisson d’angoisse la porte est toujours ouverte, il se positionne entre mes jambes et je sens son gland à l’entrée de mon anus, il pousse d’un coup, je retiens mon cri pour ne pas alerter les voisins de palier, il me lime longuement variant les amplitudes et ressortant pour mieux plonger d’un coup.

Je mords mon poing pour ne pas hurler,

— Tu déguste et en silence, c’est bien ma pute, ce serait con que tu appelle tes voisins à assister au spectacle, comme tu as été obéissante je ferme la porte mais à toute incartade je t’enferme dehors les mains attachées dans le dos.

Il se retire et ferme la porte, me relève à genoux et plante son sexe au fond de ma gorge.

— Suce et avale.

Il me viole la bouche plus que je ne le suce et dans un sursaut il m’emplit la bouche de son sperme, je déglutis tant bien que mal essayant de ne rien perdre.

— Bravo ma vide couilles beau boulot, sers moi une bière au salon sans verre. LIRE LA SUITE



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