8. Nadine – L’étude pilote

Nadine vit toutes les expériences dont le docteur Devlin a besoin, et avec autant de nouveaux et beaux « rats de laboratoire » arrivant chaque jour, il décide que Nadine est prête à être utilisée par quelqu’un d’autre. Elle était une jeune femme très fougueuse, grossière et prude, il y a à peine une semaine, quand elle fut été amenée à l’institut, mais l’habile docteur Devlin a vu le changement d’attitude de Nadine en peu de temps.
Nadine a subi une nouvelle procédure expérimentale destinée à améliorer considérablement la libido d’une femme, mais cela a également accru sa sensibilité à la douleur.
Ralph est le concierge de l’institut. Chaque nuit, lorsque les médecins ont terminé leur travail, il fait ses rondes en vidant les poubelles, en époussetant, en nettoyant les planchers et en frottant les toilettes, les éviers et les tables d’examen. Ralph est également responsable de l’entretien des esclaves et de les préparer pour le lendemain. Les sujets expérimentaux féminins doivent être nettoyés et rasés. Elles sont toujours attachées au lavabo et attendent quand il commence sa tournée. Il aime la façon dont elles se débattent et crient quand il les arrose. La façon dont leur corps se tord alors qu’elles essaient d’éviter son éponge et son gant de toilette. Il polit et rase chaque fissure et pli doux. Il apprécie particulièrement Nadine et passe toujours plus de temps à la faire mousser.
Un matin, Ralph vient de terminer son travail quand l’infirmière Marsha s’approche de lui :
« Ralph, viens avec moi. J’ai un petit travail spécial à terminer. »
Même si elle est lesbienne, l’infirmière Marsha a rendu Ralph heureux à plusieurs reprises. Il travaille dur et laisse toujours les salles d’examen en parfait état. Marsha connaît l’importance de la satisfaction au travail. Elle l’a récompensé plusieurs fois en le faisant jouir de ses mains tout en lui permettant de tâter ses gros seins. Ralph a souvent fantasmé sur l’infirmière Marsha, alors quand elle fait signe, il la suit.
Elle ouvre son pantalon et attrape son pénis partiellement dressé, comme un maître conduisant un chien en laisse. Avec un petit sourire méchant, elle dit :
« Par ici, mon grand, j’ai quelque chose de spécial pour toi aujourd’hui. »
Elle ouvre la porte de la chaufferie et Nadine s’y trouve. Elle est debout, largement écartelée. Elle est complètement et totalement sans défense. Elle ne porte qu’un string et un soutien-gorge noirs.
Au début, Ralph pense que l’infirmière Marsha veut que Nadine soit nettoyée ou peut-être rasée.
Il regarde Marsha d’un air interrogateur. Elle tient toujours sa bite en la pompant doucement puis elle hoche la tête en désignant Nadine :
« Elle est tout à toi, Ralph. Elle t’appartient littéralement. Ta propre salope. Tu peux la battre, la baiser, la fouetter, la marquer ; tout ce que tu aimes Ralph. La vilaine petite salope Nadine t’appartient. »
L’infirmière Marsha laisse Ralph debout là, avec son pantalon de travail défait et sa bite de bien vingt-cinq centimètres dressée au garde à vous et dégoulinante. Elle va à Nadia et arrache son string, exposant sa chatte rasée humide. Puis elle s’accroupit et commence à lécher la chatte humide de Nadine. Ralph regarde comme hypnotisé tandis que l’ex-frigide Nadine pousse ses hanches sur la bouche de Marsha, elle gémit légèrement, les yeux roulant en arrière dans sa tête.
« Ahhhh... Merci Maîtresse, merci, chuchote Nadia avec son accent traînant du sud. »
Il est évident par le regard sur son visage que Nadine est déçue quand l’infirmière Marsha se lève et s’éloigne en disant :
« Vas-y Ralph. La douce Nadine aime le sexe maintenant. En raison de sa procédure, cette pute baiserait une bouche d’incendie si on lui en donnait la possibilité. Elle est toute excitée et prête à jouer. »
Marsha recule pour regarder. Ralph fait le tour de Nadine en examinant lentement sous tous les angles sa forme parfaite. Il caresse son cul en forme de cœur. Nadine fléchit et se pousse contre lui. Il enlève son soutien-gorge et serre un sein ferme et réactif. Nadine gémit et frissonne ; ses mamelons deviennent raides et gonflés.
L’infirmière Marsha s’écarte de côté avec l’uniforme ouvert, elle se caresse nonchalamment. C’est alors que Ralph voit la table. Marsha remarque la direction de son regard et lui fait un sourire méchant. Un assortiment de jouets terribles se trouve dessus. Fouets, godes, menottes, pinces, sans parler de nombreux instruments chirurgicaux en acier inoxydable brillant. L’infirmière Marsha pousse la table d’une jambe musclée. Elle s’arrête à côté de Ralph.
Nadine est pleinement attentive et regarde de près Ralph qui déroule le long cuir souple d’un fouet.
Dans les couloirs déserts, des cris retentissent alors que Ralph fait ce qu’il voulait faire depuis si longtemps. Nadine, plus sensible à la douleur à cause de la procédure de Devlin, se tord, s’agite et pousse des cris fous tandis que Ralph perfectionne sa technique de fouet. Elle est bientôt dans une étude de la douleur ; des zébrures rouges sillonnent son corps trempé de sueur. Ralph danse et gémit de joie. L’infirmière Marsha a quitté son uniforme, elle ne porte plus qu’un sourire sadique et sa petite casquette blanche d’infirmière. Une main est occupée sur ses seins tandis que l’autre est enfouie entre ses jambes. Jetant un coup d’œil à la table, Ralph remarque la génératrice sur l’étagère inférieur, avec toutes ses pinces crocodiles et ses fils. LIRE LA SUITE