Tel est pris...
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III.
Sophie qui n’a pas eu l’autorisation de s’habiller, a mangé nue et a fait la vaisselle dans le même habit. Carole a pris beaucoup de plaisir à être servie comme une véritable Maîtresse. Elle a initié ce jeu pour le plaisir de jouer avec sa compagne, mais elle a envie de continuer.
Carole n’oublie pas le reflet aperçu pendant qu’elle fessait Sophie. Elle se demande s’il s’agit d’un voyeur occasionnel ou de Gilles, venu espionner son épouse. Pour le premier, ce serait plus qu’étonnant, quant au second, plus vraisemblable. Elle aura la réponse demain en se renseignant auprès de l’hôtel.
Sophie, la vaisselle achevée, se tourne vers Carole :
– Le programme… Maîtresse ?
L’interpellée sourit, écarte les bras en une claire invitation.
Sophie se précipite, s’assoit sur la cuisse gauche, passe un bras autour du cou de sa compagne qui caresse la croupe encore tiède de la fessée, dit :
– J’ai encore mal à mes fesses… Maîtresse.
Carole accorde un baiser à la joue proche, explique :
– J’aime ton cul, tes seins… Ton corps… Toi… Sache qu’à partir de ce soir, vu que malgré tes dénégations, la fessée t’excite, je claquerai souvent ton cul…
Sophie secoue négativement la tête :
– Non ! Non ! Je ne veux pas rentrer chez moi avec les fesses rouges.
Carole fait se relever sa compagne, gronde :
– Tu n’as pas le choix…
Rapidement, elle la bascule sur le côté, la ceinture, alloue aux deux fesses une rapide série de claques sèches.
Sophie crie, bat des jambes, se relève une fois lâchée, proteste :
– Tu n’as pas le droit… Je…
– Alors, va-t’en…
Sophie reste la bouche ouverte, cesse de frotter son derrière.
Carole insiste :
– Tu peux dormir ici cette nuit… dans la chambre d’amis. Demain, tu partiras dès que tu seras réveillée…
Elle se lève, achève en quittant la pièce :
– Bonne nuit, éteins quand tu sortiras.
Carole n’accorde pas un seul regard à sa compagne.
Une fois dans sa chambre, elle gagne la salle de bain, se lave les dents. Elle se demande si Sophie va venir demander pardon, sinon il est sûr qu’elle regretterait d’avoir poussé le bouchon si loin.
Un peu nerveuse malgré tout, Carole attrape un polar dans sa petite bibliothèque, se dévêt avant de s’allonger nue sur son grand lit.
Elle n’a même pas le temps de lire trois lignes qu’un grattement se fait entendre sur le battant de la porte. Faire attendre la visiteuse serait déplacé :
– Entre !
La mine penaude, les yeux rougis de pleurs, Sophie, toujours nue, pénètre dans la pièce, ferme la porte dans son dos, s’approche du lit alors que Carole ferme son livre, regarde la visiteuse qui prononce :
– Ex… Excuse-moi…
Carole tend le bras, attire la jeune femme, l’embrasse à pleine bouche avant même que leurs corps ne soient collés.
Leur baiser semble durer une éternité, puis Sophie recule son visage, dit :
– Je me… suis… Aaaaaaaye !
Une forte claque plein cul lui arrache ce cri, Carole tranche :
– Pas un mot de plus où je vais encore être obligée de te donner une nouvelle fessée.
Sophie rit, attrape un mouchoir, essuie ses yeux, se mouche, colle sa tête sur l’épaule de sa compagne qui entreprend de la caresser tendrement. La main agace le mamelon érigé d’un sein, l’enserre sans forcer de deux doigts, l’étire, le relâche. L’autre sein a droit aux mêmes attentions manuelles. Puis la main caresse le ventre avant de se fixer en haut des cuisses où d’habiles attouchements font saillir le clitoris. LIRE LA SUITE
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