3 Greta, ma propriété

Chapitre 3 – Introduction aux convives
jeudi 19 novembre 2009
par  kingliart
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Une femme qui devient un objet sexuel et son mari propriétaire. Elle voulait connaître ses limites. Il la transforme en un objet sans volonté, entièrement dévouée et soumise sexuellement. Cette histoire n’est ni réaliste ni sympathique, elle ne recherche pas à comprendre les personnages, les sentiments des soumises ou des dominants mais à provoquer –à vous de juger. Contient des scènes d’humiliation, de dégradation, de philosophie sexiste, de viol et actes sexuels et dégradants sans consentement. Si vous n’aimez rien de tout cela, passez votre chemin

Chapitre 3 – Introduction aux convives

Tous les membres de la communauté étaient présents autour d’une grande table basse, les hommes habillés en grande pompe avec des costumes « presque » normaux. Certains portaient des pantalons étroits mettant en valeur leur membre et leurs bourses. D’autres portaient des smokings très stricts et élégants. L’atmosphère décontractée qui régnait parmi les dominants contrastait avec l’air d’angoisse, de peine ou de peur des trois femmes disposées dans la grande pièce dans des positions étranges et des vêtements impressionnants.

Une femme assise nue et immobile en tailleur sur un grand pouf portait un bandeau sur les yeux et se tenait immobile. Elle n’avait comme seul « habit » que des liens autour des chevilles qui mettaient en valeur ses jambes, fort belles et longues, et ses pieds chaussés de belles bottines à haut talons. La blancheur de sa peau était mise en valeur par ses lèvres écarlates, ses seins maquillés et des traces très visibles de coups de cravache sur les seins et le ventre. Elle portait un bâillon, du même rouge que ses lèvres, étroitement attaché autour du bas du visage. Muette et aveugle elle ne bougeait pas. A un certain moment elle se dépalaça légèrement sur le pouf et ceci sembla réveiller son gardien qui lui asséna un petit coup sec de sa cravache sur les bouts de seins, la faisant sursauter de douleur

Une autre femme était en robe de soirée taillée dans un tissu blanc chatoyant et de longs gants blancs. Elle portait un bâillon blanc qui lui recouvrait tout le bas du visage, la rendant muette, et le menton rehaussé par une tige en acier qui était articulé sur un collier très haut, large et épais. Elle devait ainsi se tenir immobile sans pouvoir baisser la tête. Une laisse pendait entre ses seins aux tétons dénudés, accrochée à ce même collier de posture qui lui maintenait le menton soulevé. Mais le plus étrange était qu’elle ne semblait porter aucune autre entrave : ses bras étaient fixés le long de son corps, invisibles sous la robe longue et enveloppante. De dos, sa longue jupe était fendue depuis la taille jusqu’aux mollets laissant apercevoir ses fesses et rendant son cul accessible. Sa stature était rehaussée par des chaussures blanches, retenues par des cadenas en or, qui l’obligeaient à se tenir sur la pointe des pieds avec de vertigineux talons. De temps à autre, elle se balançait sur ses pieds et son visage portait la douleur de cet accessoire très inconfortable.

Au sol, une autre femme, accroupie, portait des bas et un vêtement en fine maille transparente qui laissait entrevoir tous les plis et replis de son corps. Sa tête recouverte d’une cagoule en latex ne laissait dépasser qu’une queue de cheval et son nez. Elle avait un énorme godemiché qui était présenté sous son corps, pointant entre ses cuisses écartées, fixé au milieu d’une barre métallique horizontale qui lui maintenait les chevilles écartées. Ses bras étaient enserrés dans un gant unique dans son dos, lui-même relié à la barre de métal afin de l’empêcher de pouvoir se relever. Le moindre mouvement transmettait des secousses dans le gode qui la transperçait. Manifestement elle ne portait aucun autre bâillon et poussait des gémissements car le gode semblait de temps à autre s’animer dans son corps. Afin de limiter encore ses mouvements, une chaîne de son collier en acier était reliée à un anneau dans le sol. D’ailleurs le sol de la pièce était jonché de ces anneaux, de même que le plafond et les murs à différentes hauteurs et de différentes tailles. LIRE LA SUITE


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