La fusée savonneuse est plus douloureuse qu’un suppositoire car sa base est plus large. Néanmoins, sans hésitation, Sylvie la fait pénétrer profondément en moi jusqu’à ce que sa paume de main se colle sur mes fesses.
Quand elle sort son index, Sylvie ne perd pas de temps, se tourne légèrement, tout en me tenant contre elle, ses seins toujours écrasés contre le bas de ma cage thoracique. Sa main réapparaît avec un plug anal qu’elle a pris derrière la bouteille de shampoing. J’ignorais qu’un tel objet fût présent chez nous. Il n’est pas très gros, déjà graissé de lubrifiant brillant, mais avec une base large qui s’évase vers un espace afin qu’il reste en moi, un anneau est scellé à la base.
Sa main vide claque mon cul, alors qu’elle dit :
– Reste détendu.
Comme si c’était facile avec le savon qui commence à irriter mon intérieur, me donne envie de me soulager.
Sylvie positionne la pointe noire sur mon anneau, pousse sans à coup, enfonce le plug qui me pénètre, m’arrache un cri alors qu’il s’introduit difficilement et douloureusement avant que mon cul l’emprisonne jusqu’à la plaque de la base. Elle l’agite un peu pour s’assurer qu’il ne risque pas d’être expulsé, je pousse un nouveau cri :
 Aaaaaaaye !
Une claque clôt la scène, alors que Sylvie m’ordonne :
– Lave-moi soigneusement.
Malgré mes douleurs internes et cette envie lancinante de déféquer, je prends l’éponge, le flacon de son gel douche et commence à la laver avec soin. Comme je me concentre sur ses petits seins, Sylvie les tend vers moi. Elle bombe la poitrine avec ses pointes saillantes. Je les lave avec soin, puis descends vers son ventre.
Ca gargouille de plus en plus dans mon ventre. Sans le bouchon, je suis certain que j’expulserai tout sur le champ.
Sylvie devine la douleur interne qui me ronge à mon attitude crispée, dit :
– Occupe-toi de mon ventre, mon sexe, après ce sera mon cul.
Je m’applique. Quand je suis au sexe, je badigeonne mes doigts de gel douche et lave très soigneusement les lèvres et le clitoris, prenant soin de ne pas provoquer de douleur à mon épouse, sinon ce serait correction immédiate.
Une fois ma besogne achevée, alors que je ne rêve que de me précipiter vers le coin toilette pour expulser ce qui me taraude, Sylvie se tourne, cambre ses reins, écarte ses jambes, commande :
– Mon trou du cul tu le nettoies d’abord avec ta langue.
J’écarte les deux globes ronds avec mes mains, glisse mon nez dans l’intervalle jusqu’à ce que mes lèvres collent à son souple orifice. Ma langue, en pointe, lèche toute la surface plissée avant de s’introduire dans le trou où elle picore.
Sylvie adore mon jeu lingual. Son corps qui tremble légèrement en est la preuve. Je fais de mon mieux alors que la douleur interne me fait de plus en plus mal.
Quelques minutes plus tard, Sylvie secoue sa croupe afin que je lâche prise, m’invite :
– Sèche-moi, après tu pourras expulser le contenu de tes intestins.

Quinze minutes plus tard, alors que j’ai pu me vider, Sylvie, sortie deux minutes plus tôt, revient avec une poche à lavement en caoutchouc, remplie de liquide, dont le fond est relié par un tuyau rouge dont la terminaison est cylindrique, effilée, longue d’une trentaine de centimètres.
Encore une nouveauté.
Apparemment Sylvie n’est pas restée inactive sur les achats pendant mon absence professionnelle. Elle m’ordonne :
– Mets-toi du gel sur ton trou du cul, puis à genoux dans la douche, fesses hautes !
Elle ponctue son ordre de deux claques sur mon cul encore sensible.
Je comprends qu’elle me destine ce lavement, proteste :
– Non ! Non !
Sylvie me considère gravement :
– Comme tu veux. Dans ce cas on arrête tout. Plus de câlins.
Elle me tourne le dos, commence à s’éloigner.
Je ne me pose pas la question de savoir si je dois céder, me plier, ou rompre. Je capitule :
– Excuse-moi ! C’est bon.
Pour prouver ma bonne volonté, je me graisse puis prends la position ordonnée. LIRE LA SUITE