Ma femme, cet homme que j’aime

jeudi 17 décembre 2020
par  Sylvain de Perry
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Sylvie, vingt-deux ans, blonde, cheveux courts, front haut, yeux verts au regard perçant, nez fin, bouche aux lèvres minces, menton volontaire, poitrine aux seins menus à l’aréole marron clair, sexe imberbe, fesses rondes, cuisses musclées.
Philippe, trente ans, chauve, yeux gris, nez droit, bouche aux lèvres gourmande, menton barré d’une fossette, sexe long au gland épais, fesses et cuisses musclées, adepte de natation.


I.
Sylvie et moi sommes mariés depuis un an. Tout s’est toujours très bien passé tant pour les sentiments que pour le devoir conjugal. Petit à petit, ma femme a pris un complet ascendant sur moi, cela s’est fait « naturellement » sans que je m’en rende vraiment compte, peut-être dû qu’au travail j’ordonne, avec diplomatie certes. Or chez moi, ce n’est plus le cas, tout au moins sexuellement. Il faut dire que mon entreprise de transport emploie deux cents secrétaires, comptable, chauffeurs et mécaniciens femmes et hommes pour quarante camions et autocars. Comme je les paye mieux que la moyenne de la profession, ils me sont fidèles. J’ai embauché des gens capables de faire du secrétariat, comptabilité et conduite. A eux de se gérer. Il ne manque JAMAIS personne. De fait même le chef du garage personnel administratif est l’un d’eux, change tous les mois. Le temps qu’elle ou il assure cette fonction perçoit une prime plus que substantielle… Les futurs clients sont contactés par l’une ou l’un d’eux. Et ça fonctionne très bien. Donc j’ai du temps libre.
Après un voyage en Allemagne pour acquérir du matériel, je fais une halte au bureau, laisse mon chauffeur rapporter ma valise chez moi, met deux trois choses au point avec le directeur du mois, récupère ma moto afin de regagner mes pénates. En l’occurrence un petit château situé à l’écart de la ville, il n’est que seize heures. Après avoir garé ma moto BMW, je ne pense plus à mes vêtements trempés après la pluie qui m’a accompagnée pendant tout le trajet. Quand je parviens en haut de l’escalier qui relie les hall et parking, j’entre sans précaution, accueilli un instant après par :
– Eh bien ! Chéri, ne te gêne pas, salis-moi tout…
Le regard noir de Sylvie ne présage rien de bon :
– … Sors ! Déshabille-toi sur le palier. Je t’attends dans cinq minutes au salon bleu.
Je proteste :
– Non ! Non ! C’est involontaire… Tu pourrais m’accueillir mieux que ça, quand même après une semaine d’absence.
– On verra cela plus tard. En attendant, si tu traînes…
Sylvie laisse la menace en suspens, opère un demi-tour, me présente son derrière étroitement confiné dans le pantalon de cuir noir moulant qu’elle porte souvent à la maison et qui s’agite érotiquement avec sa démarche.
Le salon bleu est la pièce réservée aux punitions, enfin celles qui me sont imposées pour mes mauvaises conduite ou attitude ou tout autre motif.
Je quitte mes vêtements une fois sorti, les plie, rentre dans la maison en slip, vais au salon bleu, toque à la porte. L’invitation à entrer me parvient trente bonnes secondes plus tard.
Je pénètre dans la vaste pièce de deux cents mètres carrés. Peu de mobilier hormis un banc à fesser, une chaise à dossier droit où Sylvie est déjà assise à côté d’une table sur le plateau de laquelle repose divers godes, un petit martinet au petit manche avec quatre lanières courtes, plugs anaux ; un des murs comporte des crochets où sont suspendus divers martinets aux lanières de différentes longueurs et des raquettes recouvertes de cuir noir de toutes tailles. Je ferme la porte et m’avance vers mon épouse, m’immobilise tout prêt d’elle qui lève la tête, me dit :
– J’aurais aimé que ton retour commence autrement. Mais là tu as dépassé les bornes : pour un peu tu allais directement dans notre chambre dégoulinant d’eau de pluie pendant tout le parcours. Te crois-tu donc dans une porcherie ?
J’ai bien envie de répondre : « Oui ! » mais il est préférable de rester coi.
Devant mon silence Sylvie poursuit :
– Une bonne fessée va te remettre les idées en place et te rappeler où tu te trouves.
Ses petites mains se placent sur mes hanches, ses doigts glissent entre peau et ceinture du slip. Elle fait descendre mon dernier vêtement lentement jusqu’à mes chevilles commande :
– Lève tes pieds !
J’obtempère. Ma bite est à peine mi-bandée.
Sylvie repousse mon slip du pied, empoigne mon membre :
– A plat ventre sur mes cuisses !
Je bascule, mes mains à plat sur le sol pendant qu’elle coince mon sexe entre ses cuisses recouvertes du cuir noir.
Rapidement Sylvie me ceinture de son bras droit pour me faire cambrer à sa convenance et sa main gauche débute la fessée.
La première claque me fait comprendre qu’elle a l’intention de me punir sévèrement. Sa petite main fine quitte ma fesse droite pour y revenir rapidement. Les claques se succèdent à un rythme soutenu. Seul mon globe droit est la cible de cette fessée. LIRE LA SUITE


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