13- Pierre, Agnès et les autres

Chapitre 13 - Les seins aussi vont en enfer
mercredi 7 octobre 2009
par  herpin
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Sans plus s’occuper d’Agnès et de sa sœur, Florence et Vanessa, ayant rapidement quitté leurs vêtements, s’allongèrent sur l’épais tapis qui garnissait le sol, s’enlaçant voluptueusement. Ce ne furent bientôt que baisers fougueux, membres entremêlés. Les mains s’égarèrent, parcourant des corps frissonnant de désir, s’insérant dans des orifices ruisselants. Des langues vinrent recueillir le précieux nectar pendant que les lèvres se collaient sur des clitoris érigés.

Pendant ce temps, Sandrine avait entrepris de consoler son aînée. Maintenant que son rôle de dominatrice était terminé, du moins provisoirement, elle pouvait à nouveau donner libre court à la tendresse naturelle qu’elle avait toujours éprouvée pour sa sœur. Alors que celle-ci était toujours secouée de sanglots, elle se pencha sur le visage aimé. Dardant une langue pointue, elle vint recueillir les larmes qui noyaient les yeux, qu’implorante, Agnès levait vers sa cadette, quémandant une douceur réparatrice. La sentant retrouver progressivement un semblant de calme, elle laissa sa bouche descendre le long du cou, déposant au passage d’innombrables baisers, avant de gagner la gorge, où elle effectua de savantes arabesques, arrachant les premiers soupirs de contentement. Elle se saisit alors des globes mammaires qu’elle entreprit de pétrir doucement, les palpant, les malaxant. Par touches successives elle gagna les aréoles qu’elle fit se pigmenter en les effleurant de ses ongles, puis se saisissant des tendres pointes, elle les fit s’ériger en les pinçant sans cruauté excessive, en les roulant, les étirant. Après que sa bouche ait remplacé un instant ses doigts pour de délicates sucions, elle se laissa glisser jusqu’au pubis qu’elle fit frissonner à force de léchages et de baisers. Constatant que sa sœur réagissait dorénavant à ses assauts par des gémissements d’aise et des mouvements du bassin destiné à accompagner les caresses dont il était l’objet, Agnès se déplaça, et venant s’agenouiller entre les cuisses toujours maintenues grandes ouvertes, elle se mit à parcourir d’une bouche gourmande la fente d’où sourdait déjà un mince filet de cyprine. Ne voulant pas provoquer une jouissance qu’elle n’était pas en droit d’accorder à sa sœur, elle interrompit ses attaques, pour se glisser sous les fesses martyrisées, et les parcourir de sa langue. Elle suivit ainsi les boursouflures les plus importantes, répandant sa salive aux endroits les plus meurtris, pour ensuite l’étaler telle une pommade lénifiante. Ecartant délicatement les globes fessiers afin de ne pas raviver la souffrance de sa sœur, elle vint débusquer l’anus tapi au fond de la sombre vallée. Pointant sa langue tel un piston, elle tarauda la bague, la contraignant à se relâcher, à s’ouvrir pour accepter l’intruse. Les prestations buccales de Sandrine semblèrent ravir son aînée, car celle-ci laissant échapper des gémissements de plaisir, se crispa dans ses liens, animant ses hanches à l’unisson du pistonnage de son œillet. Ces manifestations de plaisir, annonçant un proche orgasme, n’échappèrent pas à celle qui en était la cause, aussi cessant immédiatement ses attouchements, Sandrine se releva, laissant l’une de ses main ramper jusqu’au clitoris qu’elle pinça durement.

— Pas de ça, ma belle…tu sais que tu dois te retenir.

— C’est trop dur…il y a trop longtemps que j’ai envie de jouir.

— Ton plaisir va venir, mais il est encore trop tôt. Du reste, je vois venir Florence et son amie…je gage qu’elles doivent avoir encore envie de jouer avec toi.

Les sens provisoirement apaisés par les ébats auxquels elles venaient de se livrer, les deux jeunes femmes s’étaient en effet approchées, non sans remarquer qu’Agnès avait manifestement recouvré toute sa vigueur.

— Il me semble que ta petite soubrette a repris des forces ; elle est décidément insatiable ; regarde comme elle mouille, et comment ses tétons bandent de désir. J’ai bien envie de lui travailler un peu les seins pour voir s’ils seront toujours aussi arrogants quand j’en aurai fini avec eux.

— Tu as raison, on va s’en occuper, mais je connais un moyen de lui arranger les nichons de telle façon qu’elle ne les reconnaîtra plus. LIRE LA SUITE

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