12- Pierre, Agnès et les autres

Chapitre 12 - Découverte du strapping
mercredi 23 septembre 2009
par  herpin
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Juchée sur ses hauts talons, entravée par la jupe étroite, les mains liées dans le dos, Agnès peinait à suivre sa sœur, qui, tirant sur la laisse, la contraignait à parcourir à vive allure le long couloir qui menait au salon où elles étaient attendues. A leur entrée, Florence et la jeune femme qui se tenait à ses côtés, interrompirent leur conversation et tournèrent la tête vers les arrivantes.

— Ma chère Vanessa, je te présente Agnès ; c’est une petite soubrette que j’ai entrepris de dresser. Comme elle débute, j’ai demandé à sa jeune sœur de nous la préparer, afin de tester sa docilité. A entendre les cris qui sont parvenus jusqu’à nous, j’imagine que cette petite vicieuse a tenté de se rebeller, n’est ce pas Sandrine ?

— Il n’y a pas eu de problème pour la faire se déshabiller et pour lui donner un bain, mais lorsque je lui ai présenté la canule, elle a refusé de se laisser faire et j’ai du la cravacher.

Entendant ces mots, et ce que cela laissait supposer, Vanessa intervint :

— Tu veux dire que tu lui as fait donner un lavement ?

— C’est exact ; tu ne tarderas pas à voir que cette petite possède une croupe des plus excitante, et connaissant ton goût pour les culs de jeunes filles, je ne doute pas que tu ais envie de le visiter, aussi j’ai tenu à ce son anus soit d’une propreté irréprochable.

— Quelle touchante attention ; je brûle d’envie de contempler ces fesses sans plus attendre.

— Tu as entendu, Agnès, déshabille-toi et va te présenter à mon amie.

Rouge de confusion en entendant ce dialogue qui n’était destiné, elle en était bien consciente qu’à l’humilier, l’intéressée tenta de se dérober à cette injonction :

— Je ne pourrai jamais y parvenir avec les mains attachées dans le dos….

— Tu te débrouille comme tu veux, mais tu vas nous montrer ton cul immédiatement. Désormais, chaque minute écoulée avant que tu ne parviennes à exhiber tes mignonnes petites fesses, te vaudra cinq coups de strappe…. Alors si tu ne veux pas te retrouver avec la croupe en sang, tu ferais bien de te dépêcher.

Consciente que rien ne ferait fléchir sa tortionnaire, Agnès entreprit de remonter sa jupe, le long de ses jambes, opération rendue difficile par l’étroitesse et la longueur du vêtement, qui n’avait naturellement été choisi que dans ce but. Les mains liées dans le dos ne lui permettant qu’une faible amplitude de mouvement, elle était contrainte de se déhancher pour faire remonter le tissu le long de ses cuisses, offrant par la-même un spectacle des plus érotique. Elle venait de parvenir à mi-cuisses lorsque Florence lui annonça d’un ton goguenard :

— Une minute…tu es mal partie.

Affolée par la menace que ces mots contenaient Agnès tenta de forcer l’allure, mais parvenue au niveau des hanches, la tâche devenait encore plus difficile, d’autant que ses hauts talons rendaient son équilibre précaire. Au prix d’un dernier effort, elle parvint enfin à remonter et retrousser totalement la jupe autour de sa taille.

— Deux minutes… J’ai l’impression que tes fesses vont rougir.

Tremblante d’énervement, Agnès saisit l’élastique de son slip et tenta de le faire glisser vers le bas, mais l’étroitesse du sous-vêtement ne lui permit de gagner que quelques centimètres. Comprenant qu’il lui faudrait encore de longs efforts pour parvenir à ses fins, elle fut tentée de céder au désespoir, mais se reprenant, agrippant la culotte d’un côté puis de l’autre, elle la fit progressivement descendre sur ses fesses d’abord, puis le long de ses cuisses.

— Trois minutes. Toi qui aimes te faire caresser par de bonnes lanières de cuir….je crois que tu ne seras pas déçue.

La tâche se faisait de plus en plus ardue pour la pauvre Agnès, car elle était désormais obligée de se baisser pour gagner les derniers centimètres, ce qui n’était pas chose facile avec les escarpins qu’elle portait. A force de se contorsionner, elle finit par perdre l’équilibre et s’écroula au sol, tandis que Florence imperturbable, continuait d’égrener le temps :

— Quatre minutes. Tu ferais bien de te relever, sinon tu vas déguster au-delà de tes espérances, et peut-être même de ce que tu pourras supporter.

Rassemblant son courage, Agnès parvint à se remettre sur pieds et dans un dernier effort, elle fit choir le slip autour de ses chevilles, au moment où la sentence tombait

— Cinq minutes. Il va te falloir du courage, car je ne ferai pas cadeau d’un seul coup. Si tu ne connais pas encore cet instrument, tu vas appendre à l’apprécier. En attendant, vas te présenter à notre amie.

Complètement anéantie par ce qu’elle venait de vivre et privée de volonté, la malheureuse se dirigea vers la jeune femme, à petits pas en raison de sa culotte qui entravait ses chevilles. Parvenue devant Vanessa, celle-ci la fit se retourner afin de mieux pouvoir contempler ses fesses. Les palpant, suivant du bout des doigts les boursouflures qui les striaient, elle se plut à commenter ses « découvertes » :

— Tu avais raison, ma chère Florence, voici une petite croupe comme je les aime, haut perchée, bien ferme mais en même temps d’une grande douceur ; mais, dis-moi Sandrine, en plus des traces laissées par ta cravache, je distingue également l’empreinte d’une main. Aurais-tu été obligée de fesser ta sœur ?

— Hélas oui…..car à deux reprises, je l’ai surprise s’apprêtant à jouir malgré mon interdiction.

— Vraiment, voyons si cette petite vicieuse est encore excitée.

Joignant le geste à la parole, Vanessa introduisit une main dans le sillon séparant les deux hémisphères joufflus ; elle n’eut aucun mal à atteindre la fente, Agnès lui facilitant la tâche en écartant inconsciemment les cuisses. Repoussant sans ménagement les babines, les doigts pénétrèrent dans la grotte, la ramonèrent avec vigueur, produisant un clapotis révélateur de l’état dans lequel elle se trouvait. Délaissant alors le vagin au grand désappointement d’Agnès qui espérait enfin atteindre le plaisir, Vanessa fit remonter sa main jusqu’à l’anus, qui se crispa instinctivement à ce contact. Négligeant cette timide rébellion, elle appuya son index sur l’anneau qui, lubrifié comme il venait de l’être, ne put que se rendre sous l’inexorable poussée.

— C’est incroyable, cette enfant rougit comme une collégienne, elle est étroite comme une vierge, et pourtant elle mouille comme la pire des vicieuses. Tu as vraiment trouvé une perle. Il me tarde de voir comment elle se comporte quand on la travaille un peu.

— Il n’y a rien de plus facile ; il n’y a qu’à la conduire dans la salle de jeux voisine ; Sandrine, tu veux t’en charger….

Se saisissant à nouveau de la laisse, cette dernière ne se fit pas prier pour tirer sa sœur, toujours entravée, jusqu’à la pièce en question où un simple coup d’œil indiquait tout de suite à quels « amusements » elle était destinée. Ce n’était que potences, croix, chevalets d’immobilisation…. Aux murs pendait toute une panoplie d’instruments de flagellation…..une table supportait des godes de toutes formes et de dimensions variées, ainsi que tout un lot de pinces. A voir ce décor, et ce que cela laissait deviner des pratiques qui s’y déroulaient, Agnès se sentit envahie de sentiments qu’elle connaissait bien à présent. L’imminence des tourments qui n’allaient pas manquer de lui être infligés faisait naître en elle une excitation que ne pouvait endiguer la peur des souffrances bien réelles qu’elle allait éprouver. Ce chemin pavé d’humiliations et de douleurs était le seul qui pouvait la conduire à la jouissance, et elle entendait bien le parcourir jusqu’à son terme. Aussi est-ce sans résistance qu’elle se laissa mener jusqu’à une sorte de pilori, auquel avait été fixée transversalement une courte banquette destinée à faire allonger la victime aussi bien sur le ventre que sur le dos. Deux montants verticaux permettaient en outre de maintenir les jambes à l’écartement voulu. Après avoir expliqué les différentes possibilités qu’offrait cet appareil, Florence ordonna à Agnès de s’y allonger, de face et d’engager la tête et les mains dans les échancrures prévues à cet effet, avant d’arrimer la seconde barre de bois immobilisant la jeune femme et l’empêchant de voir ce qui se passait dans son dos. Elle sentit des mains s’emparer de ses chevilles, les séparer, les fixer aux montants verticaux jusqu’à rendre l’écartement douloureux, et surtout la contraignant à cambrer ses fesses au maximum. Ces préparatifs toutefois la comblaient d’aise. C’était la première fois qu’elle était entravée pour subir une flagellation. Désormais quoi qu’il arrive, elle ne pourrait plus mettre fin à son supplice ; Florence l’avait prévenue qu’elle serait impitoyable, et pour se souvenir de la vigueur des coups de cravache qu’elle lui avait assénés lors de son initiation au club, elle ne doutait pas des souffrances qu’elle allait endurer. Toutefois cette incapacité à contrôler les évènements, cette acceptation de ne plus être qu’un jouet dont ses tourmenteuses pourraient user selon leur bon plaisir, ne faisaient que renforcer son excitation à l’idée de connaître enfin la sensation d’une totale soumission. Elle fut tirée de ses pensées par la voix de Vanessa... LIRE LA SUITE

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