De découverte en découverte

jeudi 5 novembre 2020
par  Sylvain de Perry
popularité : 1%
7 votes

Dédié à Henic qui a trouvé le titre que je cherchais vainement, a permis à ce récit d’en avoir un, pour les corrections qu’il assure sur mes récits depuis trois ans. Avec mon amitié, Sylvain.

Loriane, jeune cadre dynamique, vingt-cinq ans, un mètre soixante, brune aux cheveux courts, yeux marron, nez droit, bouche aux lèvres minces, menton volontaire, petits seins, sexe rasé, lèvres épaisses, petites fesses musclées, vêtue éternellement de cuir : pantalon, jupe, ensemble, etc.
Malcom, quarante ans, un mètre quatre-vingt-cinq, chauve, yeux bleus, nez légèrement cassé, bouche aux lèvres gourmandes, menton avec une fossette centrale, bien musclé, bite d’une vingtaine de centimètres, fesses hautes, rondes, musclées.
Nota : il est évident que les acteurs de ce récits sont masqués quand il le faut pour éviter une transmission du Covid 19. Toutefois je n’allais pas le répéter en permanence.

***


Malcom n’aime pas trop emprunter l’ascenseur du building de trente étages qui appartient à la société dont il est le directeur financier : Wolding business. Néanmoins grimper du parking, premier sous-sol, jusqu’au 29ème étage s’avère trop long même pour un sportif accompli. Toujours souriant, il ne tyrannise jamais ses collaborateurs.
Seulement trois personnes sont dans la cabine qui vient du quatrième sous-sol. Au rez-de-chaussée, l’entrée d’une dizaine de personnes efface son sourire. C’est surtout la petite femme qui monte en dernier : Loriane.
En effet : tous deux appartiennent à un club privé de Boston réservé aux amateurs de BDSM. Particularité : les adhérents sont tenus, lorsqu’ils se rencontrent en dehors du club, de s’ignorer, de ne pas se saluer, ni tout autre signe de reconnaissance. Or Malcom ignorait l’appartenance de Loriane à la société.
Hier soir ces deux-là se sont vus au club : Loriane a été fouettée par une femme. Malcom, accompagné d’une adhérente choisie sur place, n’en a été que spectateur, avant de participer à d’autres jeux.
Pour une surprise… Tout en la regardant du coin de l’œil, Malcom se rend compte qu’elle l’a ignoré. Tant mieux.
Mais, avant la fermeture des portes, apercevant un groupe, Loriane retient la porte, qui se fermait, avec sa main.
— Merci, dit le premier arrivant.
Comme le groupe est nombreux, les présents se serrent. Loriane, en profite pour reculer sans façon, et comme par magie, son derrière se colle contre le bas ventre de Malcom.
Cette fois, contrairement à ce qu’il croyait, il comprend qu’elle l’a repéré. L’ascenseur se meut. Loriane agite langoureusement son cul de cuir contre le bas-ventre de Malcom qui serre les dents, regarde à droite, à gauche comme si quelqu’un regardait dans leur direction. Mais non, pas de danger !
Après l’arrêt du deuxième étage, alors qu’il est en pleine érection, Malcom sent son pénis bandé pris inopinément par une main, il comprend à qui elle appartient alors qu’elle serre son vit. Il retient un cri de surprise autant que de douleur.
Les doigts s’activent, se meuvent, triturent le sexe. Cela leur est facilité par le fait qu’hiver comme été, Malcom ne porte jamais de slip, ni même de string. Loriane le sait-elle ? Impossible, même à ses rencontres du Club, Malcom n’en parle pas.
Soudain les doigts cessent leur manipulation, la main s’empare du sexe et des couilles, tirent vers l’avant. Malcom, collé à Loriane, suit le mouvement, se retrouve avec elle sur le palier du vingtième où ils se retrouvent tous deux dans le couloir, une fois close la porte de l’ascenseur.
Sans un mot, toujours en tenant Malcom fermement, Loriane avance sur quinze mètres, déverrouille la porte avec sa clef prise de sa main libre. Malcom a pu lire les nom et prénom, chef du service bureautique. « Voilà pourquoi je ne la connaissais pas… » pense-t-il.
Loriane ferme la porte à clef, va vérifier la porte communicante avec sa secrétaire. Elle lâche enfin Malcom, le toise avec ses vingt centimètres de moins, commande :
— À poil !
Elle va ôter sa veste de cuir, déposer ses sac et sacoche sur le bureau, s’aperçoit que Malcom n’a pas bougé, dit d’une voix plus coupante :
— Es-tu sourd ?
— Non mais…
— À poil ! Si tu n’obéis pas, je dirai au Président du Club que tu m’as agressée ici. C’est mon amant, il me croira. Enfin, je peux me mettre à crier ici, comme on t’a vu me suivre à la sortie de l’ascenseur… Renvoi immédiat. Rappelle-toi qu’aux U. S. ça marche toujours. Alors que l’Orchestre Royal du Concertgebouw d’Amsterdam qui regrettait le choix du Maestro Daniele Gatti, comme par hasard c’est un article du Washington Post de juillet 2018, pour de pseudos présomptions d’harcèlement sexuel sur des musiciennes qui a déclenché l’affaire. Parce qu’en Europe ça n’aurait fait l’objet de rien… Simple non ?
Malcom comprend qu’il n’a aucune autre issue que de lui obéir. Il pose son attaché case près d’un des deux fauteuils visiteurs, ôte chaussures, veste, chemise et pantalon.
Loriane a attrapé une chaise sur un côté, la remorque vers le centre du bureau, s’y assoit.
Malcom se demande ce qu’il fait là dans le bureau de cette cadre tout nu. Elle devine ses pensées, explique :
— Hier soir, alors qu’une adhérente me fouettait fesses et cuisses, tu n’en perdais pas une miette. Quand je t’ai reconnu dans l’ascenseur, in petto, j’ai décidé que je te devais une fessée pour le spectacle. Allez, assez de bavardage, viens te mettre à plat ventre sur mes cuisses.
Subjugué, Malcom avance de deux pas, est tiré par un bras, manque de s’étaler sur les cuisses en cuir, se protège en posant ses mains au sol. Sa bite, légèrement en érection, se retrouve entre les cuisses serrées de Loriane.
La jeune femme caresse le cul nu bien offert à son projet de correction, assène deux claques sur les cuisses :
— Détend-toi ! Sinon tu risques d’avoir très mal.
Elle commence par gifler sans forcer, presque nonchalamment, le beau cul de l’homme nu, bien exposé, à son entière disposition. Le bruit clair des claques sur la chair tendue excite Loriane.
Tant qu’elle traite son postérieur sans grande brutalité, Malcom reprend espoir. Il s’imagine que la jeune femme avait envie de le voir cul nu à son tour, qu’elle a juste voulu l’effrayer et qu’elle se contentera de ses claques superficielles.
Mais… La grande, la bonne fessée qui commence à s’abattre sur ses lombes le détrompe. Elle tombe à la façon d’une pluie estivale sur l’homme qui surpris, se met à crier comme un adolescent, tandis que son cul est secoué par des soubresauts, qu’il rougit à vue d’œil et devient brûlant.
Jamais Malcom n’aurait cru que de si petites et si fines mains de femme pouvaient provoquer une telle douleur. Il doit prendre sa souffrance très au sérieux. Il ahane :
— Pitiiiiiiié !... Pluuuuuuus… la fessée !... Je… vous… en… priiiiiiie !...
Tandis que son beau cul musclé, violemment sollicité par les claques dures, tente en vain de se dérober. Il se contorsionne, se tortille, en vain. Par les ruades désordonnées de ses jambes il offre en prime à la fesseuse, des visions charmantes de son trou du cul qui semble parfois s’entrouvrir et aspirer l’air pour refroidir son derrière fessé.
Loriane procède fesse par fesse, sans s’arrêter un seul instant, avec une régularité métronomique, ne laissant aucun répit à sa victime.
La douleur est telle que Malcom veut s’échapper. Mais solidement maintenu, il ne réussit qu’à accroître la grêle des claques qui, punissant son indiscipline, transforme ses cris en hurlements de porc qu’on égorge, alors que les larmes ruissellent sur son visage à la bouche tordue sous l’intense douleur de l’horrible fessée LIRE LA SUITE



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Commentaires

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jeudi 5 novembre 2020 à 19h40 - par  Henic

Merci de cette dédicace à double tranchant : je suis désormais officiellement responsable des fautes qu’il pourrait y avoir dans le texte. Ayant assez peu de goût pour la fessée - surtout si je dois la recevoir -, j’espère que ce n’est pas la punition qui attend le correcteur défaillant...
Mais heureusement, le récit est suffisamment prenant et varié, avec de multiples rebondissements, c’est le cas de le dire :-), pour que le lecteur se laisse prendre par ’histoire elle-même sans aller chipoter sur l’emballage.