Punie par ses beaux-parents
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Chapitre 1 – Un fâcheux écart de conduite
Je m’appelle Kym. J’ai 29 ans et je suis mariée à Michael depuis trois ans. Je suis une salope et j’ai de gros ennuis avec mes beaux-parents. Je mérite de la sympathie mais je ne semble pas en bénéficier.
Mes problèmes ont commencé il y a près de six mois lorsque Michael était en voyage d’affaires. Mon amie Colleen m’avait invitée dans un bar local pour prendre un verre. Je ne suis normalement pas une grande buveuse mais cette nuit-là, j’ai laissé tomber mes principes. J’ai honte de le dire mais j’étais ivre. Je savais qu’il était temps que je rentre à la maison, alors j’ai décidé d’aller aux toilettes, puis de retrouver mon amie Colleen qui dansait avec un type sur la piste de danse. J’ai littéralement titubé vers les toilettes, je me sentais décidément mal. À mon retour, j’ai tenté de retrouver Colleen. Ma tête tournait et je ressentais des nausées.
Deux jeunes gars, au début de la vingtaine, sont venus vers moi et ont commencé à me faire des remarques suggestives. J’ai essayé de les dépasser, mais j’étais instable sur mes pieds, j’ai trébuché et suis tombée dans les bras de l’un d’eux. Avant que je ne m’en rende compte, ils m’avaient fait sortir dans l’allée par la porte latérale. J’ai protesté et j’ai essayé de les repousser, mais je ne pouvais pas les affronter dans mon état d’ébriété.
J’ai commencé à paniquer en réalisant que j’avais de gros ennuis. J’ai commencé à pleurer. Soudain, une grosse voix retentit derrière moi, que j’ai reconnue malgré ma peur et mon ivresse.
Les deux gars ont tenu bon pendant un moment, mais ensuite leur bravoure s’est évaporée et les sales rats ont décidé de dégager. Je me tournai dans la direction de mon sauveur et tombai dans ses bras. J’ai levé les yeux vers ceux du père de Michael, Ben. Mon beau-père est un homme façon ours, en très bonne condition physique malgré ses 55 ans. Ben m’a serré contre lui et j’ai pleuré de façon incontrôlable sur son épaule.
J’étais vaguement consciente d’être ramenée à travers le bar bondé, et de sortir dans la rue par la porte principale. Je me souviens d’avoir été placée dans une voiture mais c’est mon dernier souvenir de la nuit.
Quand je me réveille le lendemain matin, j’ouvre les yeux avec hésitation. Sans surprise, ma tête me lance. Je ne suis pas dans ma chambre et je panique momentanément tout en essayant de reconstituer les événements de la soirée de la veille. Puis je me souviens que Ben est venu en aide à sa belle-fille ivre. Je regarde mon environnement de plus près et je réalise que je suis dans la chambre d’amis de la maison de mes beaux-parents, Ben et Jane.
Puis je regarde l’horloge de chevet. Il est midi moins le quart. J’ai dormi toute la matinée. Pour aggraver les choses, c’était vendredi matin, et je devais travailler à 8h30. J’enfouis ma tête dans mon oreiller et je gémis.
« Quelle idiote ! », je me gronde en silence, « quelle satanée idiote, stupide, crétine… » Je suis extrêmement gênée de devoir affronter mes beaux-parents. Que doivent-ils penser de moi ? Ivre dans un bar et me laissant me placer dans une position où j’aurais pu être violée, sans l’intervention opportune de Ben. Encore une fois, je gémis de douleur et d’humiliation.
Je me redresse et je m’assois au bord du lit. Pour la première fois, je réalise que je suis nue, sauf mon soutien-gorge et ma culotte. Visiblement, quelqu’un m’a déshabillée et m’a mise au lit. Je rougis de honte.
Il y a une robe de chambre accrochée au bout du lit, je l’enfile et je me traîne jusqu’à la porte. Penaude, je l’ouvre et regarde dans le couloir. Tout est calme. Je prends une profonde inspiration, soulève ma tête de ma poitrine, m’assure que tout va bien et descends les escaliers jusqu’à la cuisine.
Jane est occupée à cuisiner, ce qu’elle aime bien faire. Chaque fois qu’elle rend visite à Michael et moi, elle est toujours chargée d’un tas de biscuits et de gâteaux de bienvenue.
Jane lève les yeux lorsqu’elle remarque que je me tiens dans l’embrasure de la porte.
« Eh bien, regardez ce que le chat a ramené ! Je suppose que tu te sens mieux ?
Jane, je suis vraiment désolée pour la nuit dernière. Je ne sais pas ce que vous devez penser de moi. C’était tellement déraisonnable de ma part de boire autant d’alcool. »
Jane lève la main pour m’arrêter au milieu de ma tentative de rachat.
« Kym, nous avons honte de ton comportement. »
Les mots de Jane sont directs et pénètrent en moi comme un couteau émotionnel.
« Mais le plus important est que tu déçoives Michael. Que va-t-il penser du comportement de sa femme ? »
À ces mots, mes émotions débordent et des larmes commencent à couler sur mes joues. J’ai profondément honte, et les mots d’explication semblent en quelque sorte vides, probablement car je sais qu’il n’y a aucun moyen de présenter mon comportement de manière positive.
Un silence infini s’installe entre nous deux. Jane me dévisage avec mépris, et moi, avec des larmes qui coulent, je me sens comme un enfant récalcitrant. Finalement, Jane reprend :
« Je veux que tu ailles prendre une douche, que tu te laves, puis que tu viennes ici pour que nous puissions régler correctement ce problème. »
Je ne suis pas sûre de comprendre ce qu’elle veut dire mais je suis tellement humiliée par la situation que je saute sur l’occasion pour fuir les paroles tranchantes de ma belle-mère. Alors que je suis à mi-chemin dans les escaliers, Jane ajoute :
« Au fait, Kym, je veux que tu ne portes que la robe de chambre, rien d’autre. »
« Oui Madame », est tout ce que je peux articuler.
Ma gueule de bois empêche mon cerveau de donner un sens à la demande de Jane, et franchement, je suis émotionnellement trop contrite pour y parvenir. Mais les poils se dressent sur ma nuque.
Les larmes continuent de me monter aux yeux pendant que je me douche. Je secoue la tête sans arrêt, en essayant de comprendre ma propre stupidité. Une fois lavée et séchée, je me sens nettement mieux physiquement. Et émotionnellement, je décide de faire tout ce qu’il faut pour faire face à cette histoire aux yeux de mes beaux-parents. J’aime profondément Michael et je sais que je l’ai alors négligé. De plus, j’ai le plus grand respect pour Jane et Ben. Ils ont été formidables avec moi et m’ont accueilli à bras ouverts comme belle-fille.
J’enfile la robe de chambre, je prends une profonde inspiration, puis j’aborde courageusement le long voyage des escaliers jusqu’à la cuisine. Jane n’y est pas et je ressens un bref moment de soulagement. Elle a peut-être pitié de moi et a senti que j’étais suffisamment humiliée. Cependant, mon cœur se serre quand je jette un coup d’œil au salon.
Jane y est assise, elle lit un magazine. Elle ne me cherche pas ni ne marque qu’elle m’a vue, en aucune façon.
Avec précaution, je m’avance jusqu’à ce que je sois devant elle. Mes yeux sont fixés sur ses pieds, car je suis sûre de me remettre à pleurer si je la regarde dans les yeux. Après ce qui semble une éternité, Jane pose son magazine.
« Kym, je ne vais pas te faire de long discours, car je sais que tu comprends parfaitement à quel point ta conduite a été honteuse. »
Je gémis, mais je retiens obstinément mes larmes.
« Je vais m’occuper de cette affaire maintenant, et si tu acceptes ta punition, l’affaire sera close et rien ne sera dit à Michael. C’est bien ce que tu veux ? »
Franchement, je ne sais pas ce que je veux ni ce que j’accepte. Mais une chose que je sais, c’est que je ne veux pas que Michael connaisse mon comportement honteux. Je sais qu’il serait hyper déçu.
« Oui Jane, gémis-je, reconnaissant à peine ma propre voix.
Oui, quoi ?
Oui, je voudrais que l’on règle l’affaire maintenant. »
D’une certaine manière, je n’ai pas pu me résoudre à mentionner le mot « punition ». Quoi qu’il en soit, je suis persuadée qu’elle parlait au figuré lorsqu’elle a utilisé le terme de « punition ». Je suis une adulte. Les adultes ne sont pas punis. Certainement pas par leur belle-mère.
« Enlève la robe de chambre.
Oh mon dieu ! »
C’est tout ce que je peux dire.
« Maintenant, ma fille ! Ordonne Jane avec une telle autorité que cela me fait sursauter. »
Ma bouche s’ouvre. J’ai besoin de dire quelque chose. N’importe quoi. Mais aucun mot approprié ne me vient à l’esprit. Mon esprit est vide, mais quelque part, mon corps est en vie. Presque mécaniquement, mes bras délient le cordon de la robe de chambre et elle s’ouvre. J’ai tellement conscience d’être exposée que je sens mon visage rougir.
Je regarde Jane dans les yeux et il est clair qu’elle attend que je termine la tâche qu’elle m’a prescrite. Avec beaucoup de réticences, je dégage la robe de mes épaules et elle tombe par terre, en tas autour de mes pieds. Je suis totalement nue. Plus nue que je ne l’ai jamais ressenti de toute ma vie.
Les yeux de Jane me brûlent tandis que son regard parcourt mon corps de haut en bas. Avec un temps de retard, je bouge mes mains pour qu’elles recouvrent mes parties intimes. Jane commande :
« Non ! »
Je me sens dégradée, et folle. Je ne sais pas quoi faire. Qu’est-ce qui m’arrive ? Je réalise que les yeux de Jane sont fixés sur mon pubis. Oh non ! Je me rappelle soudain qu’il y a deux semaines, j’ai rasé ma toison pubienne pour faire une surprise à Michael. Cela l’avait excité et je m’étais sentie sexy. Mais à cet instant, je me sens tout sauf saut sexy. Qu’est-ce que Jane va penser de moi ? Je me sens comme une traînée…
« Eh bien, eh bien… »
Jane marmonne tandis que sa tête se tourne de gauche à droite d’une manière qui marque sa désapprobation. Je voudrais que la terre s’ouvre et qu’elle m’avale.
Je suis presque soulagée lorsqu’elle tend la main, m’attrape l’avant-bras et me tire sans cérémonie sur ses genoux. Lorsque mon esprit parvient à se relier aux évènements, je réalise avec horreur et honte que je vais recevoir une fessée. J’essaie de dire quelque chose, n’importe quoi, mais je ne parviens qu’à exhaler un petit hoquet. LIRE LA SUITE
Table des matières | |
Chapitre 1 – Un fâcheux écart de conduite | 2 |
Chapitre 2 – La proposition de Ben | 6 |
Chapitre 3 – La punition pour retard | 11 |
Chapitre 4 – Un dimanche soir plein de surprises | 16 |
Chapitre 5 – Un nouveau justicier… | 24 |
Chapitre 6 – La routine des punitions | 33 |
Fin de la première partie | 40 |
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