Vacances sur les traces de Sophie -4-
par
popularité : 1%
Nous sommes assises toutes les trois dans le salon où nous avons transporté nos verres. Lara a séché ses larmes, rafraîchi son visage ; je demande à la cantonade :
— Vous voyiez-vous souvent toutes les deux, hors du travail ?
Monica fait un signe de la main à Lara qui répond :
— De temps en temps. Être lesbienne en Italie est loin d’être aisé, encore plus dans une petite cité de province comme Pesaro. Nos relations sont occasionnelles. Pour ma part, c’est la première fois que je rencontre une cliente à l’hôtel. J’ai compris que tu étais discrète, donc n’ai eu aucune hésitation. (Elle s’offre une gorgée de la boisson, reprend 
Comme tu l’as vu Monica est dominante, mais avec ton très beau cul, j’ai eu envie de te fesser lors de notre première soirée. Ton brusque départ m’a surprise ; Monica m’a dit de ne pas m’inquiéter le lendemain à notre prise de service. D’où le jeu qui lui a permis de te fesser.
Je l’interroge :
— Si après le premier soir je n’avais pas donné suite.
— Ma foi…
Elle se tourne vers Monica qui se contente de hausser les épaules avant de décider :
— Nous ne serions pas là. Peut-être est-il temps que l’une de nous te prenne ton dernier pucelage ? (Elle se lève, va vers le seul petit meuble dont elle ouvre le premier tiroir, achève Lara, va chercher un gode, choisis-le de cinq centimètres de diamètre, longueur minimum vingt centimètres.
Quand Monica me fait face pour retourner vers sa chaise, je vois qu’elle a passé deux doigtiers, majeur index, en latex noir. Ils brillent sous la lumière, certainement graissés. Elle m’intime
— Viens là !
Quand je suis près d’elle, sa main me claque les cuisses :
— Ecarte-les !
L’autre main s’insinue entre mes cuisses, se pose sur la base de mon derrière, un doigt ganté se positionne sur mon anneau rectal, puis, sans prévenir, force l’ouverture comme un trait de feu, s’enfonce dans ma gaine rectale jusqu’à la garde, y demeure fiché. Sous la surprise, un cri m’échappe :
— Ouille !... Non, non, pas ça !
La main libre claque mes fesses par deux fois. Monica dit :
— Sage ! (D’un ton sans réplique)
Le doigt commence à se mouvoir dans ma gaine rectale. Je n’ose plus protester malgré la douleur sourde qu’il engendre. L’instinct me pousse à serrer les fesses, mais je me retiens. Enfin le doigt descend, distend mon anneau en s’agitant avant de sortir.
Monica m’alloue une claque pleines fesses, se lève :
— Ne faisons pas attendre Lara qui doit commencer à trouver le temps long.
Elle me précède dans le couloir menant à la chambre… sacrificielle. Lara est debout quand nous entrons, nue. Elle a ceint ses reins d’une large ceinture avec collé contre son bas ventre un gode assez long, au gland en forme de champignon, suivi d’une colonne cylindrique. Le préservatif de cuir qui le recouvre brille sous la lumière. C’est dû au gel dont il est enduit.
Lara me désigne le lit, bras tendu, dit :
— Met-toi à quatre pattes.
Monica s’assoit sur un côté du lit, prend ma tête sur ses cuisses quand je me positionne, caresse mon visage alors que Lara s’agenouille entre mes cuisses écartées. Je sens le gode s’engager entre mes hémisphères écartées par ses mains, chercher puis trouver mon anneau.
Lara tient mes fesses bien écartées de ses deux mains ancrées dans mes chairs, pèse sur son gode. LIRE LA SUITE
ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
d’accéder à la galerie photos privée de RdF.
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)
OFFRE DECOUVERTE (code valable 2 fois seulement)
|
|||||||
Commentaires