Briser Marianne et la reformater

Rum Bos’n Traduction Henic
mercredi 7 août 2019
par  Henic
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1. L’enlèvement

Marianne dispose l’alarme, ferme la porte de devant et la verrouille ; elle est toujours méticuleuse lorsqu’il s’agit de sécurité. Elle marche sur le petit sentier qui va de la maison à la route, elle sort pour sa promenade quotidienne de maintien en forme. Elle tire de la fierté de réussir à garder sa silhouette et marche au moins cinq kilomètres par jour. Elle a trente-cinq ans mais le corps souple d’une femme de vingt-cinq. Elle ne pèse que quarante-cinq kilos et entre facilement dans un 38. Au bilan, un beau spécimen de féminité. En ce moment, elle est seule parce que son mari, dans la Royal Navy, est toujours en mer en Extrême-Orient et que son bateau ne doit pas rentrer à Devonport avant encore neuf mois. Puis il y a un trajet de deux heures de train pour rejoindre la maison. C’est le lot des femmes de marins et elle y est habituée.
Elle se met en route et prend son rythme petit à petit. S’approchant du premier coin, elle remarque avec irritation qu’une camionnette blanche est garée sur le trottoir, à l’endroit où il est particulièrement large. C’est assez fréquent, parce qu’il y a plusieurs maisons en construction aux alentours, et que c’est commode pour les constructeurs, mais ça l’agace toujours.
Lorsqu’elle passe à côté de la camionnette, dont la porte de côté est grande ouverte, deux grandes mains la saisissent fermement, l’une sur sa bouche qui coupe un début de cri, et l’autre autour de sa taille qui attire rapidement ses quarante-cinq kilos dans le véhicule. Cela se passe si vite qu’il est peu probable que la scène ait été observée. C’est une question de secondes et la porte se referme en claquant avec une Marianne terrifiée à l’intérieur. Le moteur démarre et la camionnette se met à rouler. Personne n’a rien remarqué.
Dans la camionnette, Marianne est prise de panique, elle se débat et lance des coups de pieds. En vain. Des bras musclés la tiennent fermement, une main sur sa bouche. Elle n’a pas vu son agresseur ni le conducteur du véhicule. Elle n’a aucune idée de ce qui lui arrive mais elle n’aime pas ça.
La main qui est sur sa bouche se retire mais, comme elle prend son souffle pour crier, du ruban adhésif est plaqué sur sa bouche. L’agresseur a maintenant une main libre de plus. Il tient les mains de Marianne bien serrées dans son dos, allonge celle-ci sur le ventre sur le plancher, sur une couverture, et s’assoit rapidement sur son dos. De l’adhésif vient entourer ses poignets et ses chevilles et elle est complètement à sa merci. Satisfait de son ouvrage, l’agresseur recule pour admirer sa captive sans défense. Elle le voit à présent, basané avec des cheveux noirs, mais elle n’a aucun élément qui lui permette de le reconnaître. Que se passe-t-il ?
La camionnette rebondit sur la route et elle glisse d’un côté à l’autre dans les virages. Elle tente de calculer où ils se trouvent à partir des virages à droite et à gauche, des arrêts et des départs, mais elle perd vite toute idée de l’endroit où ils se trouvent. Une voix brusque dit :
« Il n’y en a plus pour longtemps, maintenant. C’est ensuite que ça va devenir amusant. En attendant, regardons ce que nous avons là. »
Elle le sent qui passe une main sous son chemisier puis dans son soutien-gorge, des mains calleuses attrapent ses nichons, pouce et index à la recherche de ses mamelons.
« Hmm ! Beaux nichons mais pas grand-chose en matière de tétons. Pour nous, c’est un critère de tri. »
Il retire sa main et elle est surprise qu’il rajuste son soutien-gorge et son chemisier. Puis elle sent sa main sous sa jupe qui tire grossièrement de côté sa culotte. Deux doigts se plantent dans son sexe qui est tout sec. Elle se tortille sous la douleur. Il dit :
« Ce n’est rien. Attends qu’on s’y mette vraiment. Les poils ! On ne s’occupe pas de ses poils... Ça va venir très vite. »
Elle ne s’est pas rasé la chatte depuis des années. Elle avait essayé une fois, peu après son mariage. Ce fut très excitant d’être rasée par son nouvel époux et les relations sexuelles qui avaient suivi avaient été remarquables mais elle ne pouvait pas supporter les démangeaisons et avait toujours refusé de le refaire, quelle que fût l’insistance de son mari à le lui demander.
Elle perd toute notion de temps – cela lui paraît une éternité – mais finalement, elle entend que les vitesses rétrogradent et ils tournent dans une allée. Puis ils s’arrêtent. En maintenant ? La porte coulissante s’ouvre et son agresseur la saisit ; il la jette sur son épaule comme un sac de pommes de terre et marche sous le soleil, le visage de Marianne rebondit dans le creux de son dos.
Mais ils ne restent pas longtemps au soleil. Il franchit une porte et entre dans un grand hall ; la porte se referme derrière lui avec un bruit sourd. Il la fait glisser de son épaule sur un canapé. Où est-elle ? Elle regarde autour d’elle autant que ses liens le lui permettent. C’est une grande salle, au mobilier de bon goût et coûteux, mais pourquoi est-elle là ? Ils ne sont pas seuls. Un homme mûr bien habillé l’observe avec amusement.
« Marianne ! Quelle joie de te voir. Il y a longtemps que je désirais cette rencontre. Nous allons passer de bons moments ensemble – enfin, moi du moins. Joe, emmène-la dans ses appartements. »
Son agresseur, Joe, la prend dans ses bras, franchit une porte au fond de la pièce, la porte le long d’un large couloir, jusqu’à une chambre de bonne taille où elle est jetée sans cérémonie sur un grand lit. En un tournemain, il arrache l’adhésif de son visage, ce qui lui fait pousser un cri d’agonie. Sans attendre que la douleur se calme, il enlève également l’adhésif de ses poignets et de ses chevilles.
« Il y a une douche derrière cette porte, et des habits à ta taille dans la penderie. Laisse tes frusques ici – tu n’en auras plus besoin. Je reviens dans une demi-heure, tu as intérêt à être lavée et habillée avec les vêtements fournis. La fenêtre est sous alarme et nous sommes à des kilomètres de toute habitation. Il ne sert à rien de crier au secours. »
Il fait demi-tour et s’en va, tandis qu’elle se met à sangloter. Dix minutes passent et Marianne sanglote toujours. Une clé tourne dans la serrure et Marianne s’alarme. Une jeune fille d’environ dix-huit ans entre dans la chambre, portant un plateau avec une théière fumante, un pot de lait, une tasse et une soucoupe.
« Madame, on m’a ordonné de vous apporter de quoi vous désaltérer. Il ne vous reste que vingt minutes pour vous laver et vous habiller. Je dois vous avertir que si vous êtes en retard, cela aura de sérieuses répercussions, et si j’étais vous, j’arrêterais de pleurer et j’irais dans la douche sans traîner. »
Là-dessus, elle pose le plateau sur une table basse et s’en va. La clé tourne dans la serrure. Prenant sur elle, Marianne se déshabille rapidement, en soutien-gorge et culotte, et se dirige vers la douche. Soigneusement carrelée de blanc, elle ressemble à une salle d’eau de suite classique. Elle réalise qu’elle a un besoin urgent d’uriner, le satisfait et entre dans la douche. Tout y est : une serviette de bain blanche, du savon, du shampoing… Elle ouvre le robinet et s’abandonne sous le flot d’eau brûlante. Elle se dit qu’au moins, elle ne paie pas la facture de gaz.
Elle y reste cinq minutes, se savonne et lave tous ses endroits intimes. Elle pourrait se douter qu’ils ne vont pas rester intimes très longtemps mais elle n’y pense pas. Elle se sèche rapidement, puis court dans la chambre pour se verser du thé et s’habiller comme ordonné. Elle prend une gorgée de thé et ouvre la porte de la penderie avec une certaine appréhension. Que va-t-elle y trouver ?
Elle y trouve une courte robe blanche, à sa taille, un porte-jarretelles blanc également, des bas, des chaussures blanches à hauts talons, un collier en cuir blanc avec de nombreux anneaux autour, et rien d’autre. Où sont le soutien-gorge et la culotte ? Tous ses habits à elle ont disparu. Le temps passe. Il ne reste qu’à passer ces vêtements. Ses cheveux sont en désordre, elle Remarque une coiffeuse avec une brosse à cheveux, des miroirs et un flacon d’un parfum coûteux.
Alors qu’elle commence à brosser ses longs cheveux, ses yeux tombent sur un post-it :
« Le parfum doit être mis sur chaque mamelon, ton sexe, ton anus et ton clitoris. N’y manque pas. »
Pourquoi est-elle là ? Cela devient intrigant et, elle doit l’admettre à son corps défendant, elle commence à être excitée. Il ne reste que très peu de temps. Elle tamponne le parfum comme on le lui a prescrit, et tressaille de douleur lorsque l’alcool brûle ces parties si sensibles. S’habiller, maintenant. Le porte-jarretelles, les bas, la robe… Elle réalise avec horreur qu’elle couvre à peine son sexe. Enfin, les chaussures. Elle n’en a jamais porté avec d’aussi hauts talons et elle s’inquiète de tomber. Juste à temps.
La serrure fait du bruit et la porte s’ouvre. La même jeune fille entre, il semble que ce soit une servante, qui lui dit :
« Veuillez me suivre, s’il vous plaît »
Elle se retourne et s’en va. Marianne crie :
« Attendez ! Où sommes-nous ? Où allons-nous ?
— Vous le découvrirez bien assez tôt, répond la fille qui sort de la chambre. »
Marianne s’efforce de rester debout, les talons la rendent maladroite et elle marche de manière chaloupée, comme un bateau par gros temps. Elle cliquette le long des couloirs – c’est à l’évidence une vaste maison – et entre dans une grande pièce somptueusement meublée. L’homme bien habillé qu’elle a rencontré une demi-heure auparavant s’y trouve, un verre de xérès à la main.
« Ah, Marianne, vous ressemblez à un tableau. »
Puis son visage s’assombrit.
« Mais qu’est-ce que cela ? Où est votre collier ? Vous m’avez désobéi ! Vous allez apprendre l’obéissance ici, dès ce soir. »
Marianne pâlit.
« Je ne me suis pas rendu compte. Je suis désolée.
— Vous allez l’être ! Appelez-moi Monsieur. Tournez-vous et penchez-vous. MAINTENANT ! »
La peur se change en colère :
« Je ne vais pas montrer mon sexe à un inconnu pervers, et je ne vous appellerai pas monsieur. À présent, laissez-moi partir. »
Un demi-sourire apparaît sur le visage de l’homme.
« J’espérais que ce serait votre réponse. Maintenant, je peux m’y prendre de la manière amusante. Joe, vous savez quoi faire. »
Joe se lève d’une chaise dans le coin – elle n’avait pas remarqué qu’il était là – et se dirige rapidement vers elle. Il la saisit en enroulant son grand bras autour de sa taille et la porte à moitié ; il passe une porte et descend une volée d’escalier. Ils sont à l’évidence au sous-sol. La pièce dans laquelle ils pénètrent n’a pas de fenêtre, pourtant, un peu de lumière naturelle passe à travers une grille au plafond. Des spots s’allument à leur entrée et elle crie en découvrant le spectacle :
« NON ! Je suis désolée ! Je ferai comme vous dites !
— Trop tard, miss… »
C’est la seule réponse qu’elle obtient.
Elle se retrouve écartelée entre deux gros poteaux, les bras attachés aux coins supérieurs par des cordes attachées à ses poignets, qui passent dans des poulies situées au niveau du plafond, et qui sont tirée jusqu’à ce qu’elle soit sur la pointe des pieds. Cela soulève sa robe, et elle sait que sa toison pubienne est tout à fait visible. Malgré sa situation plutôt fâcheuse, sa chatte commence à s’humidifier du fait de l’excitation sexuelle ! C’est là une expérience nouvelle.
Joe recule pour admirer son ouvrage lorsque le Maître entre dans le donjon. Marianne hoquette de surprise. Avec lui se trouve une dame qu’elle avait toujours considérée comme une amie, Hélène, qui habite sur la route, juste à côté de l’endroit où elle a été enlevée.
« Surprise de me voir, Marianne ? Je parie que tu l’es ! Tu n’as jamais imaginé à quel point je voulais te baiser et te rabattre le caquet. Toi avec ton corps parfait, ta maison parfaite, ton mari parfait. Et maintenant, je t’ai à ma merci. Avant de quitter cette propriété, tu seras devenue une salope à faire souffrir, une esclave sexuelle pour quiconque voudra baiser un de tes trous, vivant pour le baiser du fouet sur tes nichons, ton cul et ton con ! Je vais aimer les quelques mois à venir ! »
Marianne est dévastée. Son amie l’a trahie. Elle est menacée de tortures indicibles ; elle est à ce moment écartelée entre deux poteaux, son sexe dénudé est visible par toute personne dans la pièce. Elle sanglote encore et encore. Son apitoiement sur elle-même est interrompu par une douleur aiguë entre les jambes, qui lui coupe le souffle. Hélène, qui fut son amie, lui a donné un fort coup de fouet vers le haut, sur la chatte. Elle lutte pour reprendre sa respiration, la douleur diminue graduellement. Hélène siffle :
« Ferme-là ! Tu n’as encore rien vu ! »
Marianne se tait, à part un reniflement de temps en temps. Le Maître prend la parole :
« Maintenant que nous avons ton attention, nous allons te dire comment vont se passer les semaines et les mois à venir. Tu vas apprendre l’obéissance immédiate et totale. Tu vas d’abord apprendre à accepter la douleur, puis à l’aimer, puis à y devenir accro. Tu vas apprendre la loyauté totale et inconditionnelle à tes maîtres et maîtresses, et les leçons commencent MAINTENANT ! »
Sur ces mots, il arrache complètement et d’un seul coup sa robe de son corps. À présent vêtue seulement d’un porte-jarretelles, de bas et de chaussures à hauts talons, elle ne s’est jamais sentie aussi ouverte et vulnérable.
« Le moment est venu de ta première leçon. »
Elle sent la tension qui se relâche dans ses bras, car les cordes sont détachées. Son soulagement est néanmoins de très courte durée. Immédiatement, elle est tirée en avant et courbée sur un banc de faible hauteur, rembourré de cuir. Ses bras sont à nouveau écartés, attachés à des anneaux rivés dans le sol. Cette fois, ses jambes sont également écartelées, si largement qu’elle a l’impression que sa chatte va se déchirer. Lorsqu’on a fini de l’attacher, le banc est hissé, ce qui appuie plus encore son corps dessus. Ses pieds quittent le sol, et son cul est largement relevé.
« On va commencer avec douze coups de canne sur ton cul. Cette fois, tu as le droit de crier. Après chaque coup, tu comptes et tu dis « donnez-moi encore de la canne, s’il vous plaît Monsieur ». Comme punition supplémentaire pour n’avoir pas mis ton collier d’esclave, tu recevras six coups de fouet sur ton anus et ta chatte. Là encore, tu compteras et en demanderas d’autres. Tout manquement te vaudra un châtiment supplémentaire. À la fin tu diras « Merci Monsieur et Maîtresse Hélène, de m’enseigner les erreurs dans mes manières ». Maîtresse Hélène et moi allons nous partager le châtiment. Nous prendrons des photos intimes pendant toute la durée de ton entraînement et elles seront publiées sur différents sites web, à commencer par mon propre compte Flickr. »
Pendant les dix minutes qui suivent, Marianne voit de nombreuses fois le flash d’un appareil photos, le plus souvent dirigé vers sa chatte et son anus, mais aussi sur son visage et ses nichons. On lui dit :
« On prendra d’autres photos après chaque exercice. Le but de ce châtiment est seulement de t’introduire à la douleur sexuelle et de commencer ton addiction à la douleur. Profites-en. C’est Maitresse Hélène qui va commencer. »
C’est ainsi que commence la descente de Marianne vers l’esclavage sexuel. Sans avertissement, son cul se transforme en une boule de feu, lorsqu’Hélène assène la canne aussi fort qu’elle peut. Une seconde de silence et Marianne hurle de douleur. Hélène lui accorde trente secondes pour se calmer, puis elle dit :
« Nous attendons, salope. »
À travers ses dents serrées, Marianne se force à dire :
« Un. S’il vous plaît, donnez-moi encore de la canne.
— Certainement, salope. Je te l’accorde volontiers. »
La canne chante à nouveau et Marianne crie. Après six coups, Hélène commente :
« Ce fut fabuleux, j’ai presque joui au dernier coup ! »
Là-dessus, elle caresse le cul de Marianne, passe ses doigts sur les marques et se permet de les enfoncer dans sa chatte. Elle l’est ! Elle est mouillée ! Elle se met à la baiser avec ses doigts et sent Marianne qui se tortille de plaisir malgré elle. Ses doigts atteignent son clitoris et se mettent à lui donner des chiquenaudes, ils sont récompensés par un grognement de plaisir. À nouveau dans sa chatte, ce qui fait couler sa cyprine, puis une caresse sur l’anus, en glissant un doigt lubrifié à l’intérieur. Puis elle se retire complètement en disant :
« Ça suffit. Au tour du Maître, à présent. »
Le maître sourit, il a apprécié le spectacle.
« À mon tour, maintenant, ma petite garce. Voyons quel effet je te fais. »
Il se recule et abat la canne, entrelaçant de nouvelles marques avec les anciennes. Aux intersections, le sang se met à couler et les zébrures commencent à gonfler. Marianne souffre atrocement. La canne pique comme une folle, puis s’éloigne, laissant une douleur plus grande encore, et cela se répète au coup suivant. Elle est au-delà des cris, chaque coup lui arrache un grognement et « Huit. S’il vous plaît, donnez-moi encore de la canne. » Il y a aussi une nouvelle sensation, à laquelle elle ne s’attendait pas. Le doigtage d’Hélène l’a excitée – elle n’avait jamais envisagé le sexe avec des femmes jusqu’ici, et cette nouvelle excitation est une surprise complète. Enfin, douloureusement, elle croasse :
« Dix. Merci Monsieur. »
Hélène caresse à nouveau le cul de Marianne, elle plonge ses doigts dans ce doux pot de miel en disant :
« Sais-tu que ton con est exactement à la bonne hauteur pour ma langue ? J’attends cet instant depuis que tu emménagé dans le village. »
Elle s’agenouille derrière la captive et commence à lécher et sucer, sa langue trouve son chemin avec gourmandise dans une zone délicieusement odorante, et ses doigts donnent de petits coups à son clitoris. Même lorsque son mari avait voulu en faire autant, Marianne avait refusé disant « ce n’est pas naturel ». À présent qu’elle y est forcée, et par une femme, elle commence à l’apprécier. Il y a un frisson particulier à être humiliée de la sorte, son anus et sa chatte totalement accessibles à quiconque est dans la pièce, et à être attachée serré à un banc. Autant qu’elle le peut, elle se tortille de plaisir. L’action de la langue se poursuit, jusqu’à ce qu’Hélène décide que Marianne est au bord de l’orgasme. Elle cesse. Marianne grogne de déception.
Le maître a observé la scène avec attention. Il voit que l’autre main d’Hélène s’agite sous sa jupe, et il sait qu’elle ne porte jamais de culotte. Il intervient :
« C’est assez de plaisir pour elle. Nous en arrivons à la vraie punition. Portez-la sur la table et couchez-la sur le dos. »
On la libère de ses liens et on la met debout. Elle chancelle mais reste droite. Ils lui laissent quelques instants pour que le sang circule à nouveau dans ses membres, puis ils la conduisent à travers la pièce vers une table capitonnée. Ils l’y placent sur le dos, la tête penchée en arrière par-dessus le bord. Ses bras sont étirés de côté et attachés. Ses jambes sont placées par-dessus sa tête et tendues aussi de côté, aussi largement que possible, et attachées bien serré. On ne voit d’elle que son cul, son anus et sa chatte. C’est ce qui va constituer la prochaine cible.
« La frappe précédente était un échauffement. Celle qui vient est une punition pour n’avoir pas mis ton collier d’esclave comme tu en avais reçu l’ordre. Six coups de fouet directement sur la chatte et l’anus. Nous allons l’apprécier, mais je subodore que tu n’en feras pas autant. Pourtant, tu ferais mieux de t’y habituer : il y en aura beaucoup de semblables à l’avenir. »
Marianne s’étouffe de terreur. Elle ne va pas pouvoir supporter ça. Les dernières heures ont été un horrible cauchemar et cela empire.
« Hélène, souviens-toi que nous souhaitions utiliser sa chatte et son cul dans un proche avenir. Vas-y doucement. Je commence avec trois coups de tawse sur son anus, tu finiras avec trois coups de chat-à-neuf-queues sur sa chatte. »
Il s’empare de la tawse, fait courir légèrement son extrémité en cuir sur la zone tendue de la cible, et son anus se contracte à ce contact. Il fait la même chose avec sa chatte et est récompensé par l’humidité qui en sourd. Il se sert de ses doigts pour la caresser, il fait rouler son clitoris entre le pouce et l’index et apprécie la manière dont elle avance ses reins vers lui. Il recule et abat soudain durement la tawse contre son trou du cul, qu’il atteint du premier coup avec un « tchac » satisfaisant. Il recommence à la caresser, insérant cette fois un doigt dans sa chatte humide, la doigtant gentiment pendant plusieurs minutes, tandis que sa victime est de plus en plus excitée.
« C’est le moment du numéro deux. »
La tawse chante à nouveau et fait passer son bouton de rose au rouge cerise. Quelques minutes de plus de doigtage et d’excitation clitoris, et c’est le moment du numéro trois. Il est satisfait de voir qu’inconsciemment, Marianne lève son cul vers la tawse lorsqu’il l’abat fort contre son anus.
« Je sais qu’Hélène va aimer administrer les trois derniers coups, dit-il, et moi, je vais aimer regarder. »
Hélène a un petit sourire.
« Je suis impatiente ! »
Elle parcourt la chatte exposée de Marianne avec les lanières du fouet, ce qui provoque des gémissements et plus de lubrification de la part de la victime. Sans prévenir, son bras se balance et les lanières de cuir avec des nœuds s’abattent sur son con. Marianne hurle comme une banshie – elle n’a jamais éprouvé de douleur semblable auparavant. La souffrance diminue peu à peu et ses cris se transforment en sanglots. Elle sent des doigts qui caressent sa chatte et jouent doucement avec sa chair gonflée, tapotent délicatement son clitoris, un doigt s’insère en elle, puis deux, qui la baisent gentiment et augmentent encore son excitation. Un doigt caresse la fente derrière elle, passe lentement sur son trou arrière – plus une chatouille, en fait. Elle pousse un petit cri aigu et bouge son cul vers le doigt, mais celui-ci s’en va.
Hélène murmure dans l’oreille de Marianne :
« Après le plaisir doit venir la souffrance. »
Le chat-à-neuf-queues plante ses serres dans la chatte tendre et humide de Marianne, suscitant un autre cri désespéré de l’infortunée victime. Alors que l’horrible douleur commence à se calmer, elle sent la respiration d’Hélène sur sa chatte, et une langue qui lèche son anus et son con. Des couinements supplémentaires émanent de Marianne, ainsi que de la cyprine qui s’écoule. Hélène saisit le clitoris engorgé de Marianne entre ses dents, le grignote et le tire, tandis que les reins de Marianne se mettent à tressauter sauvagement, après un supplément de ce traitement des plus agréables. Hélène l’avertit :
« Pas si vite, jeune dame. Nous n’avons pas encore fini ta punition. Prépare-toi pour le dernier. Celui-là va faire MAL ! »
Ignorant l’avertissement du maître de faire doucement, elle lâche le chat-à-neuf-queues et saisit un fouet à chien, fin et cinglant, arme son coup et abat fort son fouet sur la chatte engorgée, l’extrémité vient frapper le clitoris de Marianne. Pendant une demi-seconde, il y a un étonnant silence. Puis ce silence vole en éclats sous l’effet d’un hurlement, et Marianne s’agite violemment dans ses liens.
On lui accorde quelques minutes pour que la douleur diminue, avant qu’Hélène recommence ses caresses, avec ses doigts, ses lèvres et sa langue. Elle murmure :
« C’est si parfumé ! Si délicieux ! Plus de douleur aujourd’hui, juste du plaisir. Dans quelques mois, tu ne seras plus capable de réussir à soulager ta tension sexuelle sans la souffrance. »
La langue d’Hélène trouve son chemin dans sa chatte, lèche son passage arrière, ses dents mordillent son clitoris. Elle s’exclame :
« Il faut que ces poils disparaissent, et vite ! J’en ai plein les dents. »
Pendant ce temps, le maître lui pelote les seins en murmurant :
« Une poignée britannique standard, mais plus qu’une poignée est du gaspillage. Ses mamelons sont une déception, pas grand-chose de ce côté-là, mais nous pouvons les travailler pendant les mois à venir. »
L’excitation sexuelle de Marianne s’est considérablement refroidie pendant cette dernière fustigation, mais l’attaque renouvelée d’Hélène avec sa langue la rend vite bouillante à nouveau, elle se tend dans ses liens. Soudain et sans prévenir, ça déborde et elle hurle son orgasme au monde entier. Le Maître commente :
« C’est ça ma fille. Ça suffira pour aujourd’hui. Hélène, ramène notre nouvelle garce dans sa chambre. »
De retour dans sa chambre, la porte verrouillée derrière elle, Marianne trouve un plateau garni d’une nourriture qui dégage de délicieux arômes, et d’une bouteille de vin. Son esprit est pris dans un tourbillon… Où est-elle ? Quel va être son avenir ? Reverra-t-elle son mari ? Pourquoi a-t-elle laissé son corps la trahir, en parvenant à l’orgasme d’une manière si humiliante ? Mais elle réalise qu’elle est affamée, elle mange le repas et boit plus de vin qu’elle ne devrait. Puis une grande douche, et au lit. Que va apporter le lendemain ?
Le verrou de la porte tourne et la porte s’ouvre. Le Maître entre :
« Tu as bien débuté. Maintenant, voyons comment tu baises ton nouveau maître… »
La nuit va être longue…LIRE LA SUITE

Sommaire

1. L’enlèvement 2
2. L’interrogatoire 10
3. Entraînement de base 20
4. Entraînement lesbien 37
5. Le régime d’amélioration des mamelons et du clitoris 56
FIN 64




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Commentaires

Logo de Henic
vendredi 9 août 2019 à 15h26 - par  Henic

Votre commentaire est exagérément flatteur mais ma vanité naturelle, qu’il flatte, vous en remercie.

Logo de Sylvain de Perry
jeudi 8 août 2019 à 15h25 - par  Sylvain de Perry

Je ne cacherai pas que j’adore les récits traduits par Hénic. Même si celui-ci est très violent, sans connaître le texte original, on sent qu’il est TRES, TRES, bien traduit, parfaitement maîtrisé. Une agréable lecture où, à titre personnel, j’ai apprécié la fessée manuelle, tout en regrettant qu’il n’y en eût pas d’avantage. M’enfin... une SUPER traduction. Sylvain.