Christiane

lundi 20 août 2018
par  Marsajean
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La rencontre

—  Mon chéri, il faut que je te parle. C’est très sérieux, c’est au sujet de ce qui c’est passer pendant ton absence.

—  Ma chérie, je crois que cela attendra que je me commande un bon verre au bar. Quoique tu aies à me confesser, je veux l’entendre assis dans un confortable fauteuil avec un bon verre de cognac à la main.

—  Comme tu voudras mon chéri.

Je dois donc attendre que mon mari soit installé confortablement dans un fauteuil du bar de l’aéroport avec une bouteille de cognac à portée de main, je crois qu’il va en avoir besoin.
Comme chaque fois qu’il part aussi longtemps, mon époux me fait ses recommandations avant son départ et à chaque fois il ajoute que j’ai le droit de m’amuser comme j’en ai envie, que je peux même prendre un ou plusieurs amants pour satisfaire mes besoins en la matière. Je dois dire que chaque fois je souris et lui promet que si un bel homme passe à ma portée, je le viole. A chaque fois quand il rentre, il me demande après m’avoir embrassée si je me suis bien amusée en son absence et, chaque fois je lui raconte que j’ai passé mon temps à aller au cinéma avec ma meilleure amie et que le reste du temps j’ai fait du shopping pour dépenser l’argent qu’il a gagné durement. Pourtant cette fois, j’ai enfin autre chose à lui raconter, il l’a vu tout de suite et c’est pourquoi il a voulu attendre d’être confortablement installé dans un fauteuil avec un bon verre pour entendre ma confession.

*
* *
* * *

C’est la deuxième fois que je vais conduire mon époux à l’aéroport cette année et cette fois il est parti pour deux longs mois pour la construction d’un barrage au fin fond de la brousse africaine. S’il arrive à m’appeler deux fois sur ces deux mois, je pourrai m’estimer heureuse.
A peine rentrée, comme il fait un temps superbe, je décide de sortir et d’aller boire une bonne bière bien fraîche dans une brasserie de la ville. Je suis vêtue d’une petite robe d’été toute simple et assez courte pour que je fasse attention que je dois m’asseoir.
Je ne sais pas pourquoi, peut-être par distraction, je m’assieds nonchalamment sur la première chaise venue sans me rendre vraiment compte que mes cuisses sont largement dévoilées. Dès que le garçon se présente, il est distrait par la vue de mes cuisses nues et offertes. Encore une fois, je ne saurais dire pourquoi mais je reste sans réaction et me contente de passer ma commande.

—  Une bière bien fraîche, s’il vous plaît.

—  Bien Heu ! Madame, me répond le garçon en se retournant.

Son embarra me fait sourire. Je prends mon sac et entreprends de refaire mon maquillage. Tandis que je me remets un peu de rouge à lèvre, je vois juste devant moi, deux tables plus loin, un jeune homme d‘à peine vingt ans si ce n’est moins, qui a les yeux river sur mes jambes. Il me faut jeter un regard discret sur mes jambes pour me rendre compte que j’ai ouvert légèrement les cuisses et que les yeux du jeune homme fixe plutôt ma petite culotte blanche que mes cuisses. J’aurais dû refermer les cuisses mais pour une raison encore inconnue de mon cerveau, je me suis retrouvée à écarter les genoux insensiblement pour offrir au jeune homme un spectacle plus affriolant encore.
Buvant tranquillement ma bière en faisant semblant de ne rien voir, je suis un peu surprise quand le jeune homme vient s’installer à ma table.

—  Excusez-moi madame, vous permettez que je m’assoie à votre table ?

—  Heu ! Oui pourquoi pas.

Cette fois, c’est moi qui suis embarrassée, même si cela me flatte d’être l’objet de ses désirs, je suis quand même plus âgée que lui mais cela ne semble pas le tracasser plus que ça.

—  Vous êtes très belle, me dit-il d’une voix sure et claire. Je m’aventure peut-être mais j’aimerais savoir ce que vous faites ce soir.

—  Doucement jeune homme, je ne suis pas celle que vous croyez. J’ai presque l’âge d’être votre mère.

—  J’ai vingt ans et je suis majeur, s’écrie-t-il comme s’il était outré que je le croie plus jeune.

—  Et moi j’en ai trente-cinq et il s’en faut de peu que je sois en âge d’être votre mère.

—  Me permettez-vous de vous offrir un verre ?

—  Pourquoi pas ! Si cela vous fait plaisir.

—  Garçon !

Comme s’il n’attendait que ce signal, le jeune garçon arrive à notre table.

—  Deux bières, s’il vous plaît !

—  Bien monsieur, tout de suite.

Dès que le garçon nous quitte, je m’adresse au jeune homme.

—  Vous auriez pu me demander ce que je voulais boire, il me semble.

—  Excusez-moi mais je croyais que vous seriez d’accord pour une bière, vous en buvez déjà une.

—  Justement, je ne sais pas si je suis capable d’en supporter une deuxième, je risque de faire des folies.

—  Garçon, trois bières, s’écrie-t-il en riant.

Puis, me regardant dans les yeux.

—  Sérieusement, vous ne supportez pas l’alcool ?

—  Je vous rassure tout de suite, ce n’est pas deux bières qui vont me rendre saoule, il m’en faut bien plus.

—  Tant mieux car j’ai horreur des femmes qui boivent.

—  Nous sommes donc d’accord car moi j’ai horreur des hommes qui boivent. Généralement ils se croient devenus des dieux vivants quand ils sont saouls, c’est comme ça que certains se mettent à frapper.

Le jeune homme sourit.

—  Vous savez qu’on ne s’est pas encore présenté ? Il faut réparer ça, vous ne croyez pas ?

—  Si bien sûr, je m’appelle Christiane mais mes amis m’appellent Chris.

—  Enchanté, moi c’est Gille me dit-il en me tendant la main.

—  Bonjour Gille, lui dis-je en serrant sa main.

Les présentations faites, nous bavardons de la pluie et du beau temps pendant près d’une heure. Nous en sommes à la quatrième bière quand je me rends compte qu’il est près de dix-huit heures et qu’il faut que je rentre même si personne ne m’attend, je lui fais croire le contraire. Il est sympathique mais je n’ai pas vraiment envie de m’encombrer avec un petit jeune qui voudra me suivre comme un petit toutou.

—  Il est temps que je rentre, on m’attend.

—  Votre mari, un enfant ou bien un tendre moment ?

—  Peut-être les trois qui sait ?

Je me lève et le laisse seul à la terrasse du café. Je fais trois fois le tour du pâté de maison pour être sure qu’il ne m’a pas suivie. Je passe le reste de la soirée sans plus penser au jeune homme en regardant une débilité de Talk-show à la télévision.
Le lendemain, alors que je me promène en ville, machinalement, je me retrouve à la même terrasse que la veille. J’ai le cœur qui bat un peu plus vite alors que je m’approche. Mes yeux scrutent les tables à la recherche d’un visage, je sens mon cœur rater un battement, il est là, il sourit quand il me voit. J’ai l’impression que je viens de faire une grosse bêtise.

—  Hou ! Hou ! Chris !

Tout le monde se tourne vers le jeune homme qui crie, debout en agitant la main droite. Impossible de faire semblant de ne l’avoir pas vu, il est trop bruyant mais ais-je envie de ne pas le revoir ?
De toute façon, le sort en est jeté, je me vois mal faire comme si je ne le connaissais pas avec le bruit qu’il vient de faire. Ce qui me dérange le plus c’est le fait qu’il ait attiré l’attention des autres consommateurs sur ma petite personne, je n’aime pas beaucoup être la cible des regards. J’essaye de rester zen et de faire comme si de rien n’était. Je m’approche de Gille qui ne trouve rien de mieux que de venir à ma rencontre et de m’embrasser, heureusement sur la joue. Il m’entraîne vers sa table et appelle le garçon pour commander deux bières, encore une fois sans me demander mon avis. Décidément ce jeune homme est un peu autoritaire et égoïste, il va falloir que je fasse très attention.

—  Je suis venu à tout hasard mais j’espérais bien que vous viendriez vous aussi. Je suis content de vous voir.

—  Normalement je ne devais pas venir par ici mais je me suis trompée de route.

Le jeune homme me sourit d’un air narquois.

—  C’est la vérité ce mensonge ?

Je suis bien obligée de reconnaître que je ne me suis pas égarée et que c’est d’une manière délibérée que je me retrouve sur la terrasse du café.

—  Mea culpa, j’avoue que je suis venue exprès et sans me tromper.

—  Pour me voir ?

—  Je n’en sais rien, une partie de mon cerveau m’a dit de venir et l’autre de m’enfuir loin, comme vous le voyez, c’est la partie non raisonnable de mon cerveau qui a gagné.

—  Vous croyez vraiment que ce n’est pas raisonnable de me revoir ?

—  Je ne sais pas encore, dis-je d’une petite voix.

Le garçon revient avec nos deux bières et les déposes sur la table avec le ticket. Il ne peut s’empêcher de regarder mes cuisses. Encore une fois, j’en suis très friande, j’ai mis une robe très courte et je dois faire attention quand je pose les fesses sur une chaise.
Lentement Gille se penche vers moi et sous le regard ébahi du garçon glisse une main sur mes cuisses qu’il écarte doucement avant d’avancer la main vers mon pubis. Je deviens rouge pivoine et resserre les cuisses en donnant une petite tape sur les doigts du jeune homme qui retire sa main en souriant.

—  Ta peau est douce comme de la soie, me susurre-t-il d’une voix chaude et sensuelle.

J’ai quelques difficultés à déglutir et je sens une bouffée de chaleur m’inonder tout le corps. Sans même y réfléchir, je prends mon verre et le vide d’une traite.

—  Un autre, dis-je au garçon, je vais en avoir besoin.

Je viens de comprendre que je ne finirai pas la journée sans tromper, enfin, mon mari. Je ne pourrai résister à l’envie pressante que j’ai de faire l’amour avec Gille, jamais je n’ai, autant, eut envie de sentir des mains sur mon corps comme en cet instant. Si je me laissais aller, je crois que je dirais au jeune homme de payer les verres, que nous allons chez moi parce que nous avons mieux à faire que de boire de la bière à la terrasse d’un café. J’arrive pourtant à me calmer mais, ce n’est pas l’alcool qui va arranger mon problème, au contraire.
A peine le garçon a-t-il tourné le dos, que la main de Gille revient sur mes cuisses, cette fois, elle va jusqu’à caresser le fin tissu de mon string. A nouveau je serre les cuisses mais j’attends une bonne dizaine de secondes pour repousser la main de Gille. Je sens mon ventre prendre littéralement feu, mes seins se gonflent dans mon soutien-gorge et me petits tétons tentent de percer la soie des bonnets, à me faire mal.
Je suis une femme raisonnable et je dois résister mais c’est très dur. Je ne peux quand même pas me laisser caresser le sexe dehors au vu et au su d’une dizaine de personnes qui ne semblent pas perdre une miette du spectacle que nous leur offrons.

—  Il faut que tu arrêtes, dis-je d’une voix paniquée au jeune homme.

Il sourit et ses yeux pétillent de malice.

—  On se tutoie si je comprends bien, c’est un grand pas en avant. Tu es belle quand tu rougis.

J’aime autant ne pas répondre de peur de dire une idiotie du genre « on va chez moi ou chez toi ? ». Il faut absolument que je trouve le moyen de reprendre le contrôle de la situation. Je sais déjà que je suis perdue et que je finirai dans le lit de Gille mais j’aime autant que ce soit moi qui en décide, du moins en apparence.
Quand le garçon revient avec ma bière, pour essayer de garder un tant soit peu de dignité, je prends mon sac pour le payer. D’un geste maladroit à cause de mes mains qui tremblent, mon sac se renverse et tombe sur le sol. Pour tenter de le rattraper, j’écarte les cuisses et offre aux deux homme une vue imprenable de mon string qui couvre à peine mon intimité. J’ai pu attraper mon sac mais en fermant brusquement les cuisses, il s’ouvre à nouveau et quelques menus objets typiquement féminins tombe par terre. Je me soulève pour mieux me pencher et récupérer ce qui est tombé mais, un petit vent frais me fait me souvenir que ma robe est très courte et que je suis en train d’offrir une vue splendide sur mes globes fessiers aux clients qui sont assis derrière moi.
Instinctivement, je m’abaisse pour protéger la vue de mon derrière mais pour se faire je suis obligée d’entrouvrir à nouveau les cuisses et ce sont les deux jeunes gens qui ont à nouveau leur regard fixé sur mon entre jambe. De pivoine je deviens pourpre et ce n’est pas l’aide de Gille qui change quoique ce soit d’autant plus qu’il me tend avec un sourire aux lèvres, deux préservatifs.
C’est certainement Gérard qui a dut les glisser dans mon sac avant son départ. Je finis par prendre mon porte-monnaie et je paye le garçon qui n’attend même pas son pourboire et s’en va en sifflotant vers une autre table.
Je me lève, prends mon verre, le vide entièrement avant de le reposer sur la table et de prendre la main de Gille que j’entraîne vers ma voiture qui se trouve garée à quelques centaines de mètre de la brasserie.
Ce n’est que quand je suis assise au volant que je parviens à retrouver un semblant de calme. Sans se faire prier, Gille est monté dans la voiture et s’est assis sur le siège passager. Je démarre et je me dirige à toute vitesse vers mon domicile. Après toutes ces émotions, j’ai besoin de me défouler et Gille fera parfaitement l’affaire.
A peine entrée dans la maison, je me tourne vers le jeune homme et je l’embrasse à pleine bouche. Ma langue s’infiltre dans sa bouche à la recherche de sa langue. Mes mains, comme si elle avait leur propre vie, commence à déshabiller le jeune homme qui n’est pas en reste. Je suis la première en string et soutien-gorge. Avec impatience Gille m’arrache littéralement mon soutien et sa bouche prend possession de mes seins tandis que ses mains s’acharnent sur le string qui refuse de se dégager de mes fesses.
Enfin nous sommes nus tous les deux et je l’emmène vers le salon et je me laisse tomber sur le grand tapis persan qui se trouve juste devant le feu ouvert, éteint pour le moment.
Gille se jette directement sur moi et m’écarte les cuisses et de ses doigts malhabiles il entrouvre ma chatte pure y enfoncer son sexe raide et gonflé de désir. Je pousse un long soupir de plaisir quand sa queue se fraye un chemin dans ma chatte ruisselante. Il ne nous faut pas longtemps pour jouir en poussant des petits cris rauques. Gille ne pense même pas à se retirer pour éjaculer et je sens son sperme se répandre dans mon vagin, heureusement que je suis stérile et que je ne risque pas d’être enceinte. J’ai eu un petit problème aux ovaires et j’ai subi une hystérectomie il y a quelques années.
Nous restons un long moment l’un dans l’autre le temps pour son sexe de reprendre vigueur toujours fiché dans mon ventre. Il m’embrasse goulûment en me pelotant les seins, je dirais qu’il les malaxe comme si ils étaient en caoutchouc.
Il pince doucement les bouts qui restent durs et raides. Quand sa queue a repris des proportions convenables, il recommence à se faire aller en moi et bientôt, je sens le plaisir reprendre dans mon ventre.
Trois fois de suite il me fait jouir avant de se retirer et venir mettre son sexe gluant de ma mouille et de son sperme, à ma bouche. Je n’hésite pas une seconde à ouvrir les lèvres pour prendre son engin que je suce et lèche avec délectation.
Cette fois, c’est au fond de ma gorge qu’il a décidé de jouir et je ne peux faire autrement que d’avaler les longs jets de sperme qui sortent en saccade de son sexe, ce jeune homme à une réserve de sperme incroyable. Puis, je me love dans ses bras et nous finissons par nous endormir quelques heures.
Il commence à faire sombre quand j’ouvre enfin un œil. Gille n’est plus à mes côtés, il est assis dans un fauteuil et joue avec son téléphone portable. J’ai un petit pincement au cœur en comprenant qu’il vient de prendre des photos de mon corps offert. Quand il se rend compte que je suis éveillée, il vient se recoucher et me montre les photos qu’il vient de prendre. Je suis endormie et complètement ouverte mais aussi totalement nue, impossible de ne pas me reconnaître. Un moment j’ai envie de lui demander d’effacer les photos mais j’y renonce principalement parce que je ne connais rien au fonctionnement des appareils photos numérique et je suis à peu près certaine qu’il va refuser. Cela me gêne un peu d’être nue en photo sur le téléphone portable d’un petit jeune homme qui va certainement se vanter de sa bonne fortune. D’un autre côté, j’ai enfin sauté le pas et je ne suis certainement pas prête de m’arrêter. Malgré tout je ne peux m’empêcher de lui poser une question qui me tracasse un peu.

—  Tu ne vas quand même pas les mettre sur Internet ?

Il sourit de son sourire d’ange avant de me répondre de sa voix chaude.

—  Peut-être mais je te promets de flouter ton visage pour qu’on ne te reconnaisse pas. Je ne voulais pas prendre les photos mais tu étais tellement belle ainsi que je n’ai pas résisté.

Pousser par une pensée perverse, je lui demande d’envoyer les photos à mon mari.

—  A ton mari, tu veux qu’il me tue ?

—  Ha ! Ha ! Rassure-toi, il ne te tuera pas, au contraire, il va certainement te payer un bon gueuleton pour avoir été le premier à coucher avec sa femme, depuis le temps qu’il attend que je saute le pas.

—  Quoi ? Tu veux dire que c’est la première fois que tu trompes ton mari ?

—  He oui mon beau et jeune Apollon, tu es le premier qui a cet honneur. J’espère que tu seras digne de cette faveur.

—  J’en suis fier, me répond-t-il en m’embrassant les seins.

Ses caresses commencent à se faire plus précises et je dois me lever pour lui échapper, j’ai envie de prendre une douche avant de refaire l’amour.

—  Arrête, j’ai besoin d’une douche.

—  Excellente idée, on va faire l’amour sous la douche, me dit-il en me prenant la main. Elle est où la salle de bains dans cette baraque ?

—  Ce n’est pas une baraque mais une maison et la salle de bain se trouve à l’étage. Viens mon grand sauvage, je te montre le chemin, dis-je en l’embrassant sur les lèvres.

Une heure plus tard, nous descendons pour nous restaurer après une séance de Dieu le père sous le ruissellement de la douche. Cet homme va finir par m’épuiser, il semble être infatigable et son sexe est en permanence prêt au joyeux combat de l’amour.
Il sait me faire crier de plaisir mais préfère prendre son plaisir avec ma bouche. Cela ne me gêne pas vraiment mais quand j’ai joui je suis un peu dans les vapes, je dois me concentrer pour le sucer convenablement et le faire jouir.
On reste nus pour le repas. J’ai quelques plats tout prêts à passer au micro-onde qui ont été engloutis en moins d’une demi-heure. Je ne sais plus combien de fois il m’a fait jouir mais, en me levant le lendemain matin, je constate que j’ai des cernes sous les yeux et que je vais devoir prendre quelques heures de repos. Pour cela, il va falloir que mon jeune amant retourne chez lui parce que s’il reste chez moi, je sens qu’on ne va pas être sage longtemps. Il doit être épuisé aussi car il ne discute pas quand je lui fais part de mon idée.

—  Tu devrais rentrer chez toi, prendre une bonne douche bien chaude et aller te coucher.

—  D’accord mais alors, je viens te chercher ce soir et on fait une virée dans les boîtes ?

—  Pourquoi pas, lui dis-je, mais pas avant neuf heures, j’ai besoin de dormir au moins douze heures.

—  A ce soir, me dit-il en m’embrassant avant de franchir la porte d’entrée.

A peine a-t-il franchi le seuil que je cours me réfugier dans ma chambre et je m’écroule sur le lit. J’ai juste le temps de poser mon visage sur l’oreiller que je m’endors.LIRE LA SUITE




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Commentaires

Logo de Marsajean
vendredi 24 août 2018 à 19h00 - par  Marsajean

Un grand merci pour vos commentaires. Pour ma part, il n’y aura pas de suite à cette histoire, libre à ceux et celles qui veulent en écrire un autre chapitre, bon courage à eux.
Bonne journée à tous.

Logo de Henic
lundi 20 août 2018 à 15h46 - par  Henic

Ce récit est intéressant. Il constitue en fait une introduction à une histoire de candaulisme mêlé de BDSM, dont la suite reste à écrire.
Frankie prendra-t-il le relais, ou Marsajean et lui écriront-ils deux suites différentes ? L’avenir nous le dira...

Logo de Sylvain de Perry
lundi 20 août 2018 à 12h32 - par  Sylvain de Perry

Une excellente histoire qui met l’eau à la bouche pour avoir envie de lire la suite. Un GRAND BRAVO à Marsajean pour ce nouveau récit.