Claquantes découvertes

lundi 16 juillet 2018
par  Sylvain de Perry
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Cela fait maintenant deux jours qu’Annie ne garnit plus Gael d’un gode nocturne. De toute façon, le dernier est le plus gros : vingt-cinq centimètres, avec entre le sommet la base, deux boules, une moyenne et une plus grosse.
Annie a avisé Gael qu’elle l’en garnirait ce soir, après le dîner auquel elle avait convié Véronique. Si elle en avait parlé, Gael ne l’avait jamais rencontrée.

Annie s’était mise d’accord le matin avec Véronique au téléphone. Afin qu’elle fasse sa connaissance, Gael passerait la chercher à son travail après être passé s’habiller à la maison avant.
Annie le regarde avant de l’autoriser à quitter l’appartement : pieds nus dans ses baskets, Gael ne porte qu’un polo bleu et un short ultra-court qui s’arrête à la lisière fesses cuisses, si moulant qu’il pénètre entre ses lombes et que sa bite, au repos pour l’instant, se voit nettement :
- Tu peux y aller.
Gael ouvre la porte, commence à la fermer, quand :
- Alors… Ne m’embrasses-tu pas ?
L’interpellé opère un demi-tour, referme le battant, s’approche de sa compagne, l’enlace, pose la bouche sur la sienne, l’embrasse en même temps, il sent les mains baisser son short, deux puissantes claques percutent ses lombes.
Annie se recule :
- Remonte ton short, évite d’oublier de m’embrasser, chéri.
Tout en se reculottant, Gael s’excuse :
- Désolé, ma chérie. Je ferai attention.
- Surtout sois très attentif avec Véronique. Sinon, à peine rentrer, elle n’hésitera pas à sévir avec toi, voire avec moi sous le prétexte que je t’ai mal éduqué.
- Je ferai attention…
Porte refermée, Gael descend au garage souterrain par l’ascenseur.
Annie prend son portable en main, énonce :
- Véronique.
Les cliquetis du numéro qui se forme se font entendre. Quand sa correspondante s’annonce :
- C’est moi, ma chérie. Il vient de partir. Je lui ai fait mettre un short ultra-court moulant.
- Parfait. Je me prépare et l’attendrai dans le hall.
- A tout à l’heure, bisous.
- Bisous.

Parvenu sans encombre devant l’entreprise de Véronique, Gael gare son véhicule devant la porte, quitte icelui et pénètre dans le hall où, outre l’hôtesse, se tient une belle femme plus mûre. Il devine que c’est Elle qu’il vient quérir, se présente à l’hôtesse :
- Bonsoir, Mademoiselle, Madame Véronique s’il vous plaît de la part de Gael.
La femme ne la laisse pas répondre :
- C’est moi ! Au revoir, Karine, à demain. Tu peux partir.
- Bien, Madame ; merci, Madame, à demain.
Gael tend la main vers Véronique qui l’ignore, le toise :
- Allons-y !
Gael manque de l’envoyer dans les cordes, se retient juste à temps en repensant aux propos d’Annie. Il tient la porte ouverte à Véronique qui passe sans un regard ; réitère en ouvrant la portière de l’A 8 Audi.
Aucun regard, du coup, il la laisse fermer seule sa portière.
Installé derrière son volant, Gael précise en réglant la climatisation :
- Avisez-moi si vous sentez trop de froid.
Véronique pivote sur la gauche, le fixe droit dans les yeux :
- Dis Madame ou Maîtresse. Sinon je croirai que tu parles à ton véhicule.
Elle ponctue sa phrase de deux claques qui percutent le face interne de la cuisse droite de Gael, qui a noté le tutoiement. Sous la douleur des impacts, il crie :
- Aaaaaaaye !
Il n’a pas vu le déplacement de la main, laquelle se pose sur sa bite, déjà légèrement durcie après les deux claques. Véronique commente :
- Je vois qu’après deux claques tu commences à durcir…
La dextre enserre plus fort le sexe :
- Allez ! Démarre, Annie nous attend !
Gael tourne la clef de contact, ne sais pas quelle attitude adopter. Il préfère ne rouler pas trop vite, gêné par cette main qui serre sa bite assez fortement. En louchant discrètement vers sa voisine, il s’aperçoit qu’elle regarde la route.
Deux nouvelles claques sur sa cuisse droite lui arrachent un cri, car la main, qui subrepticement a frappé juste au même endroit que la fois précédente, a lâché son sexe juste le temps de le claquer avant de revenir envelopper sa bite en serrant un peu plus.
Véronique dit :
- Tu bandes encore un peu plus. Tu aimes les claques …
Un sourire sardonique, voire même un peu sadique aux lèvres, elle ajoute :
- Qu’est-ce que ça va être quand je vais te donner ta fessée ?
Gael manque, sous la surprise, d’emboutir le cabriolet juste devant lui. Avant qu’il ne réplique, deux nouvelles claques percutent sa cuisse droite.
- Fais attention !
La voix un peu haletante, Gael demande :
- Mais… Mais… C’est quoi cette fessée ?
En réponse, deux nouvelles gifles sur sa cuisse droite, ponctuées d’un :
- Avance ! Ne reste pas planté au milieu de la circulation.
Véronique s’amuse bien de ce petit jeu, ajoute :
- Parce que lorsque nous arriverons chez Annie, vu ton inconduite depuis que nous sommes ensembles, cela mérite une fessée.
- Mais… Mais…
Deux claques, ponctuées par :
- Surveille la circulation au lieu de bêler !
Véronique, qui après chaque claque reprend la bite en main, s’aperçoit vite que Gael est excité.
Il se gare dans le parking souterrain de leur hôtel particulier, extrait la clef de contact, sort de l’Audi. Comme Véronique ne fait pas mine de quitter sa place, Gael contourne le capot, lui ouvre cérémonieusement la portière :
- Si Madame veut bien descendre, nous sommes arrivés.
Véronique quitte le véhicule commande, alors que Gael ferme la portière :
- A poil ! LIRE LA SUITE




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