La vie à la ferme

mardi 8 mai 2018
par  FRANKIE
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Récit fantasmé qui se veut une suite du beau récit A la ferme écrit par Marsajean.

Dès que j’eus déposée ce matelas pourri et plein de puces, à terre, ma belle-mère m’ordonna : « approches- toi de moi ! » J’obéis instantanément !
« Mets-toi à poil, robe et chaussures posées sur le matelas, désormais c’est à poil et pieds nus que tu te déplaceras dans la ferme ; puis viens te mettre à genoux devant moi, les mains sur la tête, et tes jambes grandes ouvertes que je puisse voir ton minou ; les yeux baissés aussi, attitude que tu devras avoir dorénavant devant moi, par respect pour moi ; puis je t’expliquerais ce que va être ta nouvelle vie de chienne ! »
Aussitôt, je me trouvai à genoux devant ma belle-mère, complètement à poil comme elle l’exigeait ; réaction immédiate de ma part, qui depuis que j’avais débarrassée « la niche », je comprenais bien que cela allait être un tournant important dans ma vie de femme d’agriculteur, qui avait rêvée d’une vie de princesse en me mariant avec François, lequel m’avait fait croire qu’il était un « Gentleman Farmer ». Me restait en tête ce que Belle-maman m’avait dit quelques heures auparavant : « Je vais être très gentille avec toi ; j’ai des idées très salaces à ton égard, aussi je vais bien m’amuser avec toi » ; et je savais bien que ce revirement de situation provenait du fait qu’elle s’était rendue compte que j’étais une fille qui avait besoin d’être dirigée, et donc menée à la baguette. Elle savait que, comme toute soumise, je fonctionnais avec 2 sentiments mêlés : le plaisir et la douleur ; le plaisir apporté par une sexualité débridée dont elle avait été le témoin, et la douleur acceptée sous les coups, la honte et les humiliations diverses.
Une fois à genoux devant elle, ma belle-mère me reprit :
« Tiens-toi droite, les bras croisés dans le dos, pour toujours bien mettre en valeur tes seins et tes tétons, et de même tu écartes bien grand tes cuisses pour bien faire apparaitre ton minou ! » Elle me laissa ainsi quelques instants sans rien dire, histoire de me faire enregistrer que cette position à genoux humiliante serait courante à l’avenir ; d’où les pensées qui trottaient dans ma tête pendant ce temps-là !
C’est alors qu’elle m’ordonna : « avant de commencer, approche-toi de moi à genoux, fourres ta tête sous ma robe, et fais du bien à mon minou pendant quelques minutes ; je m’approchais de ma nouvelle Maitresse, et je me plongeais sous sa robe sans me servir de mes mains ;puis j’agissais sur son sexe avec beaucoup d’entrain, désirant lui montrer que j’avais abandonnée toute idée de rébellion ; et je pense qu’elle sentait bien que j’agissais avec beaucoup de respect pour elle, ma bouche seule léchant amoureusement son clitoris et sa vulve, tout le contraire des réactions énervées que j’avais quand elle voulait me faire travailler ; elle me laissa agir à ma manière sans me rudoyer, lui laissant ainsi la faculté de jouir calmement sans aller jusqu’à l’orgasme, et cela pendant plusieurs minutes ; dès qu’elle me le fit comprendre, je sortis de dessous sa robe, je restais près d’elle, toujours à genoux dans la même disposition qu’au départ, attendant la suite de ses décisions ; elle approcha un doigt de mon sexe et le plongea à l’entrée de mon vagin ; puis elle huma ce doigt recouvert de ma mouille et me dit :
« Que c’est bon à sentir, et cela veut dire aussi que tu es toujours dépendante de tes envies salaces ! Va falloir faire quelque chose, car tu sais que maintenant tu n’as plus le droit de jouir sans ma permission. Tu es d’accord, salope ? Je ne pouvais que baisser encore plus la tête.
Sur ce Maitresse m’ordonna : tu vas d’abord aller dans ta chambre, y prendre le fauteuil dont vous ne vous servez jamais François et toi, et tu viens là où je suis actuellement ; cela me permettra de me reposer un peu en même temps que je te parle ; car moi je travaille depuis 6 h ce matin ; je ne suis pas une flemmarde comme toi ! Allez vas-y, sans courir mais rapidement, en imaginant que tu reçois des coups de cravache à l’aller et au retour ! vite, obéis ! »
Sans tarder, je me dépêchai d’aller chercher le fauteuil, de le ramener près de ma belle-mère « Louise » je crois,
(Les 3 fils et son mari ne l’appelant que maman, surprenant pour l’époux pour l’appeler ainsi, mais en fait il avait une attitude de fils soumis) puis je me mis à genoux devant elle, les mains sur la nuque, disposée comme elle me l’avait ordonnée quelques minutes auparavant !
Ma Belle-mère me fit de suite une réflexion : « dis-donc, elle a été drôlement efficace la cravache imaginaire, pour que tu sois déjà revenue ! »
Mais je lui répondis : « en fait c’est parce que je voulais vous faire plaisir Belle-Maman ; et pour vous montrer une affection naissante envers vous ! »
En entendant ces belles paroles qui me sortaient du cœur, elle resta interloquée devant cette soumission que je lui manifestais déjà et l’expression d’une certaine affection ;
Mais bien vite elle se reprit, et s’exclama : « qu’est-ce que c’est ce blablabla : Belle –Maman, un peu d’affection, me faire plaisir ! Bon, on reparlera de tout cela plus tard ; mais saches que ce n’est pas une cravache imaginaire que j’ai tout le temps avec moi ; c’est une vraie prête à te punir immédiatement ! Tu as compris ? « Oui Maitresse » Bien, maintenant nous avons des choses sérieuses à faire, à savoir organiser ta vie à venir dans cette ferme ! LIRE LA SUITE




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Commentaires

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dimanche 19 avril 2020 à 01h14 - par  HUMILIATOR

J’aime beaucoup cette histoire, je la trouve très érotique et je tiens à en féliciter l’auteur.

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mercredi 30 mai 2018 à 13h40 - par  Henic

Dommage.
Les textes de Marsajean ont beaucoup de saveur. Je relis « Fabienne » ou « Virginie » de temps en temps, toujours avec autant de plaisir.

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vendredi 11 mai 2018 à 20h11 - par  Marsajean

Bon, je fais quoi là ????? Je voudrais signaler que ce récit vient d’être publié et qu’une suite est en cours d’écriture. Je comprends que l’on écrive des suites pour des récits qui ont quelques années sans suite mais, un mois c’est un peu rapide, Frankie est le Lucky Luke de la suite.
Cela me dispense de courir pour faire publier la suite de « A la ferme »
Sans rancune Marsajean

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mardi 8 mai 2018 à 22h44 - par  Henic

Pauvre mari : il n’a droit à rien du tout dans la déclaration d’allégeance de son épouse à sa mère. Pourtant, le mariage est d’abord un engagement mutuel entre les époux ; cela pourrait signifier que ledit mariage est nul, ce qui suppose que les conjoints aient pu aborder le sujet entre eux, entre adultes responsables.
Pauvre épouse : elle est complètement prisonnière de la ferme et de sa tortionnaire, et ne semble pas pouvoir résister à la pression de sa belle-mère, alors que la seule réaction naturelle serait de partir de cet endroit. Comme rien ne laisse penser qu’elle ait pu choisir d’être la soumise de sa belle-mère dès avant le mariage, il y a une tromperie manifeste sur l’engagement qu’elle croit avoir pris. Elle manque singulièrement de jugeote...