Sabine de la liberté à la soumission

2° partie
lundi 5 février 2018
par  FRANKIE
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Pendant le ¼ heure où Claire me faisait ses recommandations pour les 15 jours à venir et que nous nous étreignions toutes les trois avec une grande affection, brusquement, dans un éclair subit de lucidité, je fis signe à mes 2 maitresses que je désirais parler ; Claire me dit :
« Dépêche-toi de parler avant que ton mari n’arrive ! »
« Merci Maitresse, je vais vous dire en 2 mots l’essentiel de mes paroles, la suite, mon mari pourra l’entendre puisque cela le concerne ; j’aurais aimé cependant tout vous dire avant qu’il n’arrive »
« Commence quand même à parler de suite ; on s’adaptera en fonction des circonstances »
« Mes Maitresses adorées, après une réflexion rapide ou j’ai pesé le pour et le contre, j’ai choisi la 3° solution, et donc je vous demande d’accepter avec bienveillance mon désir le plus intense à l’instant même , devenir votre esclave à toutes les deux dès maintenant , dès ce soir ! Sans at-tendre la fin de mon contrat ! Oui Maitresses, laissez-moi de suite vous baiser les pieds et vous faire allégeance comme esclave et non plus comme soumise ! »
Interloquées toutes les deux par cette déclaration d’amour, Maitresse Claire et Maitresse Aurélie me regardèrent, et Claire s’apprêtait à réagir quand le téléphone sonna ; elle décrocha et mit le haut-parleur de façon à ce que toutes les trois nous puissions entendre, Claire ayant vu sur son écran de smartphone que c’était Pierre mon mari :
« Alors monsieur le pleutre se fait encore attendre ? Vous avez du retard monsieur le pleutre ; il est 19h05 ; auriez-vous peur de trois faibles femmes ??? »
« Non, je n’ai pas peur ; mais je ne suis pas en retard ; je ne viendrais pas chercher Sabine ; je ne veux plus être votre représentant ; je ne veux plus vous être soumis ; de toute façon son contrat avec vous se termine dans quinze jours ; faites comme vous voulez : vous la gardez avec vous ces quinze jours, ou vous la ramenez à la maison ce soir avec des consignes précises pour vous rester soumise pendant quinze jours ; Et dans quinze jours nous reprenons notre vie de couple comme avant ; Et vous et votre nièce disparaissaient de notre vue ! »
« C’est bien ce que je disais à l’instant ; vous êtes un pleutre, car tu n’oses pas venir nous dire en face ce que tu penses ; et de plus tu prends des décisions sans aucun égard pour ta femme Sabine, notre soumise que nous admirons de plus en plus, ni pour nous-mêmes envers qui tu as des enga-gements. Je te conseille donc vivement d’être là dans cinq minutes, car notre soumise Sabine était en train de nous faire part de ses projets pour les années à venir, projets qui te concerne et qui commenceront à s’appliquer dès ce soir ; Sabine, qui écoute nos échanges, opine de la tête ; donc nous t’attendons de suite ; et saches que j’ai quelques relations influentes qui peuvent t’entraver dans ta carrière ! »
Après avoir raccroché, Maitresse Claire me dit :
« Notre amour d’esclave, comme tu le prévoyais, tu vas dès maintenant nous faire allégeance sim-plement en nous embrassant et léchant les pieds sans parler, en commençant par moi, et si tu en-tends la voiture de ton mari, avant d’en finir avec moi, de suite tu embrasses et lèches les pieds de Maitresse Aurélie, pour qu’il se rende compte que tu es toujours soumise à elle, « la gamine de 18 ans » comme il disait. Puis quand je te le demanderais, tu nous expliqueras à tous les trois ton pro-jet d’esclavage, car je pense que ce projet va nous plaire à nous tes deux maitresses, mais qu’à l’inverse il va avoir un impact négatif sur ta relation avec lui. Réponds en hochant la tête, puis mets-toi vite à plat ventre. »
Je hochais la tête de suite pour approuver ce que Maitresse venait de dire et me couchais à plat ventre, d’abord pour faire allégeance à Maitresse Claire, mais ce ne fut pas très long car mon mari, sans doute totalement surpris des menaces reçues de cette dernière, arrivait « à tombeau ouvert » en quelque sorte, et s’il avait pu le faire sans dommage, il aurait enfoncé le portail pour nous re-joindre. C’est exprès que Maitresse Claire le fit attendre quelques minutes , le temps pour lui de se calmer et pour elle de s’assurer que tout est en bonne place pour le recevoir, et notamment que la 1° vision qu’il ait de notre groupe, c’est de me voir totalement à plat ventre, totalement à poil, le dos zébré de traces de coups de fouet et les fesses rougies, en train de faire allégeance ,avec beaucoup de respect, à ma deuxième Maitresse Aurélie, « la gamine de 18 ans » comme il disait, mais qui pour moi n’est pas une gamine, mais une jeune femme beaucoup plus mure que moi, et qui a su m’emmener vers une liberté intérieure beaucoup plus grande, car elle a vite compris que fille « éteinte et transparente » dans sa vie privée comme elle l’était dans son enfance, je subissais d’être soumise ; aussi elle m’a amenée à accepter ce caractère soumis, mais pour évoluer vers une vie plus épanouie.
Quand il fut entré dans le jardin et se fut garé près de nous, tout de suite Maitresse Claire, dès sa descente de voiture, lui ordonna de rester debout près de sa voiture, de ne plus en bouger, et de rester complètement muet jusqu’au moment où elle lui permettra de parler !
Puis Maitresse Claire me dit d’une voix douce :
« Soumise Noiraude, tournes ton beau regard vers nous deux Aurélie et moi-même, sans te sou-cier aucunement de ton mari, tout en te mettant à genoux face à nous et les mains dans le dos ; je t’autorise à lever ton regard vers nous pendant quelques minutes, pour que nous puissions y lire tout ton amour naissant pour nous deux, et voir dans le nôtre à toutes les deux la réciproque. Maintenant, tu te tiens les yeux baissés devant tes deux maitresses, et tu reprends depuis le début ce que tu avais commencé à nous exprimer, sans aucune crainte, et sans te préoccuper des réac-tions de ton mari. Dis de suite ce que tu veux nous exprimer, je t’autorise à parler, nous avons hâte de t’entendre ! »
« Merci mes 2 maitresses de prendre le temps de m’écouter, moi « une moins que rien ». Oui je voulais vous dire que suite à notre discussion de ce jour, et des trois solutions qui se présentaient à moi, j’ai pensé que la 3° solution serait la meilleure, et dès ce soir, pour me permettre de vivre constamment avec vous, non plus comme une soumise, mais comme une esclave, c’est-à-dire to-talement dépendante de vous deux, même si les contraintes, comme vous m’en avait fait expéri-menter une d’entre elles en me fouettant à tour de rôle pendant une heure, attachée, bras tendus vers le haut, comme une détenue en prison, seront plus dures et exigeantes.
Comme je vous l’ai déclaré cette après-midi, un début d’amour s’est créé de ma part envers Mai-tresse Aurélie, et un amour déjà plus avancé envers Maitresse Claire depuis quelques jours, com-ment peuvent-ils s’épanouir si nous sommes toujours loin de nous, comment je peux poursuivre mon éducation à une liberté intérieure si vous n’êtes là que de temps en temps auprès de moi. Oui, pour garder en moi que je vous suis soumise totalement, j’ai absolument besoin de vous faire allégeance, sinon tous les jours, au moins plusieurs jours par semaine.
Bien sûr, vous comprenez après toutes ces paroles que je suis obligé de prendre une décision, que bien sûr, vu son état d’esprit actuel, il ne peut comprendre, à savoir décider de me séparer de mon mari ; vu la manière dont il s’y est pris au départ, me lancer « dans la gueule du loup » contre mon désir, puis ensuite me conduire en soumission comme représentant de Maitresse Claire d’une fa-çon rigide, se rendant compte que vivre jour et nuit sans se parler ne pouvait que nous séparer , mais incapable d’en parler avec mes maitresses et négocier une adaptation aux consignes don-nées ; donc dès ce soir il n’aura plus de souci à mon égard, venir me chercher ou me ramener contre son gré ; il devient libre « comme l’air » ; j’irais cette semaine, si vous m’y autoriser, et avec vous, chercher mes affaires dans l’appartement que nous louons.
Pour l’organisation de mon esclavage, cela ne le regarde plus ; donc si vous en êtes d’accord, lais-sez-le partir. »
Maitresse bien-aimée, ne désirant pas voir celui qui est maintenant mon ex-mari avant son départ, me permettez-vous d’aller dès maintenant me mettre à terre devant vos fauteuils, vous y at-tendre, pour que, dès que vous l’exigerez je fasse une allégeance totale, à plat ventre et avec mes paroles à moi ? »
« Esclave bien-aimée, vas comme tu le demandes ; pendant ce temps, nous mettons ce monsieur ton ex- mari hors de notre vue comme il le désirait. »
Ne désirant aucunement entendre les récriminations éventuelles de Pierre, derechef je me préci-pitais vers les 2 fauteuils de mes 2 maitresses, m’étendait par terre, et me mettait la tête entre mes mains ; et ainsi j’attendais qu’elles reviennent pour faire allégeance en tant qu’esclave, et voir avec elle comment peut se mettre en place mon esclavage.
Quelles minutes plus tard, en attendant mes 2 maitresses arriver en devisant avec beaucoup d’entrain, cela me fit comprendre que Pierre était parti ; et je ne m’étais pas rendu compte s’il avait réagi à mon discours, avec emportement ou non ; je restais telle que j’étais toute dans l’attente de la suite prévue par mes maitresses !
Maitresse Claire et Maitresse Aurélie s’assirent dans leurs fauteuils respectifs et Claire m’apostropha :
« Noiraude, notre esclave maintenant, recommences ce que tu avais commencé il y a quelques instants, nous baiser les pieds et les lécher en insistant sur nos doigts de pied comme si c’étaient de petites bites ; à toutes les deux à tour de rôle, faisant allégeance à chacune dès que tu as terminé ce rite pour une puis après l’autre ; et quand tu fais ce rite d’allégeance, fais-le d’une façon grave et lentement de telle façon que ce ne sont pas que des mots, mais que vraiment tu t’engages vis-à-vis de nous deux pour la vie , en ayant conscience que l’amour pour toi, qui prend son essor de notre part, ne nous empêchera pas de te traiter durement comme une esclave, soumise au fouet, à la cravache ou à la fessée, désirant par- là que tu apportes toi-même une contribution à ton édu-cation te menant vers une grande liberté intérieure, et peut-être un jour te faire coïncider domina-tion au sein de ton travail en entreprise et domination dans ta vie privée. Allez, c’est à toi d’agir Esclave Noiraude ! »
Aussitôt j’obéis, les paroles dures prononcées par Maitresse Claire ne me déstabilisant pas, car déjà habituée à ce va et vient constant entre des paroles dures s’adressant à sa soumise et maintenant son esclave, et des paroles plus tendres adressées à son amante, cela pour respecter ses 2 statuts. Etant déjà à terre, je me tournais d’abord en direction de Maitresse Claire, et lui baisais les pieds et les lécher attentivement comme demandé puis je lui faisais allégeance :
« Maitresse Claire, c’est devant vous, totalement à poil et à terre, que je veux vous dire faites de moi ce que vous voulez ; depuis un an vous m’avez soumise nuit et jour, et avez constaté que j’exécutais totalement le contrat passé avec vous, mais aussi que j’étais heureuse de mon statut de soumise ; et que la façon dont vous m’avez « éduquée » a déclenché en moi depuis plusieurs mois non seulement de l’admiration envers vous, mais même un amour appelé à se fortifier. Oui Mai-tresse Claire, maintenant il est temps de faire un nouveau contrat à durée indéterminée, si tel est votre désir et votre plaisir, un contrat d’esclavage. Je serais toute heureuse demain de signer le contrat que vous aurez préparé avec Maitresse Aurélie, ma deuxième maitresse. Je suis toute à vous ; commandez et j’obéirais ; punissez-moi si jamais je me rebellais ! »
Puis je me tournais vers Maitresse Aurélie et j’exécutais le même rituel qu’avec Maitresse Claire ; puis je faisais aussi allégeance à celle-ci :
« Maitresse Aurélie, c’est complétement à poil et à terre que je m’offre totalement à vous, corps et âme, moi « votre petite fille de 28 ans » offrande de moi-même totalement à « une gamine de 18 ans » comme disait Pierre mon ex-mari, mais en fait qui me dépasse en maturité allégrement. Oui ainsi qu’avec Maitresse Claire, je deviens dès aujourd’hui votre esclave, appelée à obéir en silence et aussi à recevoir toute punition de votre part en silence. »
Après cette double allégeance, Maitresse Claire me demanda de me tenir à genoux, les yeux bais-sés, entre elles deux ; puis fit apporter par Aurélie la chaine d’esclavage qui m’était destinée. C’est Maitresse Claire, qui la prenant entre ses mains, me la présenta en me disant :
« Voici le symbole de ton statut d’esclave ; une chaine de plus de 3 m de long que tu porteras au-tour du cou jour et nuit, avec ton collier et ta laisse ; et donc tu te déplaceras avec, toute la journée, dans la maison ou le jardin. Tu ne seras autorisée à l’enlever que lors de tes sorties en dehors de ma maison. As-tu bien compris, esclave, le poids de ce symbole ? »
Je hochais la tête !
« Aurélie, je vais te demander maintenant, d’emmener l’esclave en la tenant en laisse pour lui faire visiter la maison et le jardin, lentement, en faisant attention qu’elle ne s’accroche pas avec la chaine en route ; en passant vers ma chambre, tu y pénétreras pour récupérer sur ma table de chevet la cloche qui y est posée ; tu l’accrocheras au cou de notre esclave, à côté de la chaine ;c’est la cloche de Noiraude que je lui avais mise au tour du cou au début de sa soumission ; cette cloche au son cristallin ,accrochée à son cou, puisqu’elle est appelée à être plus souvent chez moi quand elle sera ici ,nous permettra de nous rendre compte dans quelle pièce elle se trouve, sans que le bruit léger de cette cloche nous importune, et donc de nous assurer qu’elle ne « flemmarde » pas. Quand tu auras fini la visite, tu la conduiras à la cuisine pour lui donner les produits nécessaires pour nous faire un bon repas à toutes les deux ; tu prendras dans le frigo une bouteille de vin blanc pour l’accompagner, puis tu mettras dans celui-ci une bouteille de champagne ; pour notre esclave, ce soir et jusqu’à demain soir elle jeûnera ; pas de repas mais uniquement boire beaucoup, donc elle se préparera une grande écuelle remplie d’eau qu’elle apportera avec sa gueule par terre entre nous deux à notre table. Tu lui ordonneras de nous prévenir en agitant sa cloche que notre repas est prêt, et donc de venir nous rejoindre. » LIRE LA SUITE

1° partie




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Commentaires

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mercredi 7 février 2018 à 15h27 - par  Victor de Saint Valle

Pour une fois Frankie s’est beaucoup perdu dans du bavardage inutile, limitant au strict minimum les descriptions érotiques. Car l’idée était bonne. A vite oublier.