Janie, femelle domestiquée

Par Keeperzx
dimanche 3 décembre 2017
par  Henic
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1. Femelle domestiquée

Les jours sont toujours chauds, Janie doit être sous les tropiques, probablement quelque part en Amérique du sud. Elle ne le sait pas vraiment. Janie se demande si ses geôliers la garderaient nue en permanence si le climat était plus froid. Y penser la fait frissonner parce qu’elle sait que ses geôliers se moquent de son confort. Au mieux, ils la considèrent comme un animal domestique bien éduqué. Jeannie a grandi en étant habituée à être gardée dans un chenil. Au moins, là, elle n’avait pas à être prête à répondre aux caprices d’un Maître ou d’une Maîtresse. Elle savait trop bien avec quelle rapidité le fouet viendrait rendre visite à son côté pile si elle hésitait à obéir.
Mais même un humble animal sexuel comme elle parvient à avoir une friandise pour son anniversaire. Là, c’est dans sa gamelle. Cela signifie qu’aujourd’hui est le jour de son anniversaire. Aujourd’hui, elle a vingt-cinq ans. Ce qui veut également dire que c’est sa cinquième année en tant que propriété d’autres personnes. Le bonbon à la cerise fond doucement dans sa bouche, son goût est un régal qui se produit une fois l’an.
Janie réfléchit au jour où elle est devenue la propriété d’autres personnes. Elle devait passer un entretien pour un poste d’assistante. Tout avait commencé plutôt normalement : elle avait répondu à une publicité et demandé le poste, rempli tous les formulaires, envoyé une photo comme demandé. On lui avait envoyé une limousine et on l’avait conduite dans ce gigantesque domaine, à la campagne. Une fois là-bas, le prétexte de l’entretien est vite tombé : à peine sortie de la voiture, trois hommes sont sur elle. Un de chaque côté pour la tenir, pendant que le troisième tire sur sa robe et la lui arrache. Janie crie, elle est immédiatement giflée pour sa réaction et on lui intime de faire silence. Cette fois, elle obéit.
Sa robe complètement enlevée, elle est debout, toujours tenue par les deux homes, sous le regard de trois ou quatre autres. Seuls, son soutien-gorge et sa culotte dissimulent le secret de ses charmes. Ce n’est qu’un court répit. Le troisième homme sort un couteau, coupe les bretelles de son soutien-gorge et le retire de ses seins, les laissant offerts aux regards. Janie se dit qu’ils n’ont aucune compassion pour elle puisqu’ils ne comprennent pas que de la déshabiller ainsi devant tous ces hommes et se retrouver seins nus devant eux l’emplit de honte. Un des spectateurs signale que ses tétons ont durci dès qu’ils ont été exposés. Son visage rougit encore plus. Lorsque le couteau de l’homme se déplace vers le côté de sa culotte et la coupe, il la lui fait descendre sur ses jambes. Puis il lui passe doucement la main sur la chatte et la tient de manière que tous la voient. L’humidité brille dans le soleil. Tous les hommes sifflent et crient :
« Salope !
— Chienne !
— Bonne à baiser ! »
La confusion de Janie est totale. Ils ont raison, si mortifiée qu’elle soit, sa chatte la trahit. Les sécrétions coulent encore plus maintenant qu’elle sait qu’ils savent qu’elle est excitée.
Les mains de Janie sont menottées dans son dos. Elle veut parler mais pense qu’il ne vaut mieux pas, se souvenant de la dernière gifle qu’elle a reçue. Les hommes à ses côtés se mettent à lui caresser les seins, ce qui la conduit au bord de l’orgasme mais elle le retient jusqu’à ce que le troisième homme lui caresse la chatte de la main ; les hommes peuvent dire qu’elle a eu un orgasme et se moquent de la rapidité avec laquelle elle a joui pour eux.
Puis on la penche sur le capot de la limousine et tous la violent y compris le chauffeur, chacun lui disant qu’elle va devenir très bientôt un doux animal à baiser. Après cela, on lui met un collier et une laisse et on la conduit à l’endroit des écuries. Là, les gardiens lui détachent les mains de derrière son dos et les font passer au-dessus de sa tête pour les boucler à nouveau. Puis ils la mouillent au jet, la savonnent et douchent sa chatte. Elle est ensuite séchée, bâillonnée et mise dans une cage, les mains menottées aux barreaux. Elle peut observer l’écurie et les gardiens qui s’occupent et nettoient les autres animaux : chevaux, chiens, et quelques autres femmes comme elle. Elles aussi sont traitées plutôt comme des animaux de propriétaires.
C’est alors qu’elle prend tout à coup conscience qu’elle va être un animal pour leur putain de plaisir et rien d’autre.

2. Apprentissage de l’obéissance

Janie, nue, est traînée hors de sa cage. L’aube point à l’horizon. Il lui semble qu’elle commençait juste à dormir lorsqu’ils sont venus la chercher. L’homme lui dit :
« Je vais te retirer le bâillon. Si tu parles, tu seras fouettée. Tu comprends ? »
Janie hoche la tête pour dire oui.
Il la fait s’agenouiller, les genoux écartés, allongée en arrière sur les talons, les mains légèrement derrière les hanches. Il la fait se cambrer pour que ses seins soient projetés en avant. L’homme, observant son œuvre, commente :
« Charmant ! Tu es vraiment un spectacle qui mérite d’être contemplé. »
Janie sait qu’elle est bien dotée et elle a fait en sorte d’entretenir sa silhouette. Elle se demande si elle aurait été capturée pour servir de jouet sexuel si elle n’avait pas été si folle et inquiète en permanence de son apparence. Pendant la nuit, elle a pensé à son état présent. Elle a conclu qu’elle est un simple jouet pour eux, un jouet qu’ils utiliseront selon leur bon vouloir et leurs caprices. Elle sait que leur volonté et leur caprice vont englober toutes sortes d’indignités ; sa chatte a déjà été violée sans aucune considération pour son confort. Que bientôt, sa bouche et son anus vont souffrir le même sort. Si seulement elle avait fait plus attention et été moins impétueuse pour monter dans une grosse limousine brillante sans poser de questions au préalable.
La lanière qui s’abat sur ses seins et la morsure qui se propage ensuite dans ses tétons lui rappelle qu’elle doit faire attention au Maître avant de se soucier d’elle-même. Elle gémit de douleur et la lanière s’abat à nouveau, entre ses jambes cette fois. L’homme dit :
« Silence, salope ! Vous, les petites chiennes, ne semblez pas comprendre que silence veut dire silence. Au moins tant que le fouet n’est pas appliqué pour vous rappeler quelle est votre place. »
Janie veut crier sous la douleur qui provient çà à présent de sa chatte autant que de ses nichons mais elle se retient. Elle sait qu’il abattrait sûrement à nouveau le fouet si elle criait.
Puis il passe sa main sur sa chatte si légèrement que, comme la veille, elle se mouille des sécrétions qui trahissent l’excitation qu’il lui occasionne. La honte de Janie est profonde, elle ne sait pas si l’excitation provient de la manière dont il l’a positionnée ou du fouet qui l’a frappée en des endroits interdits. Que ce soit l’un ou l’autre, elle prie sans honte pour qu’il la baise. Elle voit le renflement de son pantalon : son regard est au niveau de sa bite. Pourquoi ne la baiserait-il pas là, avec ses seins tendus qui supplient d’être ravagés, et ses jambes écartées sans qu’elle puisse les refermer ? Et rien pour protéger du viol sa chatte qui la lance. Il lui dit :
« Tu répondras « oui Maître » ou « non Maître » lorsque je t’interrogerai. Compris ? »
Janie répond :
« Oui Maître. »
Il continue :
« Veux-tu être baisée maintenant ? »
Tout juste si elle ne crie pas sa réponse :
« OUI Maître ! »
Il poursuit :
« Tu apprendras très vite qu’être baisée est un privilège, petite salope, que tu n’as pas encore gagné. C’est l’heure de te nourrir. »
Il sort alors sa queue et la lui met dans la bouche. Elle hésite à l’ouvrir juste assez longtemps pour que le fouet trouve la douceur de son dos. Après un cri immédiat et des larmes qui coulent de ses yeux, elle l’engloutit dans sa bouche comme une sucette, elle suce et lèche autour du gland en le prenant profondément dans sa bouche. Il lui dit :
« Tu vas la sucer jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ta bouche. Tu ne laisseras pas une goutte tomber hors de ta bouche. Mais tu n’avaleras pas sans en avoir reçu la permission. »
Janie suce à fond sa bite, et à la manière dont elle le fait, on pourrait penser qu’elle a beaucoup d’expérience. La vérité est que c’est une première fois pour elle. La queue est très grosse, sa circonférence lui emplit la bouche.
Dès qu’il jouit, il retire sa bite pour que seule la tête en soit dans sa bouche ; sa jouissance gicle et la lui remplit. Ainsi qu’il l’a ordonné, elle la garde dans sa bouche. Il descend sa main et la pose sur son ventre en disant :
« Avale, trou de salope ! »
Janie avale sur ordre. Il ajoute :
« C’est ça, laisse-moi sentir ce sperme qui descend dans ton ventre, animal à chatte. »
Janie comprend à présent que même le sperme constitue sa nourriture. Le sperme pour lequel elle doit sucer ne sera admis dans son ventre que lorsque le Maître le voudra. Cela aussi renforce son niveau d’impuissance.
Il se met à l’appeler « animal à chatte », « con de salope ». Elle déteste le mot chatte, le mot con, ce sont les plus bas des mots dégradants employés pour les femelles. À présent, le mot est employé pour faire référence à elle de manière aussi usuelle que si c’était son vrai nom. Puis cela la frappe : pour lui, c’est là son nom, Chatte, ou Con. Les chattes ne peuvent avaler que le sperme, lorsqu’elles en reçoivent l’autorisation. C’est comme s’il sentait sa réticence pour le terme. Il demande :
« Es-tu une chatte, salope ? »
Lorsqu’elle le regarde, le fouet applique sa marque entre ses jambes, comme guidé par un laser. Janie lâche :
« Oui, Maître ! »
La douleur la lance entre les jambes. Il demande à nouveau :
« Es-tu un con à baiser ?
— Oui Maître, répond Janie. »
Elle accepte d’être une chatte ou un con. L’opinion élevée qu’elle avait d’elle-même n’existe plus.
Il lui dit ensuite qu’elle va apprendre certaines positions à adopter, comme celle où elle se trouve à présent, les genoux écartés, penchée en arrière sur ses talons, le dos cambré, les seins en avant. Dans cette position, un Maître peut inspecter ses charmes et utiliser sa bouche sans grand effort.
Elle doit apprendre à ne pas changer de position sans en avoir reçu l’ordre.
Puis il lui dit de se lever et de mettre ses mains sur sa tête. Il attache ses mains aux entraves et la suspend. Les pieds hors de contact avec le sol, il attache ses chevilles, sa chatte est à présent complètement exposée. Elle espère qu’il ne va pas la fouetter. Il sort alors de la crème à raser mentholée qu’il fait mousser entre ses jambes, puis il prend un rasoir droit et lui ordonne de rester très tranquille. Sa honte augmente à chaque passe qui lui retire un peu de sa féminité pubienne, n’y aura-t-il pas de fin à la honte qu’elle doit endurer entre ces mains ?
Non seulement son corps est privé de tout vêtement pour cacher sa honte, mais elle se retrouve à présent privée de la dignité naturelle que les poils entre ses jambes lui offraient. À présent, elle se retrouve juste comme une petite fille.
À nouveau, la bombe explose dans sa tête. Les petites filles doivent faire ce qu’on leur dit. Il dit :
« Ne t’inquiète pas, petite fille à chatte, tu ne subiras pas toujours l’indignité d’être rasée régulièrement. Bientôt, nous t’épilerons définitivement le pubis. Puis tu seras marquée au fer rouge sur ta vulve chauve. Tu dois comprendre ce que signifie être vraiment punie. »
Il se met alors à fouetter Janie sur tout le corps, devant et derrière. Il lui accorde une petite concession : il la laisse crier comme elle veut. La séance est implacable. Janie n’a encore jamais connu une telle souffrance. Enfin, il s’arrête. Après quoi il lui dit que c’est ce à quoi elle peut s’attendre pour toute infraction grave aux règles.
Janie décide qu’elle ne veut plus jamais connaître une telle fustigation à l’avenir. Quoiqu’il lui soit demandé, satisfera-t-elle leurs exigences ? Elle baisera ou sucera à tout moment où on le lui ordonnera, qui que ce soit ou quoi que ce soit, plutôt que d’être à nouveau fouettée de la sorte.
Il la redescend. À peine est-elle libérée qu’il lui ordonne de prendre la position d’esclave. Il vérifie alors l’humidité entre ses jambes comme les deux autres fois, avant qu’elle n’augmente avec le désir. Cette fois, ses palpations la conduisent à l’orgasme. Elle ne peut empêcher ses sécrétions de sortir de sa chatte de petite fille. Le Maître caresse ses seins et elle continue de jouir, de jouir à nouveau et de jouir encore ! Elle le supplie de la baiser ; le Maître lui demande si elle sera une bonne petite fille à chatte s’il le fait. Janie crie et répète à l’envi :
« Oui Maître ! Oui Maître ! Oui Maître… »
Tandis que la queue du Maître la baise, Janie sait qu’elle est libérée de toutes ses inhibitions. Ses murmures et ses cris passent de la douleur à l’extase. Elle sait maintenant que l’obéissance totale signifie la liberté totale. Qu’elle n’a pas le choix en ce qui concerne le sexe, que tous les sentiments de culpabilité qu’elle pouvait avoir sur le sujet ont disparu. Qu’elle a toujours été un animal fait pour la baise. LIRE LA SUITE

Table des matières
1. Femelle domestiquée 2
2. Apprentissage de l’obéissance 4
3. L’école du charme 7
4. Femme cavale 10
5. Animal pour un animal 12
6. Rien qu’un con 14
7. De vieilles connaissances : Julie et Tiera 15
8. Le piercing 18
9. Un jour de course 20
10. Désobéissance 23
11. Punition 26
12. Conflit intérieur 28
13. Baise inconnue 29
14. Vente aux enchères 32
15. Marquée au fer rouge 38
FIN 40

Texte traduite de l’anglais par Henic



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Commentaires

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vendredi 6 avril 2018 à 01h11 - par  camp-bdsm.blogspot.fr

Cette histoire de Janie m’a l’air alléchante et très exitante

merci à l’auteur.

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