Journal Intime (1)

Rencontre en stop
lundi 20 juillet 2009
par  calingiton
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Ce midi je me suis encore pris la tête avec maman. Elle supporte de moins en moins ma façon de vivre et cesse de me répéter que je vais finir sur le trottoir si cela continue. Tout ça parce que j’aime m’habiller sexy. Et si moi j’aime me fringuer comme ça ! Je crois surtout qu’elle a beaucoup de soucis en ce moment, et qu’elle n’a rien de mieux à faire que passer ses nerfs sur moi. Après tout, elle aussi s’habille limite, même pour aller travailler. Je crois surtout qu’elle a beaucoup de soucis de fric, et depuis que son dernier mec s’est tiré, cela va de mal en pire. La preuve, on est obligé de vivre dans ce vieux mobil home, dans ce terrain de camping pourri près de Pézenas, vachement loin du Cap d’Agde où on habitait avant et où on était heureux.

Je m’emmerde toute la journée depuis que j’ai arrêté le lycée. Je n’ai qu’une idée en tête retrouver la résidence Héliopolis où j’aimais tellement vivre. Retrouver surtout Markus le type avec qui je sortais, là bas.

Je le connaissais depuis un an. On s’est rencontré l’été dernier, et je suis devenu complètement dingue de lui, malgré notre différence d’âge. J’ai 20 ans, et lui 63, quand même ! C’est lui qui m’a tout appris sur le sexe. Il m’a surtout fait comprendre que j’étais fait pour aller avec des vieux. Il était mon voisin à la résidence Héliopolis. Il me draguait depuis pas mal de temps déjà. Mais cela me disait trop rien, il faisait quand même vieux. J’ai été bien bête, quand j’y pense maintenant. Il a toujours adoré les garçons comme moi, un peu androgyne comme il dit, et qui n’ont pas froid aux yeux, côté sexe. C’est lui qui m’a décidé de changer de look, de m’habiller plus sexy, plus provoquant. Il me disait souvent que j’avais l’âme d’une pute, et pour lui je devais en être fière. Je l’ai toujours cru sur parole, et encore maintenant je suis prés à le suivre n’importe où. J’étais bien avec lui et je me fichais pas mal de ce que les gens pensaient de moi. Cela me faisait même plaisir de voir leur tête quand il me voyait avec ce vieux type qui passait son temps à me peloter les fesses.

Bref ce fut l’engueulade ce midi, tout çà parce que je ne portais sur moi que mon petit short en jean hyper court et mon top en maille filet blanc. Et que je lui ai piqué surtout ces santiags roses. Elle m’a tellement énervé, que je me suis tiré en claquant la porte, bien décidé à la quitter définitivement pour aller retrouver Markus. Sans fric et sans papiers sur moi, je n’avais que le stop pour aller le retrouver.

Je me suis tout de suite dit que ce serait une galère, sur cette petite route de campagne, dans ce trou perdu où je créchais maintenant. En plus qu’est ce qu’il faisait chaud ! J’étais trempé de sueur tellement le soleil tapait fort. Pourtant je n’avais presque rien sur moi. J’ai vu des bagnoles passer devant moi, certaines me klaxonnaient. Surement qu’on devait me prendre pour une petite pute homo qui tapinait dans le coin. Cela ne me gênait pas, puisque j’en étais une, après tout. Heureusement au bout d’une heure, une superbe voiture s’est arrêtée. Une grosse Mercédès classe E, vitres teintées. Une bagnole de mec friqué, ça se voyait tout de suite. Je n’en croyais pas mes yeux, quand j’ai découvert les occupants : un couple d’une cinquantaine d’année, et rien qu’à leur tête j’ai compris qu’ils étaient branchés cul. Le genre de couple comme on en voit plein au Cap d’Agde l’été.

J’ai tout de suite compris à leur façon de me mater qu’ils étaient branchés petites pédales comme moi. Surtout quand la femme, une blonde coiffée avec des dreadlocks, dans une robe ultra courte en lycra rose fuchsia, m’invita à monter en m’appelant déjà son petit trésor. En grimpant derrière, je dus m’asseoir à coté de leur chien, une espèce d’énorme molosse à poils noir et ras, impressionnant, qui se mit à me renifler entre les cuisses, à peine installé.

Je n’avais même pas fait attention, qu’en m’asseyant, mon short ras des fesses avait remonté et qu’une de mes petites couilles toutes lisses s’en était échappée. Cela devait être ça qui intéressait Sultan. C’était le nom de leur chien. La femme, elle, s’appelait Joyce, diminutif plus sympa que Jocelyne, quand même, m’avait-elle dit. Elle me détaillait sans complexe comme si j’étais un jouet sexuel. Après tout, c’était ce qui était écrit en gros sur un de mes tops dans lequel je me baladais des fois, pour faire provoc’ : « Sex Toy ».

Ils ont accepté tout de suite de m’emmener au Cap d’Agde, en me proposant même de passer l’après midi chez eux. Si je voulais, bien sûr ! Ils habitent dans une superbe villa avec piscine. Cela me branchait pas mal d’être tombé sur un couple hyper friqué. Pour eux, j’ai compris que je n’étais qu’une pute. Je m’en fichais. Ils me trouvaient hyper sexy, et vachement bien bronzé. C’était suffisant. Faut dire que je passe mon temps à me foutre à poil, au soleil, dés que je peux. Je n’ai que ça à foutre dans ce trou perdu. Je préfère ça que de me faire chier au lycée. J’en ai marre de tous ces connards qui me traitent de pédé à longueur de journée ! C’était donc assez normal, que ma peau soit aussi bronzée alors qu’on était à peine au début de l’été. Très fier de mon bronzage je leur ai dit alors que j’étais comme ça partout, et Joyce m’a demandé, de plus en plus excitée, de lui montrer mon cul. Je voyais bien que son mari était aussi branché sur les garçons à sa façon de mater ma bite qui commençait à grossir dans mon short serré. J’ai compris qu’avec eux il ne fallait pas trop refuser ce qu’ils réclamaient. En plus, pour une fois que je tombais sur un couple bourré de fric, je n’allais pas jouer le timide.

Je me suis donc retourné, et à quatre pattes, j’ai baissé mon short jusqu’aux genoux, certain de tout leur montrer, surtout mon petit trou tout lisse. Joyce, s’est mise alors à me fouiller le cul puis à me branler la bite, sans aucune gène. Est-ce qu’on prend des gants avec une petite salope qui exhibe son cul comme ça ? En plus j’étais jeune pour une pute, et ça, cela devait les exciter encore plus. J’ai du me retourner pour leur montrer ensuite ma petite queue que j’ai toute lisse, comme un môme. Markus m’a toujours demandé de me raser régulièrement, et je continue de le faire depuis, tous les jours, en souvenir de lui. C’est là que Sultan est venu me renifler encore plus, passant même sa langue sur ma queue. C’était dingue ce qui se passait, et cela n’avait pas du tout l’air de les gêner, surtout Joyce qui a commençait à me parler de leurs pratiques zoophiles. J’étais mal à l’aise et j’ai préféré changer de conversation, pour leur raconter mon histoire, que je m’étais tiré de chez ma mère, et que je ne savais vraiment plus où aller. Joyce m’a fait comprendre alors, en me branlant sans gène, qu’ils voulaient bien m’emmener vivre avec eux, mais seulement si je me montrais gentil et obéissant avec eux. Qu’ils avaient toujours rêvé de posséder chez eux à leur disposition, un garçon aussi jeune et mignon que moi. En plus, ce qu’il leurs plaisaient le plus, c’est que j’étais très coquin.




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